Alma, la fiancée du vent est un film austro-germano-britannique réalisé par Bruce Beresford, sorti en 2001. Le titre du film fait directement référence à La Fiancée du vent, toile du peintre et écrivain autrichien Oskar Kokoschka, peinte au cours de sa liaison avec la jeune femme.
Passion concentrates on Grainger's unusual relationship with his mother and his sexual peculiarities (especially his obsessive self-flagellation, though homosexuality is also hinted at) which affect his relationship with a woman who comes to love him.
Acte I
« By What Means Redmond Barry Acquired the Style and Title of Barry Lyndon » (« Comment Redmond Barry a acquis la manière et le titre de Barry Lyndon »)
Le film raconte la formation et l’évolution de l’ensemble vocal Die Comedian Harmonists, à la fin des années 1920 à Berlin : des débuts plutôt laborieux aux premiers succès, le tout sur fond de montée du nazisme.
Le violoniste virtuose Paganini vient à Londres pour donner plusieurs concerts organisés par John Watson, imprésario, pianiste et chef d'orchestre. Il tombe amoureux de Charlotte, la fille de ce dernier.
Le jeune Rimski-Korsakov, personnel du navire école Almaz, fait escale au Maroc espagnol. Sa seule idée en tête est de trouver un piano pour jouer son nouvel opéra, composé durant le tour du monde effectué par le navire. Son capitaine lui ordonne de plutôt aller boire, se bagarrer et courir les filles. Rimski demande à Cara, danseuse au café Oriental de faire semblant de dîner avec lui. Cara est en fait la fille d'une dame de la haute société qui travaille pour rembourser les dettes de sa mère. Cara tombe amoureuse de Rimski et réciproquement, poussant le musicien à déserter. Cara veut le remplacer à bord et se déguise en matelot, souhaitant devenir une grande ballerine en Russie, mais le capitaine découvre la supercherie. Rimski rentre à son poste pour éviter la cour martiale, jurant ne plus toucher à la musique, tant qu'il porterai l'uniforme, et quitte Cara. Quelques mois plus tard son ballet Schéhérazade est joué à Saint-Pétersbourg. C'est Cara qui en assure le rôle-titre. Le capitaine délie Rimski de son serment et le musicien dirige l'œuvre, regardant sa bien-aimée évoluer sur la scène.
Dans un oratoire du XIII siècle, un orchestre symphonique (formation d'une quarantaine de musiciens) répète une œuvre de Nino Rota (même si le nom du compositeur n'est jamais mentionné). Le représentant syndical de l'orchestre vient prévenir les musiciens qu'une équipe de télévision va venir filmer la répétition, et interviewer les musiciens qui le souhaiteront.
La vie du compositeur Frédéric Chopin à travers son amour de jeunesse pour Maria Wodzińska, jeune aristocrate polonaise qu'il ne put épouser du fait de sa propre situation, considérée comme trop modeste par la famille de la jeune fille. Au seuil de la mort, Chopin se souviendra de sa bien-aimée et du morceau qu'il composa en la quittant, et qui donne son titre au film : La Valse de l'adieu.