Fuck is a 2005 American documentary film by director Steve Anderson about the word "fuck". The film argues that the word is an integral part of societal discussions about freedom of speech and censorship. It looks at the term from perspectives which include art, linguistics, society and comedy, and begins with a segment from the 1965 propaganda film Perversion for Profit. Scholars and celebrities analyze perceptions of the word from differing perspectives. Journalist Sam Donaldson talks about the versatility of the word, and comedian Billy Connolly states it can be understood despite one's language or location. Musician Alanis Morissette comments that the word contains power because of its taboo nature. The film features the last recorded interview of author Hunter S. Thompson before his suicide. Scholars, including linguist Reinhold Aman, journalism analyst David Shaw and Oxford English Dictionary editor Jesse Sheidlower, explain the history and evolution of the word. Language professor Geoffrey Nunberg observes that the word's treatment by society reflects changes in our culture during the 20th century.
Anderson was exposed to public conceptions surrounding the word "fuck" by comedian George Carlin's monologue "Seven Words You Can Never Say on Television". He named the film Fuck despite anticipating problems with marketing. Animator Bill Plympton provided sequences illustrating key concepts in the film. The documentary was first shown at the AFI Film Festival on November 7, 2005, at ArcLight Hollywood in Hollywood.
Fuck's reviews were mixed. Film critic A. O. Scott called the documentary a battle between advocates of morality and supporters of freedom of expression. The Washington Post and the New York Daily News criticized its length and other reviewers disliked its repetitiveness – the word "fuck" is used 857 times in the film. In his 2009 book Fuck: Word Taboo and Protecting Our First Amendment Liberties, law professor Christopher M. Fairman called the movie "the most important film using 'fuck'". The American Film Institute said, "Ultimately, Fuck is a movie about free speech ... Freedom of expression must extend to words that offend. Love it or hate it, fuck is here to stay.
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, 1h31 Réalisé parMichael Moore OrigineEtats-Unis GenresComédie, Documentaire, Historique ThèmesPolitique, Transport, Le monde du travail, Automobile, Documentaire sur le monde des affaires, Documentaire sur la politique, Documentaire sur les technologies, Documentaire sur le monde du travail, Politique, Road movie ActeursMichael Moore, Ronald Reagan, Guy Williams, Pat Boone Note74% Tourné sur plus de trois ans, le film relate d'un point de vue très personnel le déclin de Flint, ville berceau de General Motors (GM), qui y possédait auparavant la plus grande entreprise du monde. Moore évoque d'abord son enfance à Flint, ses envies de départ, la période lors de laquelle il devient journaliste à San Francisco, puis le choc que subit la ville ouvrière quand il y revient, avec le début de licenciements massifs et de fermetures d'usines. Victime des délocalisations au Mexique menées par sa mono-industrie, Flint cherche des reconversions improbables, comme le tourisme, qui échouent inéluctablement, et voit grimper le chômage, les problèmes sociaux, la criminalité et l'exode de sa population. Le président Ronald Reagan, venu à la rencontre des habitants, leur conseille ainsi de partir chercher du travail ailleurs.
Réalisé parPierre Falardeau, Julien Poulin OrigineCanada GenresDocumentaire ThèmesPolitique, Documentaire sur la politique, Politique, Documentaire sur la politique du Québec, Langues et la traduction ActeursMarie Eykel Note71% Speak White est un poème en langue française composé par l'écrivaine québécoise Michèle Lalonde en 1968. Il a été récité pour la première fois en 1970 et publié en 1974 aux éditions de l'Hexagone, à Montréal. Il dénonce la mauvaise situation des francophones au Québec et prend le ton d'une plainte collective contre les Québécois anglophones. En 1980, Speak White est porté à l'écran par les polémistes Pierre Falardeau et Julien Poulin. Le film, d'une durée de six minutes, met en scène l'actrice Marie Eykel lisant le poème de Lalonde.
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