The Killing of the Imam est un film documentaire sud-africain réalisé par Khalid Shamis, sorti en 2010.
Synopsis
En 1969, l’imam Abdullah Haron fut enfermé et tué en détention au Cap. Leader de communauté, très apprécié, il tentait de faire prendre conscience à ses congénères, peu actifs, de la détresse dans laquelle ils vivaient sous l’apartheid. Durant les années 1960, l’imam Haron est devenu plus actif et a commencé à voyager à l’étranger pour soulever des fonds destinés aux familles pauvres. Mélangeant animation, interviews et archives, ce court-métrage explore les dernières années de la vie de l’imam et sa mort. Le récit est dit par son petit-fils, le réalisateur, à travers les yeux d’un enfant.
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OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Politique Note80% To a large extent, the film consists of interviews with genocide survivors, many of whom were children in 1994. In all, over thirty survivors, perpetrators, and experts were interviewed for the film. In these interviews, the survivors discuss what it means to be a Rwandan and to live next door to people who killed their families. The survivors describe how they deal with their country's request that they forgive one another and move on, so that Rwanda can rebuild and unify itself. Perpetrators' views illuminate the madness that seized the culture in 1994; exploring the experience of apologizing to victims, and examining what it is like to be looked at as a murderer in Rwandan society.
The film tells the story of both sides claiming the same land as their own. The Ndolilas family’s land was taken by the apartheid government in the 1970s without compensation, and ever since then they have been on a quest to get it back. Standing in their way are working class black homeowners who purchased portions of the Ndolila's land during apartheid. For the homeowners, the land and houses they have legally purchased are a reward for their hard work and the fulfillment of their hopes and dreams for a better life in the new democracy. For the Ndolilas, the land is part of their family legacy and hence deeply intertwined with their identity. Both sides have a legitimate right to the land, and the film encourages viewers to think about whose rights should prevail.
Dans ce documentaire, le réalisateur Rehad Desai nous guide au long d’un voyage intime que l’implication politique de son père créa dans sa vie familiale. Barney Desai était un héros politique du peuple sud-africain dans leur lutte pour l’indépendance, mais en tant que père il fut absent émotionnellement. Rehad a passé une grande partie de sa vie dans l’exil et est devenu aussi un activiste politique. Dans cet intense voyage vers son passé personnel, Rehad se rend compte qu’il suit les pas de son père, car il revit la même relation avec son propre fils adolescent et distant.
Entre avril et juillet 1994, le massacre Tutsis et des Hutus modérés a fait un million de morts. À l’initiative de Fest’Africa, une dizaine d’auteurs africains se sont retrouvés en résidence d’écriture à Kigali, quatre ans après les évènements, cherchant à briser le silence des intellectuels africains sur le génocide.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.