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Alla Pougatcheva est une Actrice Russe née le 15 avril 1949 à Moscou (Russie)
Alla Borissovna Pougatcheva ou, selon la prononciation correcte Pougatchiova, (en russe : Алла Борисовна Пугачёва), née le 15 avril 1949 à Moscou, est une chanteuse et actrice russe extrêmement populaire en Russie et dans les pays de l'ancien bloc soviétique, comme l'attestent la vente de ses disques et le nombre d'émissions qui lui sont consacrées à la télévision russe.
Elle a commencé sa carrière en 1965. Elle est régulièrement l'objet d'articles dans la presse populaire et les rubriques people sur sa carrière et sa vie privée. Pour certains, elle est l'incarnation de la culture populaire soutenue par l'État et des campagnes médiatiques régulières et répétitives. Elle a aidé tout au long de sa carrière d'autres chanteurs totalement inconnus à devenir célèbres.
Avant de se lancer dans une carrière professionnelle en solo, elle collabore avec de nombreux ensembles musicaux soviétiques. La chanteuse met sur pied d’innombrables concerts, dont « La femme qui chante » (1979), « Les monologues d’une chanteuse » (1981), et la représentation théâtralisée « Je suis venue et je parle » (1984).
Alla Pougatcheva est la gagnante du Concours Intervision de la chanson en 1978 en représentant la Russie.
Alla Pougatcheva participe ensuite à des dizaines de festivals et de concours de la chanson et donne des concerts en Russie et à l’étranger. Ses tournées aux États-Unis, en Allemagne, en Suisse, en Inde, en France, en Italie, en Hongrie, en Suède, en Yougoslavie, en Roumanie, en Israël, en Pologne, en Finlande, au Japon, en Corée du Nord, en Australie, entre autres, recueillent toujours un vrai succès.
En septembre 1988, Alla termine sa première tournée aux États-Unis en donnant un concert au réputé Carnegie Hall de New York.
Le 20 décembre 1991, on lui décerne le titre d'Artiste du peuple de l'URSS
La chanteuse collabore avec de nombreux chanteurs et compositeurs russes et étrangers, dont Alexandre Zatsepine, Raimonds Pauls, Igor Nikolaïev, Youri Tchernavski, Vladimir Kouzmine, Joe Dassin, ou encore Udo Lindenberg.
En Russie, Alla Pougatcheva est considérée comme la plus grande chanteuse des dernières décennies, comme en atteste son surnom de Primadonna.
Famille
Deuxième des trois enfants de Boris Mikhailovich Pougatchev (1918-1982) et Zinaïda Arkhipovna Odegova (1922-1986) elle a été prénommée Alla en l'honneur de l'actrice Alla Tarasova.
Alla Pougatcheva a une fille de son union avec l'artiste de cirque lituanien Mikolas Edmondas Orbakas, Kristina, née le 25 mai 1971, et est grand-mère de trois petits-enfants. Après quatre ans de mariage elle réclame le divorce en 1973 et épouse en secondes noces, en 1976, le cinéaste Alexandre Stepanovitch, dans certains des films duquel elle apparaît. Le divorce est prononcé en 1980 après une longue procédure concernant le partage des biens, notamment leur maison luxueuse.
Après plusieurs années de vie commune, elle se marie en 1985 avec le producteur Evgueni Boldine avec qui elle collabore. Ils divorcent en 1993, car selon leurs dires leurs activités professionnelles interfèrent trop avec leur vie privée, Alla a particulièrement souffert du divorce en découvrant son infertilité suite à un avortement que son conjoint lui aurait demandé de subir à la fin des années 80, alors qu'enceinte de six mois elle attendait un garçon. Elle se marie en 1994 avec un chanteur populaire célèbre, Philipp Kirkorov, beaucoup plus jeune qu'elle (elle est de 18 ans son aînée). Ils annonceront publiquement leur divorce en 2005, bien qu'ils n'aient pas eu d'enfants. Alla fait de nombreuses fausses-couches jusqu'en 1996 en raison de sa santé défaillante.
Elle se lie en décembre 2011 avec le chanteur et présentateur Maxime Galkine qui a vingt-sept ans de moins qu'elle, ce qui provoque la risée de certains journalistes de la presse à scandale. Le 18 septembre 2013 naissent sa fille Yelizaveta et son fils Harry (dont le père est Maxime Galkine) par maternité du substitution grâce à ses propres ovocytes que la chanteuse avait fait cryogéniser en 2001.
Source : Wikidata
Alla Pougatcheva
Nom de naissance Alla Borissovna Pougatcheva
Nationalité Russie
Naissance 15 avril 1949 (75 ans) à Moscou (Russie)
Récompenses Artiste du peuple de l'URSS
Nationalité Russie
Naissance 15 avril 1949 (75 ans) à Moscou (Russie)
Récompenses Artiste du peuple de l'URSS
Elle a commencé sa carrière en 1965. Elle est régulièrement l'objet d'articles dans la presse populaire et les rubriques people sur sa carrière et sa vie privée. Pour certains, elle est l'incarnation de la culture populaire soutenue par l'État et des campagnes médiatiques régulières et répétitives. Elle a aidé tout au long de sa carrière d'autres chanteurs totalement inconnus à devenir célèbres.
Biographie
Enfant, Alla Pougatcheva se passionnait déjà pour la musique. Elle est encore écolière quand elle commence sa carrière de chanteuse.Avant de se lancer dans une carrière professionnelle en solo, elle collabore avec de nombreux ensembles musicaux soviétiques. La chanteuse met sur pied d’innombrables concerts, dont « La femme qui chante » (1979), « Les monologues d’une chanteuse » (1981), et la représentation théâtralisée « Je suis venue et je parle » (1984).
