Amos Oz: The Nature of Dreams is an Israeli documentary film, written, directed and produced by Yonathan and Masha Zur (Yonathan & Masha Films). It is a portrait of Israeli author Amos Oz, author of the memoir A Tale of Love and Darkness, and his efforts toward peace in the Middle East.
The film, released in May 2009, is Yonathan and Masha Zur’s second film (after Magia Russica, 2004). Amos Oz – The Nature of Dreams premiered at the Docaviv Documentary Film Festival in Tel Aviv. It was supported mainly by Arte ZDF and the Israeli Makor Film Fund, and also by YLE Finland and Radio Canada.
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, 24minutes Réalisé parHisham Zreiq OrigineIsrael GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive Note68% Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.