Le lycée Jules-Ferry n'affiche que 12 % de réussite au baccalauréat, ce qui fait de lui le pire lycée de France. L'inspecteur d'académie propose alors au proviseur d'engager les pires professeurs, en espérant que, paradoxalement, cela permettra au lycée de dépasser les 50 % de réussite ; faute de quoi, le lycée sera fermé. Sont alors engagés sept professeurs aux méthodes atypiques : Serge Cutiro (surnommé Tirocu par les élèves), un professeur dont on ne sait pas au départ la matière qu'il enseigne (juste excellent en maths, qui sera sa matière où il enseignera dans la suite) très fainéant, déclarant par exemple : « Aujourd'hui, on invente un exercice, on le fait, on le corrige, tout seul et en silence, hop c'est parti ! » ; Gladys, une professeur d'anglais tyrannique adepte du lancer de craie ; Albert, professeur de chimie féru d'expériences dangereuses et bizarres qui finissent la plupart du temps en explosion ; Amina, professeur de français aux courbes affriolantes ; Éric, professeur d’EPS adepte des exercices dangereux ; Maurice, professeur de philosophie québécois totalement incompréhensible (sauf quand il est sous l'emprise de l'alcool) ; et Antoine Polochon, professeur d'histoire idolâtrant Napoléon, et n'ayant jamais passé le CAPES.
François est un jeune professeur de français d’une classe de 4e dans un collège réputé difficile du 20e arrondissement de Paris. Il devra « affronter » ses élèves : Esméralda, Souleymane, Khoumba et les autres. François n’hésite pas à sortir du cadre académique et à pousser les adolescents jusqu’à leurs limites afin de les motiver, quitte à prendre parfois le risque de l'excès.
Les profs sont enlevés par les services secrets britanniques, sur ordre de la reine, pour enseigner à sa petite-fille Vivienne dans le meilleur lycée du Royaume-Uni afin que cette dernière devienne un digne successeur de la monarchie britannique. Les profs débarquent donc à Oxford et y amènent Boulard. Ce dernier fait, alors, la connaissance de Vivienne et découvre qu'elle est encore pire que lui côté scolaire. Une course débute alors entre eux pour savoir qui est le pire élève.
Laurent Monier est professeur agrégé d'histoire au lycée Fénelon d'Annecy. Le jour de ses 40 ans, il rentre dans son appartement plongé dans le noir ; il ignore que sa femme, ses enfants, sa belle-mère et ses amis sont en réalité dissimulés dans l'obscurité, n'attendant que le bon moment pour lui faire une surprise. Mais avant que son épouse n'ait pu rallumer la lumière, Monier décroche le téléphone et se croyant seul, bavarde avec l'appelant que l'on devine être sa maîtresse. Hélène, sa femme, rallume alors la lumière et s'enfuit dans sa chambre, alors même que leur jeune fils enclenche innocemment une cassette audio diffusant une chanson de joyeux anniversaire. Monier découvre le désastre sous l'œil narquois de son inénarrable belle-mère et de ses amis, qui ne savent plus où se mettre. Le couple divorce. Hélène étant nommée dans un lycée parisien, Laurent demande également sa mutation afin de rester près de ses enfants. Il se retrouve au collège Serge-Gainsbourg à Saint-Denis, établissement dit « sensible ». Dans ce collège, on l'affecte à la classe réputée la plus dissipée et indisciplinée de l'établissement, la 4e Techno. L'appartement de fonction qui lui est alloué, auparavant occupé par un professeur dépressif, se trouve dans la Cité des Mûriers, considérée comme la plus dure et violente des environs.
Claude, un élève brillant, doué et manipulateur du lycée Gustave Flaubert, à tendance pervers narcissique, provoque l’enthousiasme de son professeur de français à qui il fait part de ses écrits voyeuristes, qu'il rédige au détriment d'un camarade de classe.
Basé sur une histoire vraie, ce film relate les relations d'un professeur avec des adolescents qui ont depuis longtemps décroché du système scolaire. Cette enseignante du lycée Léon-Blum de Créteil (Val-de-Marne), décide de faire passer un concours national qui a pour thème : « Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi ». D'abord houleuse et frustrante, l'atmosphère va bientôt évoluer au contact d'un rescapé des camps et sous l'intensité dégagée lors de la visite d'un musée consacré à cette période noire de l'histoire. Cette expérience va changer leur vie.
Sonia Bergerac est professeur de lettres dans un collège de banlieue. Elle vit difficilement le quotidien de la relation avec ses élèves et elle est en outre fragilisée par le départ de son mari.
Sur le chemin de l'école narre les histoires parallèles de 4 enfants des quatre coins du monde pour qui, aller à l'école est un véritable périple. L'envie d'accéder au savoir, d'avoir de meilleures conditions de vie que leurs parents, leur donne ce courage.
Jeune professeur de lettres, Frédéric Game a des méthodes très « cool » qui tranchent avec les habitudes du lycée dans lequel il vient d'arriver. Avec ses amis Michel (professeur d'arts plastiques), Gérard (professeur d'EPS) et Francis (le documentaliste du lycée) — le quatuor se réunissant tous les jours à l'heure de la récréation pour jouer au poker en salle des profs, les quatre comparses décident de secouer les traditions et de rénover leur lycée, se chargeant notamment d'« évincer » certains profs ou membres du personnel qu'ils jugent trop « conservateurs » et avec qui ils entrent en conflit.
Albert et JM sont deux lascars contraints de rejoindre l'équipe du journal du collège Émile Zola. Après avoir sympathisé avec les trois autres élèves (Juju, Mousse et Sissi), ils décident de créer un site : « La vraie vie des profs » ou « VVDP ». Ils vont ainsi plonger dans la vie intime de leurs professeurs...
Le film brosse le portrait d'une adolescente, Junie, qui change de lycée après la mort de sa mère. Elle rejoint alors le foyer de sa tante, son oncle et son cousin Matthias.
Benjamin est un lycéen qui est secrètement amoureux d'une autre élève, Leila. Lors d'un samedi où il est contraint d'aller au lycée pour deux heures de colle, il se retrouve assis à côté de Leila. Or, il est bloqué dans une boucle temporelle : s’il s’éloigne de sa bien-aimée plus de trois minutes, il est renvoyé au début de la colle ! En fait, le génie de l’application Akinator a exaucé son vœu de la veille : « Je voudrais que Leila et moi on soit ensemble »...