Jerome Hill

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Film Portrait (1972)

Réalisé par Jerome Hill
Origine Etats-Unis
Genres Documentaire
Thèmes Documentaire sur le monde des affaires, Documentaire sur le cinéma, Documentaire autobiographique
Acteurs Jerome Hill
Rôle Lui-même
Note65%

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Hallelujah les collines (1963)

, 1h28
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead
Rôle le premier détenu
Note61%

Quand Jack et Leo, qui depuis sept ans aiment tous les deux Vera, se décident à la demander en mariage, ils découvrent avec consternation, qu'elle a épousé « l'horrible Gédéon ». Pour se remettre de leur déception et tenter d'oublier Vera, ils s'en vont parcourir les forêts du Vermont couvertes de neige, faisant les fous et dormant sous la tente. Mais ils n'arrivent pas à oublier la femme qu'ils aiment, chacun la revoyant, en flashbacks, de façon très personnelle : Leo se souvient de ses visites annuelles à Vera chaque été, tandis que Jack se remémore les visites annuelles qu'il lui faisait chaque hiver. Tout à leurs souvenirs, ils enchainent les cuites, et les péripéties : feu de camp qui devient incendie, chasse à l'ours, découverte d'un arbre à femmes, le réalisateur rendant, au passage hommage à D. W. Griffith et à son film À travers l'orage... Leur rencontre avec deux détenus évadés va mettre un terme à leur périple.

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Hallelujah the Hills (1963)

, 1h22
Réalisé par Adolfas Mekas
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Romance
Acteurs Jerome Hill, Taylor Mead, Richard Barthelmess, Lillian Gish
Rôle Convict I
Note61%

"Two young men, Jack and Leo, are both courting the same girl. For seven long years they persist, but she finally gives herself to the 'horrible Gideon.' In a sense, just as this is the pretext for the film, so the courtships of Vera is a pretext for Jack and Leo to camp out together in the Vermont woods near her home, and to indulge themselves in the wildest of horseplay and high jinks. The film has a Giffithian flavor, a lyrical naivete, which is extremely touching. At the same time it is full of sophisticated film parodies - Rashomon, the New Wave, Douglas Fairbanks, Ma and Pa Kettle. In short, this is one of the most completely American films ever made, in its combination of anarchistic wackiness with a nostalgic sense of the lost frontier and (maybe they're both the same) the magic of youth." -Richard Roud, in the program notes for The First New York Film Festival at Lincoln Center NY, screening September 14, 1963.

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