Contemporary New Orleans jazz musicians discuss their childhood introductions to music in Baptist churches and through local traditions like second line (parades) and Jazz Funerals, and the role of Danny Barker in keeping traditional New Orleans Jazz alive through the 70’s and 80’s. Asking the artists point blank, director Darren Hoffman explores the potential “death” of traditional jazz through modernization and marginalization and its preservation through mentorship and the continuation of traditions that intrigue and inspire young people to play the music of previous generations.
Ce court-métrage est une jam session de plusieurs musiciens de jazz afro-américains dont Lester Young, Marie Bryant au chant et le danseur Archie Savage qui fait du Jitterbug dans une ambiance sombre qui correspond à la musique. Le film a été révolutionnaire en son temps et a été une vitrine pour les musiciens et les artistes alors peu connus qui, autrement, n'auraient pas été ainsi exposés au public.
Anvers, 1959. Jack est saxophoniste. Ça ne suffit pas pour vivre. Il décharge donc des bananes sur les docks. Mais c’est décidé, il partira en Amérique, le pays du Jazz. Qui veut peut, mon vieux, lui fait remarquer André, son meilleur ami. Pour l’heure, c’est son saxophone qui est parti sans lui : Jack l’a oublié dans le tram ! Direction le dépôt, au pas de course. Sur le chemin, ils rencontrent Lucy. Elle se dispute violemment avec Dirk, son copain. Hésitant à aller la secourir, ils volent la Vespa de Dirk et emmènent Lucy au dépôt. Le saxophone les attend.
Mickey joue un morceau de blues au piano tandis que Minnie chante. Ils sont accompagnés d'un orchestre, d'abord caché, qui se dévoile avec un morceau plus rythmé. Le groupe de 9 musiciens comprend Pluto au trombone, Horace aux percussions, Clarabelle à la basse tandis que Mickey fait un solo de clarinette.