My Dearest Enemy is an Israeli documentary that takes a behind-the-scenes look at Israel's secret diplomacy by sharing the highly anticipated meeting between Israeli Amnon Lipkin-Shahak and Palestinian Hani El Hassan—both powerful leaders in opposite camps.
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The documentary opens with scenes of the violence at the event, depicting fighting between protesters and Jewish students attempting to enter the venue. This is followed by an interview with student Samir Elitrosh, a leader of the Solidarity for Palestinian Human Rights and the leader of anti-Israel violence who was later suspended. It also features interviews with Concordia's Hillel president Yoni Petel and Concordia rector Frederick Lowy, and concludes with a discussion of what it sees as the growing trend of anti-Israel activities on North American campuses.
, 24minutes Réalisé parHisham Zreiq OrigineIsrael GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive Note68% Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.