Au début du XXII siècle, la compagnie Buy-N-Large monopolise l'économie de la Terre par un trust concernant les biens et les services. Il est devenu un gouvernement mondial globalisé. La surconsommation effrénée a tôt fait de transformer le monde en un dépotoir gigantesque. La société commandite un exode massif à bord de vaisseaux spatiaux dans une tentative de préserver l'Humanité. Des milliers de machines robotiques dénommées WALL-E (Waste Allocation Load Lifter-Earthclass) ont été fabriquées par la compagnie. Ces engins ont pour unique tache de « nettoyer » la Terre en compactant la myriade de détritus qui parsèment le sol, durant les cinq années que doit durer l'exode. Mais beaucoup d'entre eux se désactivent inexplicablement et sont hors-services, forçant les humains qui n'ont pas d'autres plans de replis à rester dans l'espace.
Au lendemain de l'holocauste nucléaire du 29 août 1997, les survivants humains entrent en résistance contre la dictature des « machines » (des robots intelligents), ce qui les mène à la victoire en 2029.
Le film se déroule à Washington en 2054. Il s'ouvre sur John Anderton, le chef de l'organisation gouvernementale expérimentale Précrime qui existe depuis 6 ans.
Truman Burbank est un agent d'assurances, marié à Meryl, qui est infirmière. Ils vivent paisiblement dans la cité paradisiaque de Seahaven remplie de gens sympathiques, de maisons identiques et de jardins bien entretenus. Truman a néanmoins envie de voyager à l'étranger, de découvrir de nouvelles choses, et surtout de retrouver une femme, Sylvia, dont le regard l'a envoûté dans sa jeunesse. Cependant tout semble contraindre Truman à rester dans la ville. Sans le savoir, il est en effet le héros d'une émission de télé-réalité qui le suit depuis sa naissance.
La rapide progression d’un virus mortel tue les personnes contaminées en quelques jours. Alors que l’épidémie se propage à grande vitesse, la communauté médicale mondiale tente, dans une course effrénée contre la montre, de trouver un remède et de contrôler la panique qui se répand encore plus vite que le virus : les gens se battent pour survivre dans une société qui se désagrège. Beth Emhoff, la femme de Mitch, revient d'un voyage à Hong Kong, où elle a contracté un virus. Les épidémiologistes l'identifient comme étant le patient zéro.
Bien que réalisé par James McTeigue, V pour Vendetta est imprégné du style des Wachowski, scénaristes et producteurs de ce film d’anticipation, dont le réalisateur a été l'assistant.
Dans un futur proche, les grandes nations sont entrées en guerre pour le pétrole ; exaspérées par la situation de crise, les populations se sont révoltées, les nations essaient de maintenir un semblant d'ordre tandis que des bandes de délinquants sillonnent les routes.
Le film est divisé en quatre actes distincts. Daniel Richter incarne l'Australopithecus afarensis qui découvre l'usage de l'outil après avoir touché le monolithe dans le premier acte qui se déroule « à l'aube de l'humanité » ; William Sylvester joue le docteur Heywood R. Floyd dans le second acte quand, en 2001, le même monolithe est découvert sur la Lune. Keir Dullea (Dr David Bowman) et Gary Lockwood (Frank Poole) apparaissent dans le troisième acte en tant qu'astronautes entreprenant un voyage vers Jupiter à bord du vaisseau Discovery One, suivant le signal émis par le monolithe lorsqu'il a été découvert sur la Lune. Douglas Rain est la voix de l'ordinateur de bord sentient HAL 9000, qui commande toutes les fonctions du vaisseau. Dans l'acte final, le film suit le périple de l'astronaute David Bowman « au-delà de l'infini ».
Dans un futur proche aux États-Unis, l'Omni Cartel des Produits (OCP), un important conglomérat militaro-industriel et commercial a la mainmise sur divers marchés lucratifs comme, entre autres, l'armement, la conception et la fabrication de robots et de prothèses médicales, mais aussi plus marginalement la gestion du département de la police de Détroit.
En 1988, dans un univers dystopique prenant place aux États-Unis, et à la suite de l'explosion de la criminalité dans le pays, l'île de Manhattan, un des arrondissement de la ville de New York, est transformée en une île-prison, un pénitencier à ciel ouvert.
Dans un futur proche à Los Angeles, Theodore travaille comme écrivain public pour une entreprise, rédigeant des lettres de toutes sortes — familiales, amoureuses… — pour d'autres. Son épouse Catherine et lui ont rompu depuis bientôt un an mais il ne se décide pas à signer les papiers du divorce. Dans un état de dépression qui perdure, il installe sur son ordinateur personnel un nouveau système d'exploitation OS1, auquel il donne une voix féminine. Cette dernière, une intelligence artificielle conçue pour s'adapter et évoluer, se choisit le prénom Samantha.
Dans un futur proche, aux Etats-Unis, la jeune Mae Holland mène une vie banale ; elle est secrétaire dans une petite entreprise, vit encore chez ses parents Bonnie et Vinnie, n'a pas de petit ami et repousse les avances de son ami Mercer. L'unique activité solitaire qu'elle s'offre pour décompresser et se ressourcer est le kayak. Un jour, son amie Annie Allerton aide Mae à être embauchée dans son entreprise, Le Cercle, le plus important groupe de services technologiques du monde. Cette formidable opportunité lui permet, entre autres, de faire enfin bénéficier son père, atteint de sclérose en plaques, de soins adaptés. Alors que son implication au sein de l'entreprise ne cesse d'augmenter, ses patrons Eamon Bailey et Tom Stenton l'encouragent à participer à une expérience révolutionnaire dont le but est d'être filmée en permanence par une mini-caméra connectée SeeChange. Désormais, les choix de Mae impactent la vie de ses proches, de ses amis et de toute l'humanité, en bousculant les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles.
Dans un Japon du futur, les adultes redoutent les adolescents japonais, enclins à la violence et à la désobéissance. D'où le vote de la loi Battle Royale. Le principe de ce « jeu » est très simple : une classe de terminale, tirée au sort, est envoyée chaque année lors du traditionnel voyage scolaire dans un lieu isolé (une île en l'occurrence), sur lequel les élèves doivent s'entretuer, et ce durant trois jours. Il ne doit rester qu'un survivant — faute de quoi les colliers dont sont munis les joueurs explosent — qui pourra rentrer chez lui à l'issue du jeu.
En 2018, les nations ont disparu, remplacées par des cartels économiques planétaires qui regroupent les activités humaines en six départements : l'énergie, le luxe, l'alimentation, le logement, les communications et les transports. Ces corporations dirigent des formations sportives pratiquant le rollerball, sport violent ne permettant pas l'émergence de vedettes individuelles.
Sur une terre post-apocalyptique, ravagée par un cataclysme dont l'origine est inconnue, les animaux et les plantes disparaissent, tandis que quelques humains survivent. Dans ce paysage de cendres où règnent le froid et la faim, le plus grand danger est le cannibalisme. Un homme et son jeune fils veulent rejoindre la mer en direction du Sud. Mais sur ces routes désolées où la barbarie a repris ses droits, il faut trouver un espoir de survie.