The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out is a 1988 American documentary film directed by Robert Bilheimer. It was nominated for an Academy Award for Best Documentary Feature.
Bande annonce de The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out
Suggestions de films similaires à The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out
Il y a 8951 ayant les mêmes genres cinématographiques, 11131 films qui ont les mêmes thèmes (dont 37 films qui ont les mêmes 7 thèmes que The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
Si vous avez aimé The Cry of Reason: Beyers Naude – An Afrikaner Speaks Out, vous aimerez sûrement les films similaires suivants :
Dans ce documentaire, le réalisateur Rehad Desai nous guide au long d’un voyage intime que l’implication politique de son père créa dans sa vie familiale. Barney Desai était un héros politique du peuple sud-africain dans leur lutte pour l’indépendance, mais en tant que père il fut absent émotionnellement. Rehad a passé une grande partie de sa vie dans l’exil et est devenu aussi un activiste politique. Dans cet intense voyage vers son passé personnel, Rehad se rend compte qu’il suit les pas de son père, car il revit la même relation avec son propre fils adolescent et distant.
, 1h34 GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Politique Note69% In the town of Orania, 800 white Afrikaans people form an independent community. Their town is private property (bought in 1990) and they live independently from multicultural South Africa. Since the fall of apartheid, increasing crime levels, unemployment and social pressure has led to a small migration of people towards the town. In the town, the residents concentrate on preserving their shared culture. Residents stay in the town for their cultural ideals or for the town's safety and opportunities, and others stay out of desperation.
The film tells the story of two Rwandan women who come face-to-face with the neighbors who slaughtered their families during the 1994 genocide, and their personal journeys toward forgiveness. Featuring in-depth interviews with both survivors and murderers, As We Forgive provides an intimate, first-hand view of the encounters between genocide perpetrators and their victims’ families.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.
Entre avril et juillet 1994, le massacre Tutsis et des Hutus modérés a fait un million de morts. À l’initiative de Fest’Africa, une dizaine d’auteurs africains se sont retrouvés en résidence d’écriture à Kigali, quatre ans après les évènements, cherchant à briser le silence des intellectuels africains sur le génocide.