In The Flesh follows three sex workers, Shabana (who works the highways near Mumbai), Bhaskar (a transgendered hijra person who sells sex to men in Calcutta), and Uma, a former theater actress who lives in a Calcutta brothel. The film follows their daily routines, from picking up customers and sex to their private social lives to violence and activism.
Le papier ne peut pas envelopper la braise est un film documentaire consacré à la vie de prostituées de Phnom Penh, qui vivent dans le "building blanc".
Au fil des témoignages, ce documentaire dessine le portrait dérangeant d'une jeunesse sacrifiée qui cherche à survivre dans la jungle urbaine et nous plonge au coeur de l'univers de la prostitution masculine à Montréal.
The story is that of a lost semi-classical Thumri song, Lagat Karejwa ma Chot, Phool Gendwa na Maar, sung in 1935 by Rasoolan Bai, the well known singer from Varanasi. The film shows in detail that tawaifs were not mere sex workers, but were great artistes who contributed to music, dance, theatre, film and the Urdu literary tradition.
En France, depuis la loi Sarkozy de 2003, des femmes et des hommes revendiquent le droit de pouvoir louer librement leur corps alors même que l’économie de marché utilise une pseudo libération sexuelle pour justifier la légalisation de la marchandisation de l’intime. Paroles et pratiques dérangeantes, stigmatisées par des jugements moralisateurs, qui nous questionnent sur les rapports hommes/femmes, la sexualité et son contrôle par le pouvoir.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.