Le film raconte l'histoire du pianiste polonais juif Władysław Szpilman, dit aussi Wladek. L'histoire se déroule à Varsovie en Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale. W. Szpilman est alors le pianiste officiel de la Radio polonaise et une figure connue du milieu culturel polonais. Lorsque les nazis s'emparent de la ville, ils suppriment progressivement les droits des Juifs, puis les parquent dans le ghetto créé pour les regrouper en vue de leur extermination.
En 1965, Glenn Holland jeune compositeur ambitieux, commence comme professeur de musique dans un lycée, alors qu'il tente parallèlement de composer une symphonie qui lui permettra de devenir célèbre. Mais il se découvre petit à petit une véritable passion pour l'enseignement et va finalement rester et enseigner dans le même lycée pendant trente ans en consacrant à ses élèves et à son métier le meilleur de lui-même.
Vienne, novembre 1823. Au cœur de la nuit, un vieil homme égaré crie : « Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin ! ». Sa chambre étant verrouillée, ses serviteurs tentent de l’allécher avec des friandises mais n’entendent que des sons étouffés suivis d’un cri tranchant. La porte enfoncée, ils tombent sur un vieil homme noyé dans une mare de sang. Cet homme n'est autre qu'Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur de la Cour.
Le film est composé de sept séquences illustrant huit morceaux de musique classique, réorchestrés et dirigés par le chef d'orchestre Leopold Stokowski à la tête de l'Orchestre de Philadelphie. La dernière séquence illustre deux morceaux et un intermède sépare la séquence 4 et 5. Chaque séquence est précédée d'une courte introduction où l'orchestre est en ombre chinoise.
Plusieurs petits récits se croisent à travers Rome, la « ville éternelle ». Jerry (Woody Allen), ancien imprésario d'opéra, et Phyllis (Judy Davis) son épouse rendent visite à leur fille qui doit se marier à un avocat « de gauche ». Leopoldo Pisanello (Roberto Benigni) se réveille un matin harcelé par les médias sans comprendre pourquoi. John (Alec Baldwin), architecte américain renommé, revisite Rome où il a vécu 30 ans auparavant, à la recherche de son passé. Au hasard des rues, il rencontre Jack (Jesse Eisenberg), un jeune architecte qui va tomber amoureux de Monica (Ellen Page), la meilleure amie (légèrement mythomane) de sa fiancée...
Le film est divisé en quatre actes distincts. Daniel Richter incarne l'Australopithecus afarensis qui découvre l'usage de l'outil après avoir touché le monolithe dans le premier acte qui se déroule « à l'aube de l'humanité » ; William Sylvester joue le docteur Heywood R. Floyd dans le second acte quand, en 2001, le même monolithe est découvert sur la Lune. Keir Dullea (Dr David Bowman) et Gary Lockwood (Frank Poole) apparaissent dans le troisième acte en tant qu'astronautes entreprenant un voyage vers Jupiter à bord du vaisseau Discovery One, suivant le signal émis par le monolithe lorsqu'il a été découvert sur la Lune. Douglas Rain est la voix de l'ordinateur de bord sentient HAL 9000, qui commande toutes les fonctions du vaisseau. Dans l'acte final, le film suit le périple de l'astronaute David Bowman « au-delà de l'infini ».
À l'époque de Brejnev, Andreï Filipov était le plus grand chef d'orchestre de l'Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, et surtout la soliste Léa, il a été interrompu lors du concerto de Tchaïkovsky, et licencié au faîte de sa gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au théâtre Bolchoï mais comme homme de ménage. Un soir, alors qu'Andreï est resté très tard pour astiquer le bureau du maître des lieux, il intercepte un fax adressé à la direction du théâtre : il s'agit d'une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre officiel à venir jouer à Paris. Soudain, Andreï a une idée folle : pourquoi ne pas réunir ses anciens amis musiciens, qui vivent aujourd'hui de petits boulots, et les emmener à Paris, en les faisant passer pour le vrai Bolchoï ? Entre autres exigences de ce faux Bolchoï, la participation de la soliste Anne-Marie Jacquet. L'occasion tant attendue d'achever le concerto, et de renouer les fils du passé.
