Le documentaire relate l'histoire de cinq juifs hongrois durant l'holocauste, en s'intéressant notamment à la vie dans les camps de concentration et au désir de vivre des prisonniers.
Ce documentaire trace le portrait complexe et détaillé d'un des plus grands criminels de guerre : Klaus Barbie, connu pour être le boucher de Lyon. Officier de la Gestapo ayant torturé à mort Jean Moulin et mené à la déportation de centaines de juifs de France, notamment les enfants d'Izieu, découvrez également sa double vie d'agent des services secrets américains puis d'homme d'affaires en Bolivie. Résultant d'une enquête de deux ans auprès de quatre-vingt personnes interviewées dans le monde entier, ce film révèle un éclairage important sur la responsabilité de chaque partie concernant les crimes et la traque de Klaus Barbie.
Ce sont des séries de bobines de films de 35 mm allemandes, anonymes, sans générique, portant la seule inscription : Das Ghetto, retrouvées dans les années 1950 qui sont à l'origine du film de Yahel Hersonski. Ces bobines constituent un « documentaire » allemand sur le ghetto de Varsovie durant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1990, la découverte d'une bobine manquante viendra éclairer la propagande qui se cachait dans les premières images retrouvées et le véritable but des Allemands qui réalisèrent ces images.
Hitler’s Children is a film about the descendants of some of the most powerful figures in the Nazi regime, such as Heinrich Himmler, Hans Frank, Hermann Göring, and Rudolf Höss, who have inherited a legacy that permanently associates them with one of the greatest crimes in history. For more than 60 years they lived in the shadows trying to rebuild their lives without the constant reminders of what their fathers and grandfathers once did.
Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
Le lion a des ailes est un ancêtre de nos docu-fictions, film de guerre ou de propagande destiné, grâce à un mélange de documentaires sur l'effort de guerre britannique et de parties jouées par des acteurs - qui s'enchâssent entre eux et leur donnent vie - à rassurer la population sur la préparation de leurs armées (sur terre, sur les mers et, particulièrement, dans les airs). Le film commence par un historique des promesses non tenues par Hitler, avec ses diverses invasions de territoires et la manière dont les autres pays l'ont laissé faire. En contrepartie de la militarisation à outrance des Allemands, l'effort britannique est montré comme efficace et durable. Cette fois, ils sont prêts et peuvent tenir. La plus grande partie montre les combats de la RAF, expliquant le dispositif qui empêche l'ennemi de prendre le pays au dépourvu et de l'attaquer.
Le rideau s'ouvre sur une scène de théâtre où une reproduction du tableau du Yankee Doodle The Spirit of 76', peint par Archibald Willard, occupe le fond. Surgit Bugs Bunny jouant du pipeau avec une carotte, scène quasi identique à celle terminant le cartoon A Wild Hare (1940). Bugs croque la carotte et commence son discours patriotique en citant les figures emblématiques des États-Unis et tout d'abord de l'Oncle Sam, avec une certaine familiarité. Il revient en portant le chapeau aux couleurs du drapeau américain et la barbe blanche symboliques de l'Oncle Sam. Bugs lance des « war bonds » à pleines poignées, comme des tracts, et chante une chanson dont les paroles incitent l'assistance à acheter ces bons, qui « garantiront la liberté ». Il continue en dansant puis entame une parodie d'Al Jolson, artiste de music hall très populaire en Amérique et très lié au monde du jazz (il se maquille souvent en noir dans ses spectacles). Bugs prend les traits de Al Jolson et reprend brièvement son titre « Mammy », transformé pour l'occasion en « Sammy » (l'Oncle Sam). Porky Pig (en marin) et Elmer Fudd (en fantassin) rejoignent Bugs, chantent et dansent avec lui devant le public. L'image de la publicité pour ces bons vient clore le film.
Le film commence dans un style documentaire avec un narrateur masculin expliquant où se trouve Midway et quelle est son importance stratégique. Cinq minutes plus tard, le format change légèrement, avec des images plus insouciantes de GI au travail sur l'île, l’apparition d’une voix féminine. La voix est celle d'une femme d’âge moyen de Springfield, qui est le modèle de la mère-type, expliquant comment elle identifie tel ou tel garçon de sa ville natale.