Partager la citation sur facebook Sir Reginald : (parlant à un phoque avec l'accent anglais) Hello ! Elle est froide ce matin, n'est-il pas ?
= Augustin et Peter =
Partager la citation sur facebook Après avoir fait tomber un seau de peinture sur un officier allemand. Augustin : Eh ! Je m'excuse, hein ! ... Je vous ai taché !
Partager la citation sur facebookAugustin et Juliette se font passer pour un couple marié. Augustin : J’en ai marre, marre, marre ! Soldat allemand : Ouvrez ! Ou j’enfonce la porte ! Augustin : Ça va, ça va, on vient ! (Il ouvre la porte.) Oh pardon, Messieurs… Soldat allemand : Perquisition générale. Juliette : Moi aussi, j'en ai marre ! Augustin : Tais toi, eh poison ! T'entends pas qu'y a du monde, non ! Faites pas attention messieurs. Voulez-vous entrer ? (Les Allemands entrent.) Vous avez de la chance, votre femme, elle est loin ! Juliette : Tiens, vous le militaire puisque vous êtes là ! Allez, venez ! Attrapez cette valise ! Posez la sur le lit ! Moi, je fous le camp, raus ! Augustin : Arrête, tu te rends pas compte que tu te donnes en spectacle, non ? Juliette : Je ne resterai pas une minute de plus avec ce crétin ! Augustin : Attends un peu qu’ils soient partis, je vais te cogner, hein !
Partager la citation sur facebook Peter : I have to go to the turkish bath. Augustin : Il veut aller aux bains turcs maintenant ! Mais non vous êtes propre, you are very clean ! All right ! Peter : You don't understand, our squadron leader gave us a rendez-vous at the Paris mosque. Augustin : (À Juliette.) Ses copains lui ont donné rendez-vous aux bains turcs ! C'est bien une idée anglaise, aux bains turcs ! Blessé and not speaking french, il fera pas dix mètres sans être arrêté !
= Stanislas, Mac Intosh et le major Achbach=
Partager la citation sur facebook À la fin de la répétition de la Marche Hongroise de La Damnation de Faust. Stanislas : Merci messieurs C'était très bien ! C'était très bien ! [...] Vous c'était bien là-bas. Vous c'était bien ... heu ... c'est comme ci comme ça. Dites moi, vous ! On ne vous a pas entendu, on ne vous entend jamais ! Vous n'arrêtez pas de bavarder, faites attention, faites très attention ! Écoutez, j'ai une conception personnelle de l'ouvrage, ce n'est pas assez triomphal, pas assez orgueilleux, de l'orgueil bon sang ! [...] C'est de la bouillie tout ça ! C'était pas mauvais, c'était très mauvais ! Voilà, exactement ! Alors reprenons au 17 !
Partager la citation sur facebook Major Achbach : Je suis fâché que je dois arrêter la musique. Stanislas : Vous avez entendu ? [...] La répétition a été réduite à 12 minutes par la force des mitraillettes, voilà ! Ce soir, ça sera du joli ! (Il casse sa baguette de chef d'orchestre.) Et puis tiens ! Tiens ! Tiens ! Tiens ! Et tiens ! Et tiens ! (Il jette les morceaux.) Voilà un petit fagot, tiens !
Partager la citation sur facebook Stanislas : Qu'est-ce que vous cherchez ? Toujours votre anglais ? [...] Là il est pas là, non !? Là, bon il est plus là ! Là qu'est-ce qu'il y a ? (Il ouvre un tiroir contenant le parachute et le referme brusquement.) Major Achbach : Permettez ! (Il ouvre un autre tiroir contenant de la la nourriture.) Ach so marché noir ! Stanislas : Euh non c'est pour l'entracte. C'est pour l'entracte et j'ai toujours faim. [...] Une petite provision. Major Achbach : Grosse filou. Stanislas : Non, petit filou.
Partager la citation sur facebook Stanislas : If I go to the turkish bath, I risk, I risk énormément. Mac Intosh : Yes. Stanislas : But, if you, you go out, si vous sortez, the Germans, les Allemands, ils vont vous attraper et ri-ri-ri-ri (il fait le geste de quelqu’un que l’on torture), vous allez parler, et moi I risk encore plus. Mac Intosh : Yes. Stanislas : Donc, I risk on the two tableaux. Mac Intosh : Yes. Stanislas : Oui, mais enfin, vous répondez toujours Yes. Mac Intosh : Yes. Stanislas : Ben oui ! Alors écoutez, do you promess me, que if I bring ici Big Moustache, vous partez avec lui ? Mac Intosh : Yes. Stanislas : Mais définitivement. Mac Intosh : Yes.
