Milos travaille dans une petite gare de Tchécoslovaquie pendant l'occupation, lors de la Seconde Guerre mondiale. Tourmenté par sa timidité, il n'arrive pas à séduire la jolie contrôleuse qui pourtant s'offre à lui. Devant cet échec, et désespéré de pouvoir prouver qu'il est un homme, il tente de se suicider.
Dans une petite ville slovaque à l'époque de la première république slovaque, en 1942, les commerces juifs sont tous placés sous gérance "aryenne". Tono Brtko, menuisier sans fortune, se retrouve à la tête d'un de ces commerces. La propriétaire, la vieille madame Lautmann, n'est pas au courant des nouvelles lois raciales et est sourde. Elle prend Tono pour un nouveau commis. Celui-ci finit par la protéger, tandis que les miliciens paradent.
Le héros de ce conte de fées populaire est un jeune prince qui, après la mort de ses parents, part dans le monde. Au cours de ses voyages, il rencontre un cheval magique qui parle et tombe amoureux de la belle princesse Slavna. Sur les conseils de son cheval, il entre en service comme jardinier muet du château. Selon les sons qu'il émet, ils commencent à l'appeler Bajaja. Cependant, lorsque un dragon apparaît et demande à la princesse ou de détruire tout le royaume, Bajaja met son armure et sauve la princesse sur son cheval. Mais, il tient une promesse qu'il a faite au cheval et s'éloigne de l'endroit. Le chevalier noir en profite et sous la menace, il force la princesse à jurer que c'est lui qui l'a sauvée .
Tchéquie, 1918. La nouvelle Assemblée nationale a nommé Stoklasa administrateur du château de Kratochvile. Bien que sans racines aristocratiques, il a de l'argent et tente d'acheter le château. Pour impressionner ses voisins et les élus locaux, il les invite à une grande partie de chasse. Sans y être invité, arrive un homme qui prétend être le duc Alexej.
Ce film est composé de cinq courts métrages réalisés chacun par un réalisateur différent, Self-service Univers (Automat Svet) de Věra Chytilová, Romance (Romance) de Jaromil Jireš, La mort de M. Baltazar (Smrt pana Baltazara) de Jiří Menzel, Les Imposteurs (Podvodníci) de Jan Němec et La Maison de joie (Dum radosti) d'Evald Schorm.
Au début des années 1960, les réalisatrices étaient bien plus nombreuses dans le bloc de l’Est que de l’autre côté du Rideau de Fer, à l’instar de Věra Chytilová, figure de la Nouvelle Vague tchécoslovaque. "Quelque chose d’autre", réunit deux parcours de femmes, l’un fictif et l’autre réel : celui de la gymnaste et future médaillée d’or Eva Bosáková, qui joue ici son propre rôle.
Trompé par sa femme, un avocat se met à boire au Bataillon, un bistrot des bas-fonds. Il tente d'aider les gens avec ses compétences juridiques et essaie de devenir un organiste d'église, mais l'alcool a le dessus...