J'ai vingt ans (en russe : Мне двадцать лет, Mne dvadtsat' let) est un film soviétique réalisé par Marlen Khoutsiev et sorti en 1965. Réalisé en 1962 sous le titre La Porte Ilitch (en russe : Застава Ильича), du nom d'un quartier de Moscou, le film fut, sous la pression des autorités soviétiques, remanié et son titre modifié.
Synopsis
Moscou, à l'époque de la déstalinisation. Les déambulations et interrogations existentielles de trois jeunes hommes dont les pères sont morts au cours de la Grande guerre patriotique (nom donné par les Soviétiques au Front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale) contre l'envahisseur allemand.
, 1h38 Réalisé parMarlen Khoutsiev GenresDrame ActeursAndrey Myagkov Note73% Âgé Alexei Borisovitch arrive à Moscou pour se rendre avec sa fille. Mais la fille est absente. À la maison reste seulement son gendre Victor. Quelques jours deux hommes si distinctifs passent ensemble.
, 1h28 Réalisé parMarlen Khoutsiev GenresDrame ActeursVasily Shukshin, Tamara Syomina Note70% Après la seconde guerre mondiale, Fiodor retourne dans son village et rencontre un orphelin qui s'appelle aussi Fiodor.
, 3h40 Réalisé parMarlen Khoutsiev OrigineRussie GenresDrame Note70% Obsédé par des idées de mort et désireux de s'en défaire, Prokhorov part en voyage, sans destination précise et sans bagage.
, 1h33 Réalisé parNikolaï Goubenko GenresDrame ThèmesLe thème de l'éducation, L'enfance, L'enfance marginalisée ActeursJuozas Budraitis, Nikolaï Goubenko, Georgi Burkov, Rolan Bykov, Zhanna Bolotova, Aleksandr Kaliaguine Note76% En Union soviétique, un écrivain renommé, Aleksei Bartenev, orphelin de guerre, part sur les traces de ses deux frères. Ceux-ci ont été adoptés, et Aleksei ne les a plus revus depuis l'enfance. Lorsqu'il peut enfin les revoir, sa déception est grande : l'un, placé dans une famille privilégiée, est devenu architecte et se complaît dans un matérialisme de façade ; l'autre, amer et plein de rancœur, purge une peine de prison. « Une chronique autobiographique à cinquante pour cent, précise Nikolai Goubenko, et jouée par de vrais orphelins. ».