Motherland (እናት ሀገር ʿenathager) is a 2010 independent documentary film directed and written by Owen 'Alik Shahadah. Motherland is the sequel to the multi-award winning film 500 Years Later.
Synopsis
Motherland is an epic documentary about the African continent from Ancient Egypt to the present. It is an overview of African history and contemporary issues but with the African people at the centre of the story. It is one of the first Pan-African features to be made.
Il y a 18 films ayant les mêmes acteurs, 3 films avec le même réalisateur, 8968 ayant les mêmes genres cinématographiques, 11494 films qui ont les mêmes thèmes (dont 1 films qui ont les mêmes 9 thèmes que Motherland), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
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OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Politique Note80% To a large extent, the film consists of interviews with genocide survivors, many of whom were children in 1994. In all, over thirty survivors, perpetrators, and experts were interviewed for the film. In these interviews, the survivors discuss what it means to be a Rwandan and to live next door to people who killed their families. The survivors describe how they deal with their country's request that they forgive one another and move on, so that Rwanda can rebuild and unify itself. Perpetrators' views illuminate the madness that seized the culture in 1994; exploring the experience of apologizing to victims, and examining what it is like to be looked at as a murderer in Rwandan society.
Entre avril et juillet 1994, le massacre Tutsis et des Hutus modérés a fait un million de morts. À l’initiative de Fest’Africa, une dizaine d’auteurs africains se sont retrouvés en résidence d’écriture à Kigali, quatre ans après les évènements, cherchant à briser le silence des intellectuels africains sur le génocide.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.