Retour à Gorée raconte le périple du chanteur africain Youssou N'Dour sur les traces des esclaves noirs et de la musique qu'ils ont inventée : le jazz. Son défi: rapporter en Afrique un répertoire de jazz et le chanter à Gorée, l'île symbole de la traite négrière, en hommage aux victimes de l'esclavage. Guidé dans sa quête par le pianiste Moncef Genoud, Youssou N'Dour parcourt les États-Unis et l'Europe.
Venu pour la journée à Brest, Simon Nardis ne peut pas imaginer qu’après dix ans d’éloignement volontaire, l’enchaînement des retards et des trains ratés va l’entraîner dans un club de jazz. Sur scène, le trio conclut le set avec un morceau qui le trouble mystérieusement. Irrésistiblement attiré par le piano, Simon monte sur la scène. Le résultat est pitoyable. Debbie apparaît alors pour le sauver de la noyade.
Dans une bourgade en pleine forêt tropicale de Guinée, naissait en 1961 un groupe de musique qui devient rapidement le plus grand orchestre de l'Afrique moderne. Il s'agit du Bembeya Jazz. Porte drapeau de la révolution guinéenne de Sékou Touré, ce groupe a bercé toute l'Afrique de sa musique. Quarante cinq ans après, c'est le retour aux sources. Malgré les difficultés, le mystère Bembeya reste toujours entier : la légende continue !
Évocation à travers des séquences musicales magiques de l'importance du jazz dans la musique américaine des années 30. Entre spectacle de music-hall, animation et comédie musicale classique.
À New York, au tribunal, la chanteuse de revue Marilyn Marsh (Eleanor Powell) et son amie Dixie Donegan (Ann Sothern) témoignent des raisons ayant conduit cette dernière à demander le divorce : serveuse dans un restaurant, elle avait connu Eddie Crane (Robert Young), un compositeur de chansons sans envergure, faute d'avoir trouvé le parolier idéal. Or Dixie possède le don inné d'imaginer des textes adéquats. Ils forment alors un duo à succès, se marient et collaborent avec l'éditeur Max Milton (Reginald Owen), l'arrangeur 'Red' Willet (Red Skelton) ou encore le chanteur populaire Buddy Crawford (John Carroll). Mais après quelques années, grisé par ce succès, Eddie se met à fréquenter la haute société new-yorkaise et à délaisser la composition ainsi que les bonheurs simples de ses débuts. Dixie obtient sans difficultés le divorce, mais bientôt Eddie et elle réalisent qu'ils ne peuvent se passer l'un de l'autre.
Will Handy grandit à Memphis avec son père (pasteur) et sa tante Hagar. Son père entend, bien qu'il utilise ses dons musicaux uniquement à des fins religieuses à l'église, mais Will n'arrive pas à se séparer de la musique de rue de son époque. Après avoir écrit une première chanson, Gogo, une chanteuse, arrive à le convaincre de l'accompagner. Will est étranglé par la culture forte de son père et ses chansons de blues. Enfin la famille se réunit quand Gogo les fait venir à New York pour voir Will chanter une de ses chansons au milieu d'un orchestre symphonique.
The Cry of Jazz is set in Chicago at the meeting of a jazz appreciation club of musicians and intellectuals, both Black and White. It is broken up into seven parts. Parts one, three, five, and seven center around conversations between the jazz club members. Parts two, four, and six are done in a documentary style and utilize footage of life in Chicago as well as of Sun Ra’s band performing the music. Alex, the film’s main character, serves as narrator during these sections. Although the film is nominally about jazz, jazz is utilized primaily as a metaphor through which to understand the African American experience.
“Jazz on a Summer’s Day” est l’un des tout premiers concerts filmés de l’histoire du cinéma. Louis Armstrong, Mahalia Jackson, Chuck Berry, Chico Hamilton… Les plus grandes légendes du jazz défilent sous le soleil de Newport et nous livrent une performance unique. Entre deux concerts, Bert Stern filme l’effervescence qui anime cette ville, à la manière d’une parenthèse enchantée.