Citations
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Godefroy d'Ibelin : Prends l'épée, voyons de quoi tu es capable.
Hospitalier : Monseigneur, il est blessé à la main.
Godefroy d'Ibelin : J'ai combattu deux jours avec une flèche plantée dans un testicule.
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Odo : Moi, je dis qu'il est innocent. Si tu soutiens le contraire, nous nous battrons et le jugement de Dieu en décidera.
Hospitalier : Notre ami allemand est féru de droit.
Homme de main de l'évêque : Livrez le nous, nous nous battrons pour une autre cause. C'est un meurtrier.
Godefroy d'Ibelin : Comme moi ! Si des hommes sont tués ici aujourd'hui, sois sûr que tu seras parmi eux.
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Guy de Lusignan : Qui est-ce ?
Godefroy d'Ibelin : Mon fils.
Guy de Lusignan : Que ne t'ai-je combattu du temps où tu étais capable de faire des bâtards ?
Godefroy d'Ibelin : J'ai connu ta mère quand elle faisait les siens. Il faut se réjouir que tu sois trop vieux pour être un des miens.
Guy de Lusignan (en riant) : Tu regretteras ces paroles un jour.
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Imad : C'est un très bon cheval.
Balian : Tiens, prends-le. Et maintenant, tu peux partir.
Imad : Mais c'est la récompense de ton combat, et moi ton prisonnier, ton esclave si tu le souhaites.
Balian : J'ai moi-même été esclave, j'ai connu le servage. Je ne souffrirai ni d'en posséder, ni qu'un autre en possède. Va !
Imad : L'homme que tu as tué était un grand chevalier parmi les Musulmans, il s'appelait Muhammad al-Fais.
Balian : Je prierai pour son âme.
Imad : Ta bonté d'âme sera connue chez tes ennemis. Même avant que tu les combattes, mon ami.
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Balian : J'ai perdu ma religion.
Hospitalier : Ce n'est pas ce qui compte, la religion. Au nom de la religion, j'ai vu le délire de fanatiques de toutes les confessions du monde appeler la volonté de Dieu. J'ai déjà vu briller la religion dans les yeux de bien des meurtriers. La sainteté, c'est de faire ce qui est juste, de se battre avec courage pour ceux qui sont sans défense. Ce que Dieu veut, la bonté qu'il exige, est là [il désigne sa tête] et là [il désigne son cœur], et par ce que tu décides chaque jour de faire, tu te montreras bon... ou non.
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Baudouin : Nul d'entre nous ne connait sa fin, ni la nuit qui nous y guidera. Un roi peut déplacer un homme, le père peut mander un fils, cet homme peut se mouvoir de lui-même, alors seulement commence sa vraie partie. Souviens-toi que quelque soit le jeu, qui que soit ton adversaire, tu es seul gardien de ton âme.
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Sibylle : Je t'ai observé aujourd'hui. Tu as reçu quelques arpents de désert et il semble que tu veuilles bâtir une nouvelle Jérusalem.
Balian : C'est ma terre. Quel genre d'homme serais-je si je ne tentais pas de l'améliorer ?
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Sibylle : Tu es chevalier.
Balian : Ce n'est ni mérité, ni prouvé.
Sibylle : Je ne suis pas ici avec toi parce que je m'ennuie, ou par vice. Je suis ici parce qu'en Orient, tout ne peut être que lumineux et clair entre deux êtres.
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Balian : Tu pars avec l'armée ?
Hospitalier : Tout mon Ordre part avec l'armée.
Balian : Tu vas à une mort certaine.
Hospitalier : Toute mort est certaine. Je dirais à Godefroy l'homme que tu es devenu.
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Saladin (
à Guy de Lusignan) : Quel roi tuerait un roi ? Tu as longtemps vécu auprès d'un grand roi, son exemple ne t'a rien appris.
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Tiberias : J'ai fait don de ma vie à Jérusalem. Je lui ai tout donné. J'ai cru d'abord combattre pour Dieu, et puis j'ai compris que nous nous battions pour des richesses et pour la terre. De honte, j'ai versé bien des larmes.
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Patriarche de Jérusalem : Mais ceux dont on brûle le corps ne pourront ressusciter le jour du Jugement Dernier !
Balian : Si nous ne brûlons pas les morts, les fièvres nous tueront dans les trois jours. Dieu le comprendra. Sinon, soyons sans crainte. C'est qu'il n'est pas Dieu, Monseigneur.
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Balian : Nul d'entre nous n'a pris cette ville aux Musulmans. Nul Musulman de la grande armée qui marche contre nous n'était né quand cette ville tomba. Nous nous battons pour un affront qu'aucun de nous n'a infligé contre des gens qui n'étaient pas nés quand il fut infligé. Qu'est-ce que Jérusalem ? Vos lieux saints sont bâtis sur les ruines du temple juif que les Romains ont abattu. Les Musulmans ont bâti leurs lieux de culte sur les vôtres. Qu'il y a t-il de plus sacré ? Le Mur, la Mosquée, le Sépulcre ? Qui est légitime ? Nul n'est légitime. Tous sont légitimes. Nous ne défendons pas cette ville pour protéger les pierres mais le peuple qui vit à l'intérieur de ces murailles.
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Saladin : Qui défend la ville ?
Imad : Balian d'Ibelin, le fils de Godefroy.
Saladin : Godefroy ? Il a failli me tuer au Liban. Tu en es sûr ? J'ignorais qu'il eût un fils.
Imad : C'était son fils à Kerak.
Saladin : Celui à qui tu as laissé la vie sauve ?
Imad : Oui.
Saladin : Peut-être regretteras-tu de l'avoir fait.
Imad : Peut-être aurais-je dû suivre un autre enseignement.
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Patriarche de Jérusalem : Convertis-toi à l'Islam, et tu abjureras.
Balian : Vous m'en aurez beaucoup appris sur la religion, Éminence.