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Bernard Herrmann est un Acteur, Son et In Memory Of Américain né le 29 juin 1911 à New York (Etats-Unis)

Bernard Herrmann

Bernard Herrmann
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Nationalité Etats-Unis
Naissance 29 juin 1911 à New York (Etats-Unis)
Mort 24 décembre 1975 (à 64 ans) à Los Angeles (Etats-Unis)
Récompenses Bourse Guggenheim

Bernard Herrmann, né le 29 juin 1911 à New York et mort le 24 décembre 1975 à Los Angeles, est un compositeur et chef d’orchestre américain. Il doit sa réputation internationale aux musiques qu'il écrivit pour les films d'Alfred Hitchcock.

Il débuta à Hollywood en 1940 en composant la musique du film Citizen Kane d'Orson Welles. Il fut redécouvert à la fin de sa vie par la génération du Nouvel Hollywood pour laquelle il écrivit et dirigea ses dernières partitions (Taxi Driver de Martin Scorsese). Il s’illