Screamers is a 2006 documentary by director Carla Garapedian conceived by Peter McAlevey and Garapedian and produced by McAlevey. The film explores why genocides have occurred in modern day history and features talks from Serj Tankian, lead vocalist of the American alternative metal band System of a Down, whose grandfather is an Armenian Genocide survivor, as well as from human-rights activist, journalist, and professor, Samantha Power, as well as various other people involved with genocides in Rwanda and Darfur. Screamers also examines genocide denial in current-day Turkey, and the neutral trend that the United States generally holds towards genocide.
Journalist Hrant Dink was assassinated in Istanbul in January 2007, by a 17-year-old Turkish nationalist shortly after the premiere of Screamers, in which he was interviewed about Turkish denial of the Armenian Genocide of 1915 and the case against him under article 301.
Screamers is now shown in Armenian Youth organizations to explain and clarify the Armenian Genocide, and raise awareness. Also, it is used to educate Armenians and others about the genocide.
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OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Le racisme, Documentaire sur la discrimination, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Politique Note80% To a large extent, the film consists of interviews with genocide survivors, many of whom were children in 1994. In all, over thirty survivors, perpetrators, and experts were interviewed for the film. In these interviews, the survivors discuss what it means to be a Rwandan and to live next door to people who killed their families. The survivors describe how they deal with their country's request that they forgive one another and move on, so that Rwanda can rebuild and unify itself. Perpetrators' views illuminate the madness that seized the culture in 1994; exploring the experience of apologizing to victims, and examining what it is like to be looked at as a murderer in Rwandan society.
Au Rwanda, une centaine de membres de l’association Ukuri Kuganze, essentiellement formée de survivants du génocide, et quelques-uns de leurs bourreaux, libérés après d’être confessés et avoir demandé pardon en 2003, se réunissent dans un centre de réinsertion. Ces bourreaux retournent chez eux, souvent dans les lieux mêmes où ils ont perpétré leurs crimes et ils doivent « faire face » à leurs victimes et leur demander pardon. En 1994, en l’espace de 100 jours, près d’un million de personnes avaient été assassinées, soit près de 10 000 morts chaque jour.
Entre avril et juillet 1994, le massacre Tutsis et des Hutus modérés a fait un million de morts. À l’initiative de Fest’Africa, une dizaine d’auteurs africains se sont retrouvés en résidence d’écriture à Kigali, quatre ans après les évènements, cherchant à briser le silence des intellectuels africains sur le génocide.
Avril 1994 : génocide au Rwanda. 800 000 morts. Une catastrophe qui entraînera des déséquilibres dans toute la région. L’Afrique des Grands Lacs finit le siècle dans un bain de sang. Ce documentaire montre les intrigues, les coups d’éclat, les trahisons, les vengeances qui ont prévalu durant ces années avec pour seuls objectifs de conserver ou d’agrandir sa zone d’influence. C’est ainsi que cette décennie a vu s’envoler peu à peu tous les espoirs des populations. Espoirs d’une Afrique maîtresse de son destin, d’une autosuffisance alimentaire, de l’arrêt des conflits interethniques…