Alla Pougatcheva est la gagnante du Concours Intervision de la chanson en 1978 en représentant la Russie.
Alla Pougatcheva participe ensuite à des dizaines de festivals et de concours de la chanson et donne des concerts en Russie et à l’étranger. Ses tournées aux États-Unis, en Allemagne, en Suisse, en Inde, en France, en Italie, en Hongrie, en Suède, en Yougoslavie, en Roumanie, en Israël, en Pologne, en Finlande, au Japon, en Corée du Nord, en Australie, entre autres, recueillent toujours un vrai succès.
En septembre 1988, Alla termine sa première tournée aux États-Unis en donnant un concert au réputé Carnegie Hall de New York.
Le 20 décembre 1991, on lui décerne le titre d'Artiste du peuple de l'URSS
La chanteuse collabore avec de nombreux chanteurs et compositeurs russes et étrangers, dont Alexandre Zatsepine, Raimonds Pauls, Igor Nikolaïev, Youri Tchernavski, Vladimir Kouzmine, Joe Dassin, ou encore Udo Lindenberg.
En Russie, Alla Pougatcheva est considérée comme la plus grande chanteuse des dernières décennies, comme en atteste son surnom de Primadonna.
Famille
Deuxième des trois enfants de Boris Mikhailovich Pougatchev (1918-1982) et Zinaïda Arkhipovna Odegova (1922-1986) elle a été prénommée Alla en l'honneur de l'actrice Alla Tarasova.
Alla Pougatcheva a une fille de son union avec l'artiste de cirque lituanien Mikolas Edmondas Orbakas, Kristina, née le 25 mai 1971, et est grand-mère de trois petits-enfants. Après quatre ans de mariage elle réclame le divorce en 1973 et épouse en secondes noces, en 1976, le cinéaste Alexandre Stepanovitch, dans certains des films duquel elle apparaît. Le divorce est prononcé en 1980 après une longue procédure concernant le partage des biens, notamment leur maison luxueuse.
Après plusieurs années de vie commune, elle se marie en 1985 avec le producteur Evgueni Boldine avec qui elle collabore. Ils divorcent en 1993, car selon leurs dires leurs activités professionnelles interfèrent trop avec leur vie privée, Alla a particulièrement souffert du divorce en découvrant son infertilité suite à un avortement que son conjoint lui aurait demandé de subir à la fin des années 80, alors qu'enceinte de six mois elle attendait un garçon. Elle se marie en 1994 avec un chanteur populaire célèbre, Philipp Kirkorov, beaucoup plus jeune qu'elle (elle est de 18 ans son aînée). Ils annonceront publiquement leur divorce en 2005, bien qu'ils n'aient pas eu d'enfants. Alla fait de nombreuses fausses-couches jusqu'en 1996 en raison de sa santé défaillante.
Elle se lie en décembre 2011 avec le chanteur et présentateur Maxime Galkine qui a vingt-sept ans de moins qu'elle, ce qui provoque la risée de certains journalistes de la presse à scandale. Le 18 septembre 2013 naissent sa fille Yelizaveta et son fils Harry (dont le père est Maxime Galkine) par maternité du substitution grâce à ses propres ovocytes que la chanteuse avait fait cryogéniser en 2001.
Le plus souvent avec
Filmographie de Alla Pougatcheva (3 films)
Actrice
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L'ironie du sort. La suite (2007)
, 1h55Réalisé par Timour Bekmambetov
Origine Russie
Genres Drame, Comédie, Comédie dramatique, Comédie romantique, Romance
Acteurs Andrey Myagkov, Barbara Brylska, Yury Yakovlev, Constantin Khabenski, Elizaveta Boïarskaïa, Sergueï Bezroukov
Rôle au chant
Note49%
The characters from the first film now have children, who have managed to get into the same situation as their parents many years ago. However, this story is not simply a remake of the original movie. Firstly, all of Lukashin's adventures were accidental, whereas here everything is done according to a plan thought up by Pavlik (a friend of Lukashin's). His idea is to help his friend Evgeniy with his loneliness. To this end, he dispatches Lukashin's son Kostya to Petersburg, where he acts in the same manner as his father 30 years ago. In flat 12 he meets Nadejda (who is actually the daughter of Nadejda from the first movie). She has a fiancé called Irakliy, a businessman. Kostantin's task is to lure Iracliy away from the flat, then wait for Nadejda's mother to come; he then makes her call Evgeniy Lukashin. Pavlik persuades Evgeniy to go to St. Petersburg. The plot becomes a story of two fights over a woman: Konstantin vs. Irakliy and Evgeniy vs. Ippolit. Finally Lukashins win the competition, because Irakliy turns out to be too dull for Nadya and Nadejda understands that she was never in love with Ippolit.
, 3h4Réalisé par Eldar Riazanov
Origine Russie
Genres Drame, Comédie, Comédie romantique, Romance
Acteurs Andrey Myagkov, Barbara Brylska, Alexandre Schirwindt, Alexander Belyavsky, Georgi Burkov, Yury Yakovlev
Rôle Nadya (singing voice)
Note80%
Le film débute par un court film d'animation satirique traitant de la standardisation excessive de l'habitat soviétique, en montrant des immeubles ou maisons qui se ressemblent tous, et qui se sont développés dans de nombreuses villes du pays (l'auteur du film d'animation est Vitaliy Peskov). Après le générique, l'idée du film est prolongée par les méditations ironiques de Pavlik, qui traverse en autobus des quartiers où poussent ces nouvelles constructions moscovites, pour se rendre chez Jénia et l'inviter au bania.