Le 20 juin 1941, dans le village ukrainien de l’Étoile du Nord, les habitants célèbrent en musique l'arrivée de l'été et les jeunes gens se préparent aux vacances. Mais deux jours après (22 juin 1941), l'armée allemande envahit le pays et investit le village, que les hommes viennent de quitter pour organiser la résistance...
Donald rêve qu'il est un citoyen de l'Allemagne nazie, et qu'il travaille dans une usine de munitions à Nutziland, s'épuisant à répondre aux demandes exagérées du Führer. Le dessin animé montre sa journée :
Avant le commencement de la Seconde Guerre mondiale, la société japonaise Black Dragon prépare un plan diabolique avec les nazis. Ceux-ci demandent au brillant scientifique, le Docteur Melcher, d’aller au Japon pour une mission secrète. Il s’agit de transformer six conspirateurs japonais pour qu’ils ressemblent à six chefs américains. Les véritables chefs américains sont assassinés et les conspirateurs les remplacent. Pendant ce temps, le Docteur Melcher est condamné à la prison à vie pour que le secret du complot meure avec lui.
Ce dessin animé est une parodie de l'histoire bien connue des Trois Petits Cochons, produit dans le ton de la propagande anti-nazis de la Seconde Guerre mondiale. Dans ce dessin animé, les cochons partent en guerre contre Adolf le Loup (sous les traits d’Adolf Hitler), qui menace d'envahir Cochonland (Pigmania dans la version américaine). Les deux cochons qui construisent leurs maisons en paille et en bois déclarent qu'ils n'ont pas besoin de prendre des précautions contre le loup puisqu'ils ont signé un Pacte de non-agression avec lui. Le cochon qui construit sa maison en pierre, le Sergent Pur Porc (Sergeant Pork dans la version américaine) prend ses précautions et renforce sa maison avec un puissant dispositif de défense composé de barbelés, de bunkers, d'obusiers et de tranchées.
Le film débute dans le futur, alors que la Seconde Guerre mondiale est terminée. Pendant le générique de début, la caméra se dirige vers un village en suivant une route, comme s'il s'agissait du point de vue d'un visiteur motorisé. Le spectateur est ainsi amené jusqu'à un villageois (Mervyn Johns), assis dans le cimetière de l'église de Bramley End, une localité fictive d'Angleterre. Le villageois s'adresse à la caméra et conduit le spectateur vers une tombe, où des soldats allemands sont enterrés. Le villageois parle, puis un flash-back raconte pourquoi cette tombe est là.
Lorsque Celia Crowson est mobilisée, elle rêve de gloire militaire, mais c'est une jeune femme célibataire et, dès lors, elle est orientée vers une usine fabriquant des pièces d'avion. Là, elle fait la connaissance d'autres jeunes filles de tous horizons, et entame une relation avec un jeune aviateur…
À Londres, trois comédiens se préparent à monter sur scène. L'un des trois doit interpréter un officier allemand, mais il ne saisit pas bien les nuances de ce personnage. Alors, son collègue Clarusse lui raconte son histoire, afin qu'il puisse s'inspirer d'un personnage réel.
La White Star Line, compagnie maritime britannique, connaît de graves soucis financiers à cause de la construction de son dernier navire, le Titanic. Pour garantir des profits conséquents, son président, Bruce Ismay, décide de lancer le navire à toute vitesse dans l'Atlantique Nord pour lui faire remporter le Ruban bleu au mépris de la sécurité des passagers. Il fait donc pression sur le capitaine pour l'inciter à augmenter la vitesse du paquebot. Seul le premier officier Petersen, un Allemand, critique ouvertement cette idée.
Le film commence dans un bureau des services de renseignements français à Londres. Un officier, du deuxième bureau, assisté de son homologue anglais, interroge John Dougall, sergent de la RAF qui s'est enfui d'Allemagne en compagnie d'un autre détenu, sur les conditions de son arrivée dans la capitale britannique. John Dougall s'exécute de bonne grâce.
Le film décrit les efforts de productivité dans une usine de pièces optiques à destination de l'armée japonaise, lors de la Seconde Guerre mondiale ; on suit en particulier un groupe d'ouvrières japonaises solidaires entre elles pour atteindre leur objectif.
Le film fut à l’origine tourné avec une bande son en allemand pour être projeté dans l’Allemagne et l’Autriche occupées. Il s’agit du premier documentaire montrant ce que les Alliés découvrirent lorsqu’ils libérèrent les camps d’extermination nazi : les survivants, les conditions de vie, et la preuve d’un génocide. Le film fait état des aspects économiques de l’opération des camps. Des membres du personnel de ceux-ci, faits prisonniers, y sont interrogés. Et l’on y voit la visite forcée des habitants de villes voisines qui, de même que leurs compatriotes, sont accusés de complicité dans les crimes nazi – c’est l’une des rares condamnations de cette sorte enregistrées dans les archives alliées de la Seconde Guerre mondiale. Au même moment Samuel Fuller tournait son premier film amateur au camp de Falkenau, mais ces images ne seront visibles qu'en 1988, incluses dans Falkenau, vision de l’impossible, documentaire d’Emil Weiss.
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.