L'essor des grands magasins au XIX siècle à travers l'histoire d'une orpheline qui monte à Paris pour travailler chez son oncle marchand de draps, transposée dans le Paris de la fin des années 1920. Le grand magasin est ici les Galeries Lafayette Haussmann, en plein travaux d'agrandissements (réels) abandonnés après le krach de 1929.
Paul, Mick, Len et Gerry travaillent au dépôt de chemins de fer de Sheffield, dans le Yorkshire. Ils s'occupent de l'entretien et de la signalisation des voies. Malgré les difficultés quotidiennes, l'ambiance est bonne et tout le monde travaille main dans la main.C'est Len, le plus âgé du groupe, qui dirige les opérations. Il a passé la plus grande partie de sa vie à travailler six jours par semaine sur les voies ferrées. Gerry, délégué syndical, s'active, quant à lui, à améliorer le quotidien des employés, mais la direction se montre pas toujours coopérante.C'est en arrivant un matin au dépôt que tous apprennent la privatisation des chemins de fer. Le travail est désormais partagé entre sociétés privées concurrentes.
Vincent, un consultant en entreprise, cache à son épouse qu'il a perdu son emploi. Il s'invente des rendez-vous de travail fictifs, puis fait croire qu'il a trouvé un nouvel emploi en Suisse. Pour subvenir à ses besoins, il commence à monter des escroqueries. Pris dans un engrenage, il se trouve amené à travailler pour Jean-Michel, un malfaiteur expérimenté.
« Tout homme bien portant est un malade qui s'ignore ». Pour le docteur Knock qui débarque dans le bourg de Saint-Maurice, persuader ses nouveaux concitoyens de cet état est un jeu d'enfant. Surtout avec la complicité, involontaire, de l'instituteur et du pharmacien et une consultation gratuite tous les lundis...
Vieil homme irascible, M. Baudu tient, dans les années 1860, une boutique de tissus dans un vieux quartier de Paris. Mais l'ouverture voisine d'un grand magasin moderne met son commerce en péril. Tout se complique lorsque sa nièce et ses deux neveux, récemment orphelins, quittent sans prévenir leur village normand et débarquent chez lui.
Dans un petit port de la Méditerranée, Guste est un pauvre pêcheur vivant seul du produit de sa pêche. Il est secrètement amoureux de la nièce de son voisin le pêcheur Baptistin, mais la jeune fille n'a pour lui qu'une grande amitié. Elle s'éprend de Maurice Carrissol, fils d'unmareyeur de Marseille, et un soir, dans la beauté du paysage méditerranéen, Mireille cède aux avances de Maurice. Mais ce qui n'était pour Maurice qu'une aventure parmi d'autres est pour Mireille le grand amour.
Le film est tourné dans le district de Tiexi, dans l'agglomération de Shenyang, au nord est de la Chine. Il retrace la vie des ouvriers d'un énorme complexe industriel en déclin et de leurs familles, au tournant du XXI siècle. La première partie, Rouille, tourne autour de la fermeture du dernier haut fourneau de l’usine. La deuxième, Vestiges, décrit la vie quotidienne des habitants du quartier. La troisième, Rails, suit le trajet du train qui parcourt l’usine.
Alors qu'il fait nuit noire et qu'il pleut à verse, le camion de Jean Chappe roule sur un corps étendu sur la chaussée, à côté de sa voiture. Cet homme avait participé quelques heures auparavant à un braquage sanglant. Ses complices retrouvent Jean et tentent de l'intimider, pensant qu'il a récupéré le butin du braquage lors de l'accident.
Baptistin Lachaud, dit Tistin, est un marginal qui vit de braconnage et aime lever le coude avec ses copains. Il est naturellement surveillé par le garde-champêtre, mais celui-ci se laisse parfois aller jusqu'à manger avec lui le produit de ses braconnages.
Envoyé au Sahara par la société pétrolière qui l'emploie et qui veut mettre un terme à des forages dont elle estime qu'ils sont improductifs, un jeune ingénieur, Lucien Rombeau, finit par se ranger à l'avis du chef des prospecteurs : ce dernier, refusant d'interrompre les travaux, est persuadé que la prospection ne sera pas vaine...
Alain, 20 ans, quitte sa famille sur un coup de tête. Il rêve sa vie comme un adolescent. À Saint-Nazaire, il se lie avec un ouvrier caréneur, José, qui lui permet de comprendre ce qu'est l'existence du travailleur. C'est également grâce à lui qu'il rencontre Annie, secrétaire aux chantiers de construction, dont le père adoptif, Le Guen, finira par convaincre le jeune homme de poursuivre ses études à Paris. Plus tard, il pourra alors envisager la vie commune avec Annie.
Un soir, en rentrant chez lui, Vincent Harris (Norman Reedus) croise un taxi provenant de sa maison. Lorsqu'il arrive, il est trop tard ; sa femme Ashley a été assassinée. Les maigres souvenirs qu'il garde du ravisseur présumé (une longue éraillure sur la carrosserie du taxi, un blouson rouge, une chevalière) ne suffisent pas à le retrouver.