The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out is a 1988 American documentary film directed by Robert Bilheimer. It was nominated for an Academy Award for Best Documentary Feature.
Bande annonce de The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out
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Dans ce documentaire, le réalisateur Rehad Desai nous guide au long d’un voyage intime que l’implication politique de son père créa dans sa vie familiale. Barney Desai était un héros politique du peuple sud-africain dans leur lutte pour l’indépendance, mais en tant que père il fut absent émotionnellement. Rehad a passé une grande partie de sa vie dans l’exil et est devenu aussi un activiste politique. Dans cet intense voyage vers son passé personnel, Rehad se rend compte qu’il suit les pas de son père, car il revit la même relation avec son propre fils adolescent et distant.
The film tells the story of both sides claiming the same land as their own. The Ndolilas family’s land was taken by the apartheid government in the 1970s without compensation, and ever since then they have been on a quest to get it back. Standing in their way are working class black homeowners who purchased portions of the Ndolila's land during apartheid. For the homeowners, the land and houses they have legally purchased are a reward for their hard work and the fulfillment of their hopes and dreams for a better life in the new democracy. For the Ndolilas, the land is part of their family legacy and hence deeply intertwined with their identity. Both sides have a legitimate right to the land, and the film encourages viewers to think about whose rights should prevail.
, 1h36 OrigineAfrique du sud GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur les villes, Politique Note68% Le long du centre urbain le plus au méridional de l’Afrique, gît une bande de terrain très particulière qui sépare la ville de l’océan. D’un côté bordé par l’Océan Atlantique en belle toile de fond et de l’autre par Signal Hill, la promenade maritime – et les piscines publiques en son milieu – forme un espace comme il n’en existe pas d’autre au Cap. Autrefois bastion de l’Apartheid, c’est aujourd’hui un lieu unique pour son apparente mixité d’âges, de races, de genres, de religions, de statuts sociaux ou d’orientations sexuelles. D’une certaine manière cet espace est devenu l’un de ceux où les sud-africains sentent qu’ils ont le droit d’exister – et où, par conséquent, les possibilités d’être heureux dans un monde divers sont envisageables.
In the 1950s South Africans realized that their freedom struggle had to be built in four arenas of action: mass action, underground organization, armed struggle, and international mobilization. Have You Heard From Johannesburg takes viewers inside that last arena, the movement to mobilize worldwide citizen action to isolate the apartheid regime. Inspired by the courage and suffering of South Africa’s people as they fought back against the violence and oppression of racism, foreign solidarity groups, in cooperation with exiled South Africans, took up the anti-apartheid cause. Working against heavy odds, in a climate of apathy or even support for the governments of Hendrik Verwoerd, John Vorster and P.W. Botha, campaigners challenged their governments and powerful corporations in the West to face up to the immorality of their collaboration with apartheid.
En 1969, l’imam Abdullah Haron fut enfermé et tué en détention au Cap. Leader de communauté, très apprécié, il tentait de faire prendre conscience à ses congénères, peu actifs, de la détresse dans laquelle ils vivaient sous l’apartheid. Durant les années 1960, l’imam Haron est devenu plus actif et a commencé à voyager à l’étranger pour soulever des fonds destinés aux familles pauvres. Mélangeant animation, interviews et archives, ce court-métrage explore les dernières années de la vie de l’imam et sa mort. Le récit est dit par son petit-fils, le réalisateur, à travers les yeux d’un enfant.
Avril 1994 : génocide au Rwanda. 800 000 morts. Une catastrophe qui entraînera des déséquilibres dans toute la région. L’Afrique des Grands Lacs finit le siècle dans un bain de sang. Ce documentaire montre les intrigues, les coups d’éclat, les trahisons, les vengeances qui ont prévalu durant ces années avec pour seuls objectifs de conserver ou d’agrandir sa zone d’influence. C’est ainsi que cette décennie a vu s’envoler peu à peu tous les espoirs des populations. Espoirs d’une Afrique maîtresse de son destin, d’une autosuffisance alimentaire, de l’arrêt des conflits interethniques…