The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out is a 1988 American documentary film directed by Robert Bilheimer. It was nominated for an Academy Award for Best Documentary Feature.
Bande annonce de The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out
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, 1h36 OrigineAfrique du sud GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur les villes, Politique Note68% Le long du centre urbain le plus au méridional de l’Afrique, gît une bande de terrain très particulière qui sépare la ville de l’océan. D’un côté bordé par l’Océan Atlantique en belle toile de fond et de l’autre par Signal Hill, la promenade maritime – et les piscines publiques en son milieu – forme un espace comme il n’en existe pas d’autre au Cap. Autrefois bastion de l’Apartheid, c’est aujourd’hui un lieu unique pour son apparente mixité d’âges, de races, de genres, de religions, de statuts sociaux ou d’orientations sexuelles. D’une certaine manière cet espace est devenu l’un de ceux où les sud-africains sentent qu’ils ont le droit d’exister – et où, par conséquent, les possibilités d’être heureux dans un monde divers sont envisageables.
Dans ce documentaire, le réalisateur Rehad Desai nous guide au long d’un voyage intime que l’implication politique de son père créa dans sa vie familiale. Barney Desai était un héros politique du peuple sud-africain dans leur lutte pour l’indépendance, mais en tant que père il fut absent émotionnellement. Rehad a passé une grande partie de sa vie dans l’exil et est devenu aussi un activiste politique. Dans cet intense voyage vers son passé personnel, Rehad se rend compte qu’il suit les pas de son père, car il revit la même relation avec son propre fils adolescent et distant.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.
The film tells the story of both sides claiming the same land as their own. The Ndolilas family’s land was taken by the apartheid government in the 1970s without compensation, and ever since then they have been on a quest to get it back. Standing in their way are working class black homeowners who purchased portions of the Ndolila's land during apartheid. For the homeowners, the land and houses they have legally purchased are a reward for their hard work and the fulfillment of their hopes and dreams for a better life in the new democracy. For the Ndolilas, the land is part of their family legacy and hence deeply intertwined with their identity. Both sides have a legitimate right to the land, and the film encourages viewers to think about whose rights should prevail.