Suggestions de films similaires à First Cousin Once Removed
Il y a 0 films avec le même réalisateur, 8962 ayant les mêmes genres cinématographiques, 6619 films qui ont les mêmes thèmes (dont 1 films qui ont les mêmes 6 thèmes que First Cousin Once Removed), pour avoir au final 70 suggestions de films similaires.
Si vous avez aimé First Cousin Once Removed, vous aimerez sûrement les films similaires suivants :
, 1h47 Réalisé parPeter Richardson OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesMaladie, Le suicide, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la santé, Folie, Le handicap Note81% Through a 1994 ballot measure (Measure 16) named the Oregon Death with Dignity Act, Oregon became the first U.S. state and one of the first jurisdictions in the world to allow physician-assisted suicide. How to Die in Oregon covers the background of the Oregon law and the life of a few patients who have chosen to take their life under it. It also features some information about the neighboring state of Washington's attempt to legalize physician-assisted suicide in 2008 through a law (Washington Death with Dignity Act) modeled after Oregon's.
, 40minutes OrigineEtats-Unis GenresDocumentaire ThèmesMaladie, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la santé, Folie, Le handicap, L'autisme ActeursJulianna Margulies Note67% Sue Rubin, une femme autiste qui, enfant, était considérée comme retardée. À 13 ans, elle apprend à s'exprimer à l'aide d'un clavier d'ordinateur, révélant ainsi son intelligence. Par la suite, elle étudie l'histoire à Whittier College (Whittier) et écrit des discours sur sa vie d'autiste. Le réalisatrice Wurzburg a qualifié Rubin de « Helen Keller de notre génération. »
, 1h30 OrigineEgypte GenresDocumentaire ThèmesMaladie, Psychologie, Documentaire sur une personnalité, Documentaire sur la santé, Folie, Le handicap, Hôpital psychiatrique Note65% Zelal est une invitation à plonger dans le monde de la psychiatrie et de la folie, en Égypte. Le film part à la rencontre de ces patients ordinaires, enfermés dans des hôpitaux par la société égyptienne, et offre davantage qu’un voyage au cœur de leur monde obscur. Les hôpitaux finissent par être le seul endroit que les patients envisagent, pas parce qu’ils sont réellement « fous » mais parce qu’ils craignent le monde extérieur. Le film oblige ainsi les spectateurs à remettre en question leurs préjugés et leurs interprétations, nous rappelant que, dans une société qui ne supporte pas la différence, la liberté est précaire.