Partager la citation sur facebookLe major Achbach est caché dans l'armoire. Major Achbach : Me too...!!! Stanislas : I have good news for you. (Il ouvre la porte et l'allemand sort.) Ahhhhhhhhhhhhh ! Major Achbach : Ahhhhhhhhhhhhhhhh ! Où est l'anglais ? Stanislas : Ich bin malade ! [...] Major Achbach : Où est l'anglais ? [...] Stanislas : (Il bafouille.) Major Achbach : Votre explication ne me suffit pas ! Stanislas : C'est pourtant clair !
= Stanislas et Augustin aux bains turcs =
Partager la citation sur facebook Augustin : Are you ? Stanislas : You are ? Augustin : Yes, happy. Stanislas : Glad. Where is Big Moustache ? Augustin : I don’t know, and if you don’t know, I don’t know, no ? Stanislas : I don’t understand. Augustin : You, you come with me to pick up Peter. Stanislas : No, YOU, you come with me to pick up Mac Intosh! Augustin : Non, non, non, you, you, you. Stanislas : I beg your pardon. Augustin : And if you don’t come, I... Ah ben merde alors ! Comment on dit? Stanislas : Comment ça merde alors ? But alors you are french ! Augustin : Yes... You are not english? Stanislas : No.
= Au guignol des Champs-Élysées =
Partager la citation sur facebook Augustin : Quel culot ! Se balader en officier allemand, si un flic nous demande nos papiers, hein ! Sir Reginald : Vous parlez trop, on nous écoute. Augustin : Bah elle a 3 ans ... C'est pourtant vrai qu'elle me regarde !
Partager la citation sur facebookAugustin et Sir Reginald déguisés en officiers allemands se dirigent vers Stanislas pour l'arrêter. Stanislas : C'est pas moi ! C'est pas moi ! Augustin : Mais c'est moi. C'est moi. Sir Reginald : It's me. Stanislas : Oui mais alors c'est moi !
Partager la citation sur facebookStanislas enlève sa perruque et la jette dans la Grange-Batelière. Augustin : Vous allez vous enrhumer avec votre boule d'escalier. Vous voulez pas ma casquette ? Stanislas : Vous, foutez moi la paix et ramez ! Augustin : Mais dites donc, doucement les basses !
= Panne d'essence =
Partager la citation sur facebook Augustin : Poussez, vous ! Stanislas : Parlez moi sur une autre ton ! Je vous en prie ! Augustin : Voulez-vous pousser, maître ? Stanislas : Voilà, ça j'aime mieux.
Partager la citation sur facebookLe partage de l'argent. Augustin : Dites, j'en ai pas moi ! Stanislas : Une seconde ! (Il donne des billets à Augustin.) ... Il m'en manque un. (Il reprend un billet.) Augustin : Mais vous croyez ? Stanislas : Oui.
Partager la citation sur facebook Augustin : Évidemment, c'est pas des chaussures pour la marche que vous avez là. Stanislas : Puisque vous me le proposez si gentiment, j'accepte. Augustin : Quoi ? Stanislas : Que vous me prêtiez vous souliers. Augustin : Bah vous chaussez du combien ? Stanislas : C'est du comme vous. Augustin : Ah bon.
Partager la citation sur facebook Mère supérieure : Vous aimez bien tout ce qui est bon ? Sir Reginald : (Il acquiesce.) Mère supérieure : C'est très mauvais !
Partager la citation sur facebook Mère supérieure : Dites trente-trois ... trente-trois ... trente-trois. Eh ben ! Sir Reginald : Thirty-three, thirty-three, thirty-three.[...] Mère supérieure : Je ne vois qu'un remède, changement d'air immédiat ! [...] Dites moi mon ami, il faudra quand même me surveiller ce foie.
== L'hôtel du globe ==
Partager la citation sur facebook Stanislas : Vous allez garder le mien qui marche pas et moi je vais prendre le vôtre. Allez hop ! Augustin : Mais dites donc, ça fait deux fois que vous me faites ça. Stanislas : Oui. Augustin : Vous m'avez déjà pris mes chaussures, maintenant mon vélo. Stanislas : Eh ben alors c'est normal, non ? Augustin : Ah bon. Et pourquoi c'est normal ? Stanislas : Parce que… Parce que… Augustin : Parce que je suis un manuel sans doute ? Stanislas : Eh bien parfaitement ! Parfaitement ! Mais ce n'est pas de votre faute, hein ? Ce n'est pas de votre faute.
