Date de fondation 12 aout 1895 FondateurLéon Gaumont
Gaumont est une société française d'appareillage et d'exploitation cinématographique fondée en 1895. C'est la plus ancienne société cinématographique au monde.
En Norvège, le jeune Söfren, candidat au pastorat dans un village, doit, pour obtenir cette charge, épouser la veuve du précédent pasteur, Dame Marguerite. Celle-ci est âgée de plus de soixante-dix ans et a déjà connu trois maris. Söfren l'épouse malgré tout. Il engage toutefois Kari, dont il est amoureux, comme servante au presbytère et la fait passer pour sa sœur. Son objectif est d'en finir avec la vieille dame : il tente, en se déguisant sous les traits du Diable, de la faire mourir de peur, mais échoue lamentablement. En d'autres circonstances, il ôte une échelle d'un grenier, afin qu'elle s'y rompe le cou : comble d'infortune, c'est Kari qui en est la victime. Dame Marguerite entreprend de la soigner et finit par lui sauver la vie. Dès lors, Söfren lui confie la vérité. La vieille dame décide alors de se laisser mourir. Kari et Söfren s'uniront, mais, bouleversés et reconnaissants, ils rendront hommage à Dame Marguerite.
Un mystérieux justicier, Judex, entre en lutte contre le banquier Favraux qui a construit sa fortune de manière criminelle. Judex enlève Favraux et l'enferme dans les caves de son repaire. Cependant, ses plans sont contrariés par une aventurière, Diana, qui cherchait à mettre la main sur la fortune du banquier. Celle-ci s'en prend alors à sa fille, mais Judex tombé sous son charme, veille sur la jeune femme.
Un voleur s'est introduit dans l'hôtel de la princesse Danidoff à Paris. De plus, il marque son passage d'une carte de visite signée Fantômas. L'inspecteur Juve enquête.
Le film montre les douze travaux d'Hercule sous forme de personnages de papier découpé inspirés par le théâtre de marionnettes. Les personnages sont dessinés en noir et blanc dans des graphismes inspirés par la céramique grecque antique.
Cohl dessine un petit bonhomme, à l'allure clownesque, qui se déplace dans un univers surréaliste. La main de l'auteur donne naissance au personnage dès la première scène et tout au long du film, il apparaît et disparaît au gré de ses envies pour semer le trouble chez des spectateurs venus au théâtre. Il est capable de se transformer à partir d'une bulle, de métamorphoser sa tête en bilboquet, devient prisonnier d'une bouteille, en ressort… Et quand il est brisé en deux, c'est la main de l'auteur qui intervient pour le reconstituer.
Les rôles sont inversés. Les hommes se comportent en femmes et les femmes en hommes : efféminés, les mâles décorent leurs cheveux avec des fleurs et font le ménage, et s'adonnent à la couture et au repassage… De leur côté, dans un bar, les femelles boivent, fument et séduisent. À la fin, les hommes se rebellent, et tout rentre dans « l'ordre ».
Deux braconniers sont surpris par des gardes qui se lancent à leur poursuite. Ils n’hésitent pas à faire feu sur leurs poursuivants, tuant l’un d’entre eux, en blessant un autre. Après une course mouvementée, ils sont cernés et capturés.
A couple elope by car. The woman's wealthy father gives chase, but his limousine breaks down. When he arrives too late to prevent the marriage, he becomes reconciled to his new son-in-law.