Les événements se déroulent en 1927, dans le Transsibérien en route vers Moscou. Les tchékistes doivent déjouer un projet d'attentat contre l'industriel japonais Saïto qui envisage un partenariat avec l'Union soviétique et que les ennemis du régime veulent supprimer. L'agent Kassymkhan Tchadiarov, se faisant passer pour un naïf destiné à endosser la responsabilité d'un meurtre, fausse habilement les plans d'une cohorte d'espions qui jusqu'au dernier moment croient pouvoir le manipuler.
Président d'une petite équipe de football, Bert Waters n'espère qu'une chose : toucher son héritage. Mais il lui reste à exaucer le vœu de son beau-père, il doit conduire le train Chattanooga Choo Choo allant de New York à Chattanooga, dans le Tennessee. Bert doit effectuer le voyage en seulement 24 heures. Il décide d'inviter tous les joueurs de son équipe ainsi que tous ses fans. Les ennuis ne font que commencer...
Dans un train de banlieue londonienne, à la tombée de la nuit, le voyage se transforme en cauchemar lorsqu’un jeune contrôleur et un groupe de voyageurs se retrouvent à devoir lutter à mort contre des créatures maléfiques et terrifiantes.
L'action se passe dans le milieu cheminot du Nord de la France. Un conducteur de locomotive électrique est responsable d'un accident qui fait deux morts. Traduit devant le tribunal correctionnel, il subit un choc nerveux qui va bouleverser toute sa vie familiale. Mais tout finira au mieux pour lui, cependant.
Ce train, qui fut un des derniers convois de déportation, transportait initialement 750 déportés. Malgré les obstacles dans une France en cours de libération de l'occupation nazie et la durée inédite de son trajet (54 jours au lieu de 3 jours d'ordinaire) - du 3 juillet à Toulouse au 28 août 1944 à Dachau -, le train est parvenu jusqu'à sa destination finale.
Gontran (Léonce Perret) se rend en train à Niort, où il doit rencontrer la fille d'un ami de son oncle, qui souhaite la lui présenter, en vue d'un éventuel mariage. Mais dans le train, il rencontre une jeune femme (Valentine Petit) et cette rencontre va bouleverser ses plans ...
Cheminot et petit-fils de cheminot, Ahmed est tiraillé entre ses aspirations personnelles et sa loyauté à l'égard de la SNCFT. Son collègue Fitati s'obstine à documenter les défaillances du chemin de fer au risque de tout perdre.
Antoine est couchettiste sur le Paris-Venise. Payé au smic, il est chargé de collecter les billets et les passeports des voyageurs de son wagon-couchettes de seconde classe. Comme il n’a pas vraiment la vocation, il expédie rapidement les affaires courantes pour s’enfermer dans sa cabine et rêver d’aventures en lisant Jack London. Mais cette fois-ci, un voyageur étrange a jeté son dévolu sur lui et ne le lâche plus. Jean-Bernard Bonassieu fuit la France pour échapper à de graves ennuis. Mais ce qui l’attend n’est guère plus engageant. Pour s’arracher aux griffes de Brandeburg, un puissant trafiquant d’organes humains, il oblige Antoine à le cacher et à ruser avec les contrôleurs et les douaniers de tous poils qui ne cessent de monter et de descendre de ce train international. Cette première irrégularité en entraîne d’autres et des rapports biscornus et chaotiques s’établissent entre Antoine et Jean-Bernard. En fait le fuyard est malade, une maladie inconnue qui intéresse les savants et surtout les laboratoires du monde entier, à la recherche de brevets pour créer des vaccins nouveaux. Bonassieu représente donc un trésor vivant que chacun cherche à s’approprier. Chaque arrêt du train est l’occasion de surprises et de dangers insoupçonnés. Lorsqu’au petit matin ils arrivent à Venise, Brandeburg est sur le quai, bien résolu mettre la main sur le malade. Aidé par son copain Richard, couchettiste du wagon voisin, Antoine parvient à faire sortir Bonassieu du train à l’insu du trafiquant et de sa bande. Mais Venise n’est pas sûre et à Paris, des menaces planent sur la femme et les enfants de Bonassieu. Il doit donc renoncer à sa fuite et rentrer au plus vite. Après une journée enfermé dans un local sans fenêtre, il faut repartir. Le voyage de retour sera encore plus mouvementé parce que des rivaux de Brandeburg se mettent de la partie... ... et si le film est drôle, les personnages, eux, ne rigolent pas.
D'un kolkhoze reculé de l'Altaï, Ivan Rastorgouïev et sa femme Nina partent pour une station thermale sur la mer Noire. Ils laissent derrière eux la vie villageoise, les champs à perte de vue, leurs amis, des tablées chantant les chansons populaires. Leur voyage dans le train est ponctué de situations tragicomiques provoquées par le décalage entre la mentalité de paysan et citadin. Ils y rencontrent un charmant voleur qui se fait passer auprès d'eux pour un ingénieur ferroviaire, leur fait boire du Cognac trouvé dans une valise dérobée dont il inspecte le contenu sur le champ, et s'enfuit à l'arrivée de la milice lancée à ses trousses. S'apercevant de leur erreur, les Rastorgouïev deviennent extrêmement méfiants et voient les criminels partout. Ainsi, ils mettent du temps à faire confiance au professeur linguiste qui se joint à eux dans le compartiment. Mais le brave homme finit par briser la glace et les invite à passer quelques jours chez lui à Moscou. Les Rastorgouïev y découvrent le quotidien d'une famille d'intellectuels et une multitude d'objets dont ils ne soupçonnaient pas l’existence. Ivan se trouve même invité à une conférence linguistique où il raconte devant un parterre médusé une anecdote de sa jeunesse. Puis, le couple poursuit son chemin vers la mer.