En 1942 en Tunisie pendant la guerre, un détachement allié est attaqué par des Allemands. Les deux seuls survivants découvrent 2 millions de livres sterling dans les restes du convoi.
La France sous l’Occupation. Exécutée pour trahison envers la Résistance, Cora, nom de code « La Chatte », avait été laissée pour morte. Récupérée et soignée par les Allemands, le docteur von Hollwitz, pratique sur elle un lavage de cerveau pour la contrôler et l’utiliser comme contre-espionne. Au printemps 1944, on simule son évasion pour qu’elle reprenne contact avec la Résistance. Elle doit faire capoter la mission de Charles, ingénieur à la SNCF, qui consiste à faire sauter un train chargé de V1 destinés à alimenter les rampes de lancement installées sur les côtes françaises pour bombarder Londres. Mais au dernier moment, La Chatte retrouve sa lucidité.
Vincent, un ancien étudiant de Sciences Po, marginal et délinquant, est bagagiste dans un aéroport. Avec son collègue, il a l'habitude de fouiller les valises. C'est alors qu'il se trouve embarqué dans une affaire d'espionnage. Des agents de la DST lui proposent de séduire Claire afin de surveiller les agissements de son mari, un homme d'affaires.
Le physicien suédois Johanson, directeur de l'Institut de Physique Nucléaire, vient de découvrir le moyen d'exploiter l'énergie de la fusion de noyaux atomiques, découverte de portée révolutionnaire. Aussi les services secrets suédois chargent-il un de leurs agents, Peter Lundström, de protéger l'inventeur d'une tentative d'enlèvement. Lundström, toujours sur les talons du Pr. Johanson, fait connaissance avec sa fille Karin, une jeune femme blonde très séduisante qui assiste son père dans ses recherches. Une ultime expérience aboutit à une explosion dévastatrice qui envoie Johanson, blessé, à l'hôpital, et révèle aussi au monde la puissance du procédé de fusion ; une bande de trafiquants internationaux cherche désormais par tous les moyens à s'emparer de cette découverte.
Durant la Première Guerre mondiale, la petite ville de Saint-Corentin se trouve derrière les lignes allemandes. Le curé, l'abbé Gaillard (Léon Mathot) y cache des soldats français évadés dans sa cave et toute la ville résiste sourdement à l'occupant. Le chef de la Kommandantur, le francophile colonel von Niederstoff (Guillaume de Sax) souhaite mettre fin à cette situation sans compromettre ses efforts pour amadouer la population, contrairement au brutal lieutenant Heim (Gabriel Gabrio). Un de ses hommes, le sergent-interprète Stiefel (Paul Azaïs), soupçonne le curé : il décide de se faire passer pour un soldat français évadé. Cependant la situation ne tarde pas à se compliquer avec sa mort et l'arrivée d'un nouvel enquêteur, le lieutenant Kompartz (Jean-Max), bien décidé à comprendre ce qui se trame en ville et à la Kommandantur.
Protéa est appelée à l'aide pour résoudre le mystérieux assassinat d'un peintre morphinomane dans le salon du directeur d'un journal patriotique. Mais des inconnus semblent ne pas vouloir que l'enquête aboutisse. Ses talents d'investigatrice et de combattante à mains nues ne seront pas de trop pour résoudre cette ténébreuse affaire.
Un traité d'alliance a été signé entre deux grands États européens voisins, la Celtie et la Slavonie. L'empire de Messénie charge l'espionne Protéa de voler le document. Secondée par l'Anguille, un acrobate hors pair, elle part pour la Celtie.
En 1936, le jeune général russe Fiodor vit en exil à Paris. Il travaille avec une association tsariste de militaires russes blancs, mais sympathise avec ses voisins communistes. Son épouse grecque Arsinoé peint et se tient à l'écart de la politique. Mais Fiodor ne saurait se contenter de cette existence paisible : il joue à l'espion. À force de négocier des alliances avec les uns et les autres, sait-il encore lui-même s'il sert les intérêts des Blancs, de Staline ou de Hitler ? Même Arsinoé, qui l'aime tendrement, commence à avoir des doutes. Et lorsque le supérieur de Fiodor est enlevé par des inconnus, il est déjà trop tard.
Un ingénieur du génie maritime est tué alors qu'il allait livrer le nom d'un redoutable espion. Trois enquêteurs arrivent. L'un d'eux est le perspicace, habile et séduisant M. Sylvain, lequel? Et la ravissante jeune femme qui captive l'un des policiers, n'est-elle pas l'espion assassin?
Stefan, qui a appartenu naguère aux services secrets et qui aspire à une vie tranquille à l'ombre des corons, voit réapparaitre Milan, un ancien collègue. Il va falloir assumer dans le Limbourg, puis à Amsterdam, une ténébreuse affaire de documents qui intéressent aussi Lenzi, son ancien chef, maintenant à son compte. Une femme aux yeux troublants, Edith, se trouve également sur la route. Stefan, lancé malgré lui à corps perdu dans la bagarre, aura le dessus. Il peut ainsi retrouver Denise, son épouse chérie et ses chers puits de mines.
Le film commence par la mort d'un marchand d'armes, Constantin Benard Shah, et son enterrement qui réunit, autour de sa veuve Amaranthe, un quatuor de barbouzes. Il y a son faux cousin français Francis Lagneau, son faux psychanalyste allemand Hans Müller, son faux frère de lait soviétique Boris Vassilieff et son faux confesseur suisse Eusebio Cafarelli. Tous sont là pour récupérer les secrets et l'héritage de l'industriel (des brevets sur des armes atomiques), mandatés par leurs gouvernements respectifs. Il faut aussi compter avec les dollars de l'Américain O'Brien et la présence de nombreux Chinois dans les passages secrets du château.