Cinquante-huit ans après Fantasia, ce film est composé de huit séquences illustrant huit morceaux de musique classique, interprétés pour la plupart par l'Orchestre symphonique de Chicago sous la direction de James Levine. Chaque séquence est précédée d'une courte présentation par des artistes ayant travaillé pour les studios Disney.
Ce film raconte l’histoire au XIX siècle d'une jeune femme écossaise, Ada MacGrath (Holly Hunter) envoyée par son père en Nouvelle-Zélande avec sa fille de neuf ans, Flora (Anna Paquin), pour y épouser un colon, Alistair Stewart (Sam Neill), qu’Ada ne connaît pas. Selon ce que sa fille Flora aime à raconter, Ada n’a pas dit un mot depuis que son premier mari est mort foudroyé alors qu’ils chantaient tous deux dans la forêt ; Ada aurait été chanteuse d'opéra et son mari était son professeur de piano. Mais en réalité, c'est pour une « raison inconnue » qu'elle n’a pas dit un mot depuis l'âge de six ans, et qu’elle a recours à la langue des signes pour s’exprimer (sa fille lui sert d'interprète), ainsi qu'à son piano. Le piano et la musique de ce film représentent Ada, ses émotions, ce qu'elle exprime.
Scénariste de télévision, Isaac Davis (Woody Allen) est un homme désabusé et angoissé. À 42 ans, sa vie professionnelle le laisse insatisfait. Aussi passe-t-il le plus clair de son temps à écrire et réécrire son roman. Sa vie privée est plus que chaotique. Sa deuxième épouse (Meryl Streep), qui l’a quitté pour une autre femme, est sur le point de publier son autobiographie où Isaac tient une bonne place. Il fréquente aussi Tracy, une jeune fille de 17 ans (Mariel Hemingway) avec laquelle il ne se voit aucun avenir. La situation se complique lorsque Yale (Michael Murphy), son meilleur ami, lui présente sa maîtresse, Mary (Diane Keaton), dont Isaac ne tarde pas à tomber amoureux.
L'histoire de Shine s'inspire de la vie de David Helfgott, pianiste australien né à Melbourne, qui dès son plus jeune âge fit preuve de dons exceptionnels. Quelques années plus tard, de graves troubles psychiques l'éloignèrent des concerts pendant près de dix ans. Mais en 1984, il fit un retour triomphal qui relança sa carrière.
En Angleterre, dans un proche avenir, Alex DeLarge (Malcolm McDowell), jeune délinquant passionné par la musique de Beethoven (qu'il appelle la plupart du temps « Ludwig Van »), spécialement la 9e symphonie, est obsédé par le sexe (« des parties de ça-va-ça-vient » dit-il) et adepte de la violence (« ultraviolence » dans son propre jargon).
Lolita Cassard, vingt ans, en veut au monde entier, parce qu'elle ne ressemble pas aux filles des magazines, et aimerait tellement se trouver belle, au moins dans le regard de son père, trouver son regard tout simplement.Etienne Cassard regarde peu les autres, parce qu'il se regarde beaucoup lui-même et qu'il se sent vieillir.Pierre Miller, un écrivain, doute de ne jamais rencontrer le succès, jusqu'au moment où il rencontre Etienne Cassard.Sylvia Miller, un professeur de chant, croit en son mari, en son talent, mais doute du sien et de celui de son élève Lolita, jusqu'au moment où elle se rend compte qu'elle est la fille d'Etienne Cassard, cet auteur qu'elle admire tant.C'est l'histoire d'êtres humains qui savent très bien ce qu'ils feraient s'ils étaient à la place des autres mais qui ne se débrouillent pas très bien à la leur, qui la cherchent tout simplement.
Tansen is known to be the greatest classical vocalist ever to have existed in India, and was one of the nine jewels (Navaratnas) of Emperor Akbar's court. Nobody could sing in the city unless he or she could sing better than Tansen. If this was not the case, he or she was executed. Baiju Bawra is the story of an unknown singer, Baiju, who is on a mission to defeat Tansen in a musical duel to avenge the death of his father.