Ce film va à la rencontre d'œuvres réalisées clandestinement à l'intérieur des camps nazis ; des dessins, des lavis, des peintures aujourd'hui conservés dans les musées en Allemagne, en Pologne, en Israël, notamment. Le réalisateur dialogue avec quatre artistes déportés encore vivants : Yehuda Bacon, José Fosty, Walter Spitzer, Samuel Willenberg, qui évoquent les circonstances dans lesquelles ces œuvres ont été produites, et les souvenirs qui s'y attachent. Ces œuvres souvent anonymes représentent principalement la vie quotidienne dans les camps : l'appel, le travail forcé, les baraques, la soupe, les exécutions, le ramassage des morts... Entre méditation sur les lieux d'anciens camps, comme Auschwitz ou Treblinka, et visites de réserves de musées, en Allemagne, en Pologne, en Israël, ce film interroge sur la notion de beauté et sur ce que signifie l'honneur d'être un artiste à travers le geste fragile du dessin au cœur de cette tragédie humaine que furent les camps de concentration et d'extermination.
Point and Shoot tells the story of Matthew VanDyke, a sheltered 26-year-old who left his Baltimore home and set off on a self-described “crash course in manhood.” While on a 35,000-mile motorcycle trip through Northern Africa and the Middle East, he struck up an unlikely friendship with a Libyan hippie. When revolution broke out in Libya, VanDyke decided to join his friend in the fight against dictator Muammar Gaddafi. With a gun in one hand and a camera in the other, VanDyke joined and documented the war until he was captured by Gaddafi forces and held for six months in solitary confinement.
Wilkinson avait une compagne de vie nommée Fannie. L'avocat de sa famille volait son argent, et ses œuvres ont presque été perdues quand elle a été internée dans un asile psychiatrique, où elle a passé les trente dernières années de sa vie. Après qu'elle a été envoyée dans cet institut, ses travaux et tous ses autres biens ont été mis dans un coffre et envoyés à ses proches en Virginie de l'Ouest, où ils ont été conservés dans un grenier pendant quarante ans.
The film is an in-depth look at Claremont's run on The X-Men (later The Uncanny X-Men) series, which he wrote from 1974 to 1991. In interviews with Claremont, Simonson, Nocenti, Adams, and Shooter, the film tells the story of how Claremont's writing revived Marvel's failing X-Men title and rebuilt it into a successful franchise. Chris Claremont's X-Men explores Claremont's contributions to the X-Men, including his development of popular characters Wolverine, Phoenix, and Storm.