Un documentaire sur Z Channel, l'une des premières chaînes câblées payantes des États-Unis, et son responsable de la programmation, Jerry Harvey. Lancée en 1974, cette chaîne basée à Los Angeles a proposé une programmation éclectique de films qui est devenue un exemple parfait de la puissance inexploitée de la télévision par câble.
Pendant l'été 2000 en Espagne, Fulton et Pepe suivent, pour en réaliser le making of, le tournage de ce qui aurait dû être The Man Who Killed Don Quixote, un film que projette de réaliser Terry Gilliam depuis plusieurs années. Jean Rochefort doit tenir le rôle de Don Quichotte. Johnny Depp et Vanessa Paradis font également partie de la distribution. Cependant, le tournage tourne vite à la catastrophe : problèmes d'organisation, conflits personnels, vols intempestifs de F16 de l'armée de l'air américaine basée en Espagne sur le site de tournage, pluie diluvienne dans un lieu désertique qui dégrade le matériel et altère le décor – le désert servant de lieu de tournage devenant verdoyant le lendemain du déluge –, maladie de Jean Rochefort qui empêchera celui-ci de jamais remonter à cheval et l'écarte des plateaux.
Lars von Trier prétend que le court-métrage Det perfekte menneske de Jørgen Leth sorti en 1967 est son film préféré. Dans le but de lui rendre hommage, mais d'une manière perverse, à la fois manipulatrice et créatrice, il propose à l'auteur du film original, son compatriote Jørgen Leth, de détruire et de reconstruire autrement ce court-métrage. Il défie Leth d'en tourner cinq remakes. Pour chaque projet, il lui impose de nouvelles « obstructions », consignes, restrictions, interdictions plus ou moins arbitraires, l'obligeant à repenser l'histoire, l'esthétique et les personnages de son film. Il s'ensuit à chaque épreuve un feed back entre les deux hommes où Lars von Trier, dans une sorte de position de « directeur de conscience », à la limite de l'humiliation, semble prendre à cœur de déconstruire et détruire ce que Jørgen Leth a réalisé.
A travers ce documentaire en trois parties, le philosophe et psychanalyste Slavoj Zizek aborde les thèmes de la sexualité, de la mort, de l'éthique, et du fantasme à travers des films classiques.
Film, documentaire, livre...: l'aventure tragique du jeune Christopher McCandless pose d'inévitables interrogations. Distinguons le vrai du faux. Son nom est Christopher McCandless. Son histoire, à travers le film Into the Wild, a largement été popularisée. Car le natif de Virginie reste l'exemple même de l'aventurier qui a tout plaqué pour vivre son rêve. Qui a embrassé la liberté, non pas du bout des lèvres, mais à pleine bouche. Qui s'est affirmé comme une exception ayant réussi à s'extirper du capitalisme triomphant et de l'existence stéréotypée qui lui tendait les bras.
Cent-quatorze spectateurs, essentiellement féminins, assistent à la projection de l'adaptation cinématographique d'un classique de la littérature perse du XII siècle. Ces spectateurs s'émeuvent de l'histoire d'amour qui se déroulent sous leurs yeux : le film n'apparaît dans la mise en abyme qu'à travers sa bande son et les réactions du public. Néanmoins, le réalisateur trompe le spectateur puisque les actrices n'assistent pas réellement à une représentation filmique.
The documentary chronicles the making of Emily Hagin's feature-length zombie film Pathogen. The film, which took Hagin two years to complete and screen, was met with several setbacks during its filming due to elements such as theft of property. During the filming of Zombie Girl, the directors noted Hagin's growth as a fledgling director, as she was twelve at the time Pathogen was made.
The documentary follows American director, Jim Wynorski, in his attempt to make a film in three days. By cutting shooting schedule, crew, equipment, and food, Jim tries to eliminate any unnecessary limitations that would slow down production.