Jeremy Hardy vs. the Israeli Army is a 2003 feature documentary directed by Leila Sansour and starring Jeremy Hardy. It follows the International Solidarity Movement and their activities in Palestine.
Suggestions de films similaires à Jeremy Hardy vs. the Israeli Army
Il y a 0 films ayant les mêmes acteurs, 8965 ayant les mêmes genres cinématographiques, 13323 films qui ont les mêmes thèmes (dont 55 films qui ont les mêmes 10 thèmes que Jeremy Hardy vs. the Israeli Army), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
Si vous avez aimé Jeremy Hardy vs. the Israeli Army, vous aimerez sûrement les films similaires suivants :
Paths of lives are crossed in one village in the West Bank. Along the broken water pipelines, villagers walk on their courses towards an indefinite future. Israel that controls the water, supplies only a small amount of water, and when the water streams are not certain nothing can evolve. The control over the water pressure not only dominates every aspect of life but also dominates the spirit. Bil-in, without spring water, is one of the first villages of the West Bank where a modern water infrastructure was set up. Many villagers took it as a sign of progress, others as a source of bitterness. The pipe-water was used to influence the people so they would co-operate with Israel’s intelligence. The rip tore down the village. Returning to the ancient technique of collecting rainwater-using pits could be the villagers’ way to express independence but the relations between people will doubtfully be healed.
, 24minutes Réalisé parHisham Zreiq OrigineIsrael GenresDocumentaire ThèmesAfrique post-coloniale, Religion, Documentaire sur le droit, Documentaire sur la guerre, Documentaire historique, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la politique, Documentaire sur la religion, Politique, Religion juive Note68% Le 30 octobre 1948, l’armée israélienne envahit le village d'Eilaboum au Nord de la Galilée. Mon oncle Badia et 18 autres hommes du village qui s’étaient cachés avec les habitants du village dans deux églises, sont amenés sur la place du village. Le reste des habitants sont expulsés du village jusqu’à la frontière du Liban. Les hommes qui restèrent sur la place du village sont forcés à ne pas bouger et à garder leurs mains sur la tête pendant que les soldats Israéliens discutent de vive voix. Un officier Israélien s’avance et crie, « nous avons besoin de trois hommes ». Trois hommes se lèvent et accompagnent les soldats. Quelques instants plus tard trois coups de feu sont tirés. Les soldats reviennent : « Trois hommes de plus ». Trois coups de feu sont tirés. Et ainsi de suite jusqu’au moment où il ne reste plus que trois hommes en vie sur la place. Parmi eux se trouve mon oncle Badia. Ces trois hommes sont mis en file et tués à bout portant. Même aujourd’hui, après plus de 50 ans, mon père ne peut s’empêcher de pleurer en racontant cette tragédie. Il perdit son frère et tous les habitants de son village devinrent des réfugiés. Lorsque les habitants reviennent à leur village ils ne le reconnurent plus. Tous les biens de valeur furent pillés. Et tout ce que les soldats ne purent transporter fut détruit.