Partager la citation sur facebook Mme Germaine : Allez hop ! En cuisine ! Il y a de la vaisselle qui attend ! Voyous, ici ! Général allemand : Nein ! C'est mon anniversaire, champagne pour ces hommes. Femme jamais commander, mari porter culotte même quand culotte trop large.
Partager la citation sur facebook Mme Germaine : Je suis désolé messieurs mais il va falloir que vous couchiez dans le même lit. Stanislas : C'est pas possible ! Mme Germaine : Si. Stanislas : Dans le même lit ! Augustin : Oh en temps de guerre, vous savez. [...] Ça fait partie des horreurs de la guerre, ça. Stanislas : Ah ça va ! Foutez-moi la paix vous !
Partager la citation sur facebook Augustin : Je voulais vous demander. Comment vous me trouvez, physiquement ? Stanislas : Non, il est tard, il faut dormir ! Allons ! Augustin : Ah ? Bon allez, bonne nuit ! Ah oui, j'ai oublié de vous dire... je ronfle... oh mais c'est rien, vous n'aurez qu'à siffler, je m'arrêterai... Stanislas : Oh, je vais pas siffler toute la nuit, non...
== La fausse patrouille allemande ==
Partager la citation sur facebook Pour descendre d'un mur, Stanislas est monté sur les épaules d'Augustin tenant deux chiens en laisse. Augustin : Arrêtez ! Arrêtez ! Stanislas : Pourquoi voulez-vous les faire arrêter ? Augustin : Ben pour vous descendre pardi. Stanislas : On est très bien comme ça. Augustin : Mais dites donc, vous ne croyez tout de même pas que je vais vous trimballer sur mon dos ! Stanislas : Allons, allons, ne perdons pas de temps à bavarder ! Allez, allez, en avant ! Augustin : Ça fait trois fois que vous me faites ça, mes souliers, mon vélo !
Partager la citation sur facebook Stanislas : Vous la reverrez la petite fille du Guignol, hein ! (Il mime des personnages de Guignol avec ses mains.) Augustin : Vous foutez pas d'elle, hein ! Parce que vous allez avoir affaire à moi ! (Il attrape Stanislas par le col.) Stanislas : (Il se libère et met une gifle à Augustin.) Excusez moi. Ça va mieux ? Augustin : Il m'en faudrait peut-être une deuxième. Stanislas : (Il met une deuxième gifle à Augustin.) Ça va là ? Augustin : Dites moi, vous n'en voulez pas une, vous ? Stanislas : Ah non, du tout. Augustin : Tu vas l'avoir quand même ! Tu vas l'avoir ! (Il met deux gifles sur le crâne de Stanislas.)
Partager la citation sur facebookDéguisés en patrouille allemande, Stanislas et Augustin ont été arrêtés par une vraie patrouille allemande. Le pêcheur: V’là qu'ils s’arrêtent entre eux maintenant, ça doit pas marcher ben fort !
== À la kommandantur ==
Partager la citation sur facebook Augustin : Ils peuvent me tuer, je parlerai pas ! Stanislas : Mais moi non plus, ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas ! Augustin : Je savais que je pouvais compter sur vous !
Partager la citation sur facebook Major Achbach : Ach ! Maintenant c'est moi qui tient la baguette, et c'est vous qui chantez. Douze balles pour vous, douze balles pour vous ! Vingt-quatre balles, quel gâchis pour des hommes comme vous ! Qui vous a donné ces chiens ? Qui vous a procuré ces uniformes ? Qui sont vos complices ? Assez tremblé ! Stanislas : Monsieur le commissaire. Major Achbach : Je suis pas commissaire ! Je suis major Achbach ! Stanislas : Excusez moi monsieur le major, j'aimerais gagner du temps, on ne va pas perdre de temps, je vais tout vous dire.
Partager la citation sur facebook Stanislas : (Parlant d'Augustin.) Je ne sais plus parce qu'il m'interrompt tout le temps ! Il tousse, il crache, il renifle et il tousse, il crache, il renifle, voilà !
Partager la citation sur facebook Major Achbach : De moi vous osez vous foutez ? Je sais qu'il nous manque deux aviateurs anglais ! Stanislas : Combien ? Major Achbach : Deux ! Augustin : Ça fait pas tellement.
== Les planeurs ==
Partager la citation sur facebookLes chevaux sautent une barrière ce qui secoue fortement la charrette. Stanislas : Mais faites attention, bon dieu ! Augustin : Mais c'est pas moi ! Stanislas : Si c'est vous !
Partager la citation sur facebookLes personnages sont survolés par un avion d'observation allemand. Stanislas : Ne regardez pas, ne regardez pas, il nous espionne, n'ayons l'air de rien.