Spanish Teen Rally is a 2014 Spanish documentary film directed by Amparo Fortuny. The film delves into the world of a group of teenagers whose protests in defense of Public Education triggered the so-called Valencian Spring. It was the very first experience of protest for many of them and lead to their crash with reality. Not only did these teenagers become the symbol of the student protests throughout Spain; they also became a reflection of the youth's disenchantment facing an uncertain future in a country where the austerity policies are beginning to seriously affect society.
In the documentary we find testimonials from students from 13 to 19 years of age with shocking images of the demonstrations together with foregrounds of the young protagonists enduring police charges and the destruction of children icons (dolls, balloons, cakes and confetti, etc..)
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The documentary opens with scenes of the violence at the event, depicting fighting between protesters and Jewish students attempting to enter the venue. This is followed by an interview with student Samir Elitrosh, a leader of the Solidarity for Palestinian Human Rights and the leader of anti-Israel violence who was later suspended. It also features interviews with Concordia's Hillel president Yoni Petel and Concordia rector Frederick Lowy, and concludes with a discussion of what it sees as the growing trend of anti-Israel activities on North American campuses.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.
Au Cameroun en mars 2000, le Président de la République institue un "commandement opérationnel" pour lutter contre le grand banditisme de la région de Douala. Le commandement procède à des rafles : 1600 personnes disparaissent ou sont tuées. Un an après, neuf jeunes garçons disparaissent. Le haut-commissaire aux droits de l'homme aux Nations Unies est saisi. Les auteurs de ces rafles sont jugés responsables mais les procédures n'aboutissent pas. Les familles des victimes doivent vivre entre désirs de justice et pressions pour que les crimes soient à jamais effacés de la mémoire collective.
Entre avril et juillet 1994, le massacre Tutsis et des Hutus modérés a fait un million de morts. À l’initiative de Fest’Africa, une dizaine d’auteurs africains se sont retrouvés en résidence d’écriture à Kigali, quatre ans après les évènements, cherchant à briser le silence des intellectuels africains sur le génocide.