Life at the End of the Rainbow (2002) is a documentary by Australian filmmaker Wayne Coles-Janess about the small farming community of Rainbow, population 500, which lies on the edge of the Big Desert, North Western Victoria, Australia. It is 55 minutes long.
Synopsis
The area was originally considered worthless by European-Australian settlers, who fenced it off and abandoned it. The town was established around the start of the 20th century by German immigrant settlers. Its population increased after the first and second World Wars due to the government's policies of subsidies to encourage settlement by veterans. The people of Rainbow have struggled to eke out an existence for more than three generations, with global economics and government policy compounding the difficulties of marginal farming. The film draws from home movies from the 1940s to portray the people in this town.
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GenresDocumentaire ThèmesL'environnement, La mer, Transport, Documentaire sur l'environnement ActeursDonald Sutherland Note67% À bord du voilier Sedna IV, Jean Lemire et son équipe se sont engagés pour une ultime mission. Une mission extrême, 430 jours d'expédition et un hivernage en Antartique, totalement isolés, au bout du monde.Dans la foulée des grands explorateurs d'hier, ils ont repousser les limites pour livrer aux spectateurs une épopée unique, motivé par une formidable quêtes d'aventures, de découvertes et de rêves...
, 1h29 OrigineRoyaume-uni GenresDrame, Documentaire ThèmesL'environnement, La mer, Transport, Aviation, Documentaire sur l'environnement, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur le nucléaire, Documentaire sur les technologies, Politique, Documentaire sur la Seconde Guerre mondiale ActeursJohn Hurt, Ed Bishop, Katsumi Chō, Naoko Mori, Ian Shaw, Shane Rimmer Note77% À 8h15 précises ce 6 août 1945, le monde a changé. 40.000 personnes trouvent instantanément la mort, mais ce sont bien 200.000 décès qui seront provoqués par l´explosion de la première bombe nucléaire sur Hiroshima, au Japon. Ce documentaire exceptionnel de 90 minutes n´est pas « Un énième film anti-guerre » déclare son réalisateur Paul Wilmshurst, « mais bien l´analyse neutre et objective d´une décision cruciale. Il ne s´agit pas d´être pro-américain ou pro-japonais, j´ai simplement voulu raconter la vérité. » Une vérité technologique, scientifique, militaire et politique qui se dessine dans les trois semaines précédant l´attaque, alors que le premier essai nucléaire vient de se dérouler dans le désert du Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Le spectateur se retrouve alors dans la pièce où est prise la décision ultime, à bord de l´Enola Gay pendant son trajet fatidique, à l´intérieur de la bombe au moment de l´explosion, puis dans les rues dévastées d´Hiroshima.
, 55minutes OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesL'environnement, Transport, Automobile, Le train, Documentaire sur le monde des affaires, Documentaire sur l'environnement, Documentaire sur les technologies, Road movie Note78% Taken for a Ride begins with interviews on the inefficiencies and congestion on Los Angeles' highways. Next, the film displays a variety of archival footage on streetcar systems around the United States, demonstrating that streetcars were a widespread and efficient means of transportation. The film continues into a description of the General Motors streetcar conspiracy, starting with a history of National City Lines and Pacific City Lines and General Motors' investment in both companies. The film builds the argument that streetcar systems purchased by these companies were deliberately sabotaged through service reductions and fare increases, then replaced with profitable, less convenient, bus systems. Next, the film makes a connection between this conspiracy and the construction of the Interstate Highway System and the suburbanization of America in the face of the Highway revolts in the 1960s and 1970s. The film ends with footage of the reduction of Philadelphia's trolleybus system at the time of filming.