Le film raconte la vie d'Hitler, qui commence avec le Putsch de la brasserie de novembre 1923, et qui se concentre principalement sur sa vie privée, particulièrement sur ses relations avec sa nièce Geli et sa compagne et épouse, Eva Braun.
En partant de l'étude du cas de Clermont-Ferrand, le film dresse la chronique de la vie d'une ville française entre 1940 et 1944. Le film élargit son propos factuel à toute l'Auvergne mais comporte aussi des témoignages de personnalités ayant joué un rôle important pendant la guerre (militaires, hommes d'état, témoins-clés) ou ayant participé activement à celle-ci, pas forcément à Clermont-Ferrand ni même en Auvergne.
Le film propose une sélection des actualités du régime de Vichy (d'août 1940 à août 1944) montée de manière chronologique. Aucun commentaire ne les accompagne. Le film « n'en a pas besoin », comme l'a expliqué Chabrol lors de la présentation de son travail.
Le documentaire traite de la milice française et de ses agissements, durant la Seconde Guerre mondiale ; il est ponctué d'entretiens avec d'anciens miliciens, d'anciens résistants et avec des spécialistes de cette période historique, dont Jacques Delperrié de Bayac, auteur de l'ouvrage de référence Histoire de la Milice, 1918-1945 (1969), et Michel Germain, auteur de nombreux ouvrages sur la Haute-Savoie 1939-1945, qui accompagne plusieurs jours le tournage dans le département, où la Milice sévit grandement.
Noirs dans les camps nazis est un document sur un drame jusqu’ici méconnu de la seconde guerre mondiale : la déportation des noirs dans les camps de concentration. Parce qu’ils étaient aussi résistants, engagés dans les combats ou simplement ramassés au hasard d’une rafle, de nombreux Africains, Antillais, Américains ou Européens noirs ont connu cet enfer. Eux aussi ont souffert à Dachau, Mauthausen ou Auschwitz, où ils étaient sujets aux pires humiliations. À travers des témoignages de survivants recueillis en Allemagne, Belgique, Espagne, France et au Sénégal, ce film rend hommage à tous ces hommes et apporte un éclairage supplémentaire pour célébrer le soixantième anniversaire de la libération des camps nazis.
Sous le nom de Melville retrace le parcours de Melville pendant la Seconde Guerre mondiale et l'impact que cette expérience personnelle de la guerre et de la Résistance a eu sur l'ensemble de son œuvre de cinéaste, ainsi que, indirectement, sur celle de ses héritiers. Le film comporte des éléments d'entretiens avec des cinéastes comme Johnnie To ou Masahiro Kobayashi qui viennent éclairer a posteriori l'œuvre de Melville.
Le 10 Juin 1944 à Oradour-sur-Glane, Robert Hébras échappe à la mort. « Une vie avec Oradour » retrace son histoire, avec le récit minutieux de cette journée, filmé dans les ruines du village-martyr. Un drame ancré dans notre mémoire collective et qui reste le plus important massacre de civils en France sous occupation allemande. C’est aussi l’exemple d’une vie déterminée par le désir de témoigner inlassablement pour que l’Histoire ne se répète plus. Elle porte l’empreinte du souvenir et du désir de vivre, une empreinte qui transcende une vie.
The film opens with a description of the Black Tom explosion of a munitions supply located in Jersey City on the Hudson River. The explosion, which occurred during World War I was an act of sabotage by German agents.
A man and his wife lead a German anti-Nazi propaganda literature movement. After an inadvertent betrayal, the husband is thrown into a concentration camp, from which he escapes to Switzerland.