Unknown White Male is a 2005 documentary film directed by Rupert Murray, covering the life of his childhood friend Doug Bruce, a British resident of New York who appeared to suffer from sudden amnesia, who woke up on a subway train in Coney Island in 2003, not knowing who or where he was.
The film premiered at the Sundance Film Festival 2005. It was nominated for a British Independent Film Award, a Grierson and a Directors Guild of America award. It was also shortlisted for a Grierson and an Academy Award. It was theatrically released in the US by Wellspring and shown on Court TV. In the UK it was released by Shooting People, the filmmakers community whose members made the film and shown on Channel 4 TV who had commissioned the film originally.
During the film, medical experts opine that Bruce is suffering from a syndrome called retrograde amnesia, a form of amnesia where the sufferer cannot recall events from before the onset of the amnesia, although it remains unclear how or whether Bruce suffered a trauma which caused the amnesia. [...]Voir plus...
Synopsis
La véritable histoire de Doug Bruce, qui s'est réveillé sur une l'île avec une amnésie totale.
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Comment dire la folie ? Comment exprimer la souffrance qui l’accompagne? En 1994, alors qu’elle basculait dans la maladie, Khady Sylla a rencontré Aminta Ngom qui exhibait alors sa folie librement, sans craindre la provocation. Pendant les années de souffrance de Khady, Aminta fut sa fenêtre sur le monde.
, 1h30 OrigineEgypte GenresDocumentaire ThèmesMaladie, Psychologie, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la santé, Folie, Le handicap, Hôpital psychiatrique Note65% Zelal est une invitation à plonger dans le monde de la psychiatrie et de la folie, en Égypte. Le film part à la rencontre de ces patients ordinaires, enfermés dans des hôpitaux par la société égyptienne, et offre davantage qu’un voyage au cœur de leur monde obscur. Les hôpitaux finissent par être le seul endroit que les patients envisagent, pas parce qu’ils sont réellement « fous » mais parce qu’ils craignent le monde extérieur. Le film oblige ainsi les spectateurs à remettre en question leurs préjugés et leurs interprétations, nous rappelant que, dans une société qui ne supporte pas la différence, la liberté est précaire.