Al-Nakba: The Palestinian Catastrophe 1948 is a documentary film of Benny Brunner and Alexandra Jansse. It follows the events that surround the 1948 Palestinian exodus. It was filmed in 1996, is 58 minutes long and is in English. Based on the book The Birth of the Palestinian Refugee Problem, 1947–1949 by Benny Morris, it is the first documentary film to examine the displacement of 750,000 Palestinians during the birth of the state of Israel. The film shifts between interviews with Palestinian refugees and the reactions of Irgun and Haganah soldiers who witnessed and participated in the events of 1948.
Bande annonce de Al Nakba: The Palestinian Catastrophe 1948
Suggestions de films similaires à Al Nakba: The Palestinian Catastrophe 1948
Il y a 0 films avec le même réalisateur, 8942 ayant les mêmes genres cinématographiques, 13323 films qui ont les mêmes thèmes (dont 55 films qui ont les mêmes 10 thèmes que Al Nakba: The Palestinian Catastrophe 1948), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
Si vous avez aimé Al Nakba: The Palestinian Catastrophe 1948, vous aimerez sûrement les films similaires suivants :
, 24minutes Réalisé parHisham Zreiq OrigineIsrael GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive Note68% Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.