Zentropa or Zentropa Entertainments is a Danish film company started in 1992 by director Lars von Trier and producer Peter Aalbæk Jensen.
It has produced over 70 feature films and has become the largest film production company in Scandinavia. It owns a number of subsidiary companies in Europe.
Zentropa may be best known for creating the Dogme 95 movement, leading to such acclaimed films as Idioterne (1998), Festen (1998) and Mifunes sidste sang (1999).
It was the first mainstream film company to produce hardcore pornographic films for women: Constance (1998), Pink Prison (1999), HotMen CoolBoyz (2000) and the adult/mainstream crossover feature All About Anna (2005).
Zentropa is also responsible for creating a large studio complex called Filmbyen (Film City), where both Zentropa and many other film-related companies are located.
Zentropa is named from the train company Zentropa in the film Europa (1991), which started the collaboration between Lars von Trier and Peter Aalbæk Jensen.
En 1871 dans l'Ouest américain, Jon, un colon danois, accueille sa femme et son fils venus du Danemark. Dans la diligence qui les amène à leur foyer, ils sont attaqués par les deux autres passagers ; Jon est éjecté de la diligence, mais se met aussitôt à la poursuite du convoi. Sur le chemin, il retrouve son fils, mortellement blessé, puis plus tard, la diligence, et non loin de là, son cocher, également assassiné. Jon s'empare de son fusil et abat froidement les deux assaillants, mais trop tard : il retrouve le corps violé et sans vie de sa femme dans la diligence. Les deux hommes abattus faisaient partie du gang d'un certain Delarue, un homme très puissant qui sème la terreur dans une petite ville. L'un des deux hommes tués par Jon étant le frère de Delarue, celui-ci met tout en œuvre pour le retrouver, et contraint les habitants à coopérer.
Three young women between the ages of 18 and 20 have been diagnosed with cancer. In the days between Christmas and New Year, the three girls manage to deal positively with the situation thanks to the company of each other.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.