Une tornade formée au large du Mexique entraîne l'invasion de Los Angeles par des requins. Le propriétaire d'une buvette de bord de mer (Ian Ziering), accompagné de deux amis et d'une de ses serveuses (Cassie Scerbo), part dans l'intérieur des terres à la recherche de son ex-femme (Tara Reid), de sa fille et de son fils. Malgré les requins qui tombent du ciel, ils réussiront à sauver la ville et à reformer une famille unie.
Le film se déroule à Beaumont-les-Vignes, une commune fictive du sud-est de la France, dans un avenir proche. Deux sœurs, tante Hilda et Dolorès, ont suivi des parcours diamétralement opposés. Hilda, une jeune femme rousse à la silhouette dégingandée, est farouchement écologiste : elle se déplace à bicyclette, se préoccupe constamment de la préservation de l'environnement et a rassemblé un musée végétal où elle conserve toutes sortes de plantes. Dolorès, elle, est devenue la PDG sans scrupules d'une entreprise multinationale de l'agroalimentaire recherchant le profit à court terme. Grâce à la technologie des OGM, qui consiste à modifier génétiquement les plantes, Dolorès a mis au point une nouvelle céréale, baptisée Attilem, une sorte d'artichaut géant doté de tentacules. Ce nouveau produit, capable de pousser avec très peu d'eau et sans engrais, qui devrait lui rapporter des bénéfices astronomiques. Elle affirme même qu'il pourrait résoudre le problème de la faim dans le monde et remplacer le pétrole comme nouvelle source d'énergie. Mais bientôt, les plantes Attilem commencent à pousser trop vite, hors de tout contrôle, et envahissent le monde entier. Dolorès fait alors concevoir un pesticide qu'elle se propose de vendre aux gouvernements pour lutter contre la catastrophe qu'elle a elle-même provoquée. Tante Hilda ne l'entend pas de cette oreille et entreprend de sauver le monde, mais la partie n'est pas gagnée d'avance.
Une attaque massive d'armes chimiques a anéanti la majorité de l'humanité et rendu l'air irrespirable. Le gouvernement des Etats-Unis a hâtivement construit une poignée de bunkers improvisés, dans lesquels des scientifiques sont maintenus en sommeil cryogénique jusqu'à ce que l'air extérieur ne soit plus toxique. Chacun de ces bunkers est entretenu par deux techniciens, eux aussi en cryo-sommeil, qui sont réveillés deux heures tous les six mois afin d'effectuer des tâches de routine et des inspections pour maintenir l'installation en état de marche.