Les Enfants du Borinage, lettre à Henri Stork est un film documentaire belge de 54 minutes de Patric Jean sorti en 1999.
Synopsis
Sur les traces des grands documentaristes Henri Storck et Joris Ivens, Patric Jean met en parallèle deux époques (1933-1999) et déplore en cette fin de siècle une misère toujours présente…, pire, intolérable aujourd’hui. Sous forme de lettre-vidéo adressée à Henri Storck, sa caméra s’attarde dans les familles, dans les quartiers, auprès des responsables politiques locaux pour illustrer la transmission de la misère intellectuelle et de la pauvreté d'une génération à l'autre. Ce qui étonne, c'est le silence qui entoure les pauvres : à force d’être méprisés, ils se méprisent eux-mêmes. Ils souffrent, en silence, dans une violence de tous les jours.
Bande annonce de Les enfants du Borinage - Lettre à Henri Storck
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, 1h43 Réalisé parPatric Jean OrigineFrance GenresDocumentaire ThèmesFéminisme, Politique, Politique Note65% Peut-on croire qu’au XXIème siècle, des hommes exigent le retour aux valeurs ancestrales du patriarcat : les femmes à la cuisine et les hommes au pouvoir ? Peut-on imaginer que des jeunes femmes instruites recherchent un « compagnon dominant » ? Que penser d’hommes qui subissent une opération d’allongement du pénis, « comme on achète une grosse voiture » ? Si ces tendances peuvent de prime abord sembler marginales, le film nous démontre que nos attitudes collent rarement à nos discours. L’illusion de l’égalité cache un abîme d’injustices quotidiennes que nous ne voulons plus voir. Et où chacun joue un rôle.
An opening narration explaining that the film's purpose is to examine the "world strategy of food", in terms of its production, distribution and consumption. The film is then divided into three parts: "Food - As It Was", "Food - As It Is" and "Food - As It Might Be".
Koundi est un grand village de 1 200 habitants dans l’Est du Cameroun. Conscients de leur richesse forestière, les villageois ont l’idée de l’utiliser pour lutter contre la pauvreté. C’est pourquoi ils s’organisent en groupement d’intérêt communautaire et entreprennent de créer une cacaoyère de plusieurs hectares afin d’assurer leur autonomie. Ils instituent ainsi un « jeudi national » : un jour par mois, ils travaillent à la création d'une cacaoyère. La vie au village est vue sous le prisme de l'autogestion.
, 1h26 Réalisé parPatric Jean GenresDocumentaire Note74% Le premier plan du film le résume en partie : de la fenêtre d'une prison en construction, on voit au loin une usine en ruine. La fermeture de la seconde est, pour le réalisateur, la cause indirecte, mais mécanique de la création de la première : « aujourd’hui on détruit ici une usine et demain on bâtira une prison ». Telle est la thèse du documentaire.