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Hisham Zreiq est un Réalisateur, Scénariste, Producteur et Monteur Israelien né le 9 février 1968 à Nazareth (Israel)

Hisham Zreiq

Hisham Zreiq
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Nationalité Israel
Naissance 9 février 1968 (56 ans) à Nazareth (Israel)

Hisham Zreiq (Arabic: هشام زريق‎, born 9 February 1968 in Nazareth), also spelled Zrake, is an award-winning Palestinian Christian Independent filmmaker, poet and visual artist. He began working in computer art in 1994, and in 1996 started exhibiting his work in galleries and museums.
In 2007 he filmed his first documentary, The Sons of Eilaboun, and in 2008 he created the short film Just Another Day (2008 short film), dealing with the life of Arabs living in western world after September 11 terror attacks. He uses his poetry and visual art in his films, as in Just Another Day, and was a member of the Culture Unplugged film festival panel.

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Filmographie de Hisham Zreiq (3 films)

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Réalisateur

The Sons of Eilaboun, 24minutes
Réalisé par Hisham Zreiq
Origine Israel
Genres Documentaire
Thèmes Afrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive
Note68% 3.4373153.4373153.4373153.4373153.437315
Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.

Scénariste

Producteur

Before You Is the Sea, 9minutes
Réalisé par Hisham Zreiq
Rôle Producteur

Monteur

The Sons of Eilaboun, 24minutes
Réalisé par Hisham Zreiq
Origine Israel
Genres Documentaire
Thèmes Afrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive
Note68% 3.4373153.4373153.4373153.4373153.437315
Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.