« Manolete » (Manuel Laureano Rodriguez Sanchez) est, dans les années 1940, le plus célèbre des toreros espagnols. Célèbre mais introverti et simple, il partage sa vie entre les dangereuses arènes et les hôtels. Tout change lorsqu'il rencontre Lupe Sino, jeune comédienne dont il va tomber amoureux. L'histoire passionnée qu'ils vont vivre ne plaira pas à tous. Le film raconte le dernier jour du matador ainsi que les quelques mois de sa relation avec Lupe Sino.
Le film évoque tous les aspects de la corrida, son histoire, les taureaux, les toréros, la course, les passes, avec la participation de nombreux matadors de l'époque.
Lorsque la séduisante Française Geneviève Dupré (Danielle Darrieux), secrétaire d'un homme d'affaires espagnol, se rend à Madrid pour annoncer le décès de son patron au frère de celui-ci, le célèbre torero Mario Montes, (Pepín Martín Vázquez) c'est le coup de foudre. Ce mélodrame plein de lumières de trahisons et de sang, tourné en Espagne, se déroule dans le monde trouble des corridas.
Monsieur Cabissol, maire de Martigues, souhaite présenter une corrida dans le cadre des prochaines festivités. Mais un réfractaire à ce spectacle, Monsieur Escopette, enlève les taureaux et retarde les festivités. Une fois les bêtes retrouvées, en représailles, on veut contraindre Escopette à prendre la place du torero indisponible. Heureusement, Rémy, un jeune Martégal astucieux et sympathique, trouvera une solution qui conviendra à tout le monde et, en récompense, le maire lui accordera la main de l'une de ses filles, l’élue de son cœur…
Dans ce documentaire réalisé pour la télévision anglaise, Orson Welles présente l'univers de la tauromachie, le « mundillo » de la corrida et commente celle du 23 mai 1955 à Madrid, où le torero Antonio Ordóñez se fait prendre.
Dans un village de castille, deux toreros vont participer à une capea. L'un, Fligranes, est jeune, plein d'enthousiasme, l'autre, Acetuno, plus âgé, beaucoup moins enthousiaste, a peur des taureaux. En se promenant dans le village, les deux hommes rencontrent une jeune fille pour laquelle Filigranes a envie de briller dans l'arène. Mais le garçon se fait embrocher par le taureau, et c'est finalement Aceituno, qui estoque l'animal.
À San Ginés de la Sierra, petit village perdu d'Andalousie, un couvent surnommé le Refuge des vaincus accueille les miséreux dont les nonnes prennent soin. Mais les moyens du couvent ne leur permettent plus de poursuivre leur action. Les nonnes demandent alors au maire du village de leur prêter les arènes pour y organiser une becerrada de charité. À cette becerrada figurent les toreros Antonio Ordóñez, Antonio Bienvenida et Mondeño dans leurs propres rôles.
Un agriculteur camarguais, acculé à l'hypothèque de ses biens les plus précieux (hangar, terrains), effectue une tentative de suicide à la carabine. Son fils, qui vivote avec un petit trafic de cannabis et qui est raseteur (chercheur de cocarde entre les cornes du taureau lors d'une course camarguaise) à l'occasion, décide de tout faire pour sauver les terres familiales et redonner à son père le goût de la vie.
Fils de mineur, Sebastián rêve de devenir toréador. Encore apprenti cordonnier, il torée le soir dans un pré loin des regards. Avec le temps, à force de détermination et après de nombreuses vicissitudes, il parviendra à réaliser son rêve.