Ali Farka Touré, le miel n’est jamais bon dans une seule bouche est un film documentaire français réalisé en 2001.
Synopsis
À la fin de sa vie, le légendaire chanteur et guitariste africain Ali Farka Touré rejetait sans hésiter les offres internationales et les séances d’enregistrement pour lesquelles les musiciens du monde entier auraient donné leurs vies. Lui avait tout fait et senti que cela fragilisait le lien entre sa musique et sa source : son Mali profond. Il se sentait alors avant tout comme un agriculteur et chef de famille, usait de son argent et de ses contacts pour améliorer les conditions agricoles et sociales de la région de Tombouctou où il n’y a ni route ni électricité. Ali lui-même a conduit Marc Huraux sur les immenses étendues de terre qui entourent Niafunké pour faire le film.
Bande annonce de Ali Farka Touré - Le miel n'est jamais bon dans une seule bouche
Suggestions de films similaires à Ali Farka Touré - Le miel n'est jamais bon dans une seule bouche
Il y a 14614 ayant les mêmes genres cinématographiques (dont 701 ayant exactement les mêmes 2 genres que Ali Farka Touré - Le miel n'est jamais bon dans une seule bouche), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
Si vous avez aimé Ali Farka Touré - Le miel n'est jamais bon dans une seule bouche, vous aimerez sûrement les films similaires suivants :
, 1h13 OrigineEtats-Unis GenresDrame, Comédie, Comédie dramatique, Documentaire, Musical ActeursTom Baker, Tom Baker, Cookie Mueller, Eszter Bálint, Debi Mazar, Vincent Gallo Note68% Bien que n'étant pas un documentaire, ce film à l'allure d'étrange conte de fée elliptique, mettant en vedette le peintre Jean-Michel Basquiat et de nombreuses personnalités du Village d'alors (dont Diego Cortez, James Chance, Amos Poe, Walter Steding et Tav Falco), est un rare instantané de la culture ultra-hip de l'ère post-punk à Manhattan.
Ce documentaire nous emmène à Mangueira, le quartier de Rio où la samba est reine. Loin du carnaval et des touristes, on y découvre la vraie samba et les liens qu’entretiennent avec elle les Brésiliens au quotidien. Ce sont les femmes qui parlent : Celina, abandonnée par son mari, qui retrouve la joie de vivre dans son groupe de samba ; Tania Bisteca, à qui son titre de reine a donné un statut social ; Ivete, âgée de 76 ans et prête à rejoindre le Très-Haut puisqu’elle a dansé tout son saoul. Toutes sont d’accord sur un point : la samba, ça ne s’apprend pas. Comme le rythme, l’énergie et la passion, on l’a dans le sang.