Ce film constitue l’un des outils pédagogiques les plus efficace pour comprendre et faire comprendre cette idée. « Un revenu, c'est comme l'air sous les ailes de l'oiseau ! ». C'est ainsi que commence le film. Est-ce que ce revenu devrait être inconditionnel pour chacun ? Est-ce possible, un droit civique économique ? Le film est captivant, il fait réfléchir, il touche et met le doigt sur ce qui est raisonnable. Il permet de voir la situation de la société et le devoir de l'argent sous un jour nouveau. Un thème d'une actualité brûlante.
Le Larzac aujourd'hui, avec ses habitants au caractère bien trempé, ses paysages magnifiques et ses brebis. Tableau subjectif d'un lieu unique, fortement marqué par les luttes des années 70, une terre reconquise à l'armée, où les paysans d'alors et de nouveaux venus continuent à se battre pour une agriculture saine et un monde meilleur...
Ce documentaire retrace, de 1970 à 1981, dans le cadre immense du haut plateau du Larzac, Aveyron (Massif central) mais aussi dans la ville de Paris, les onze années de luttes non violentes et inventives menées par les paysans et paysannes du lieu contre leur expropriation au profit du projet de l'époque d'agrandir le camp d'entraînement militaire du Larzac. Ces hommes et ces femmes de la micro-société paysanne conservatrice et catholique française de l'époque se virent avec étonnement et parfois un peu de crainte épaulés par des dizaines de milliers de personnes qui, pour certaines, ont depuis fait souche dans ce pays en s'installant comme agriculteurs.
Un peu partout en France, Agnès a rencontré des glaneurs et glaneuses, récupereurs, ramasseurs et trouvailleurs. Par nécessite, hasard ou choix, ils sont en contact avec les restes des autres. Leur univers est surprenant. On est loin des glaneuses d'autrefois qui ramassaient les épis de blé après la moisson. Patates, pommes et autres nourritures jetées, objets sans maître et pendule sans aiguilles, c'est la glanure de notre temps. Mais Agnès est aussi la glaneuse du titre et son documentaire est subjectif.
Au bord du monde décrit le quotidien d'une dizaine de sans-abri vivant à Paris, à travers une série d'interviews et de conversations libres. Avec les histoires de Christine, Jeni, Wenceslas, Pascal ou Henri, le film met en exergue la solitude et la misère dans la foule d'une grande ville.
Caplongue, village aveyronnais de 80 habitants, a vu naître en 2012 l’association des Loco-Motivés. Son ambition est de produire et consommer local dans le respect de la nature, des animaux et des personnes, de la manière la plus conviviale possible. Au travers de portraits intimistes et poétiques, nous suivrons pendant douze mois dans le Lévézou l’engagement d’Isabelle, Jean-Marc, Vincent et les autres autour de cette grande idée.
Ce film raconte l’histoire de François et Claude, deux adolescents que la vie a profondément blessés. François est issu d’une famille bourgeoise qu’il a quittée à cause d’un conflit majeur avec son père, tandis que Claude, n’ayant jamais connu ses véritables parents, a fait, comme il le dit lui-même, trente-deux foyers d’accueil en seize ans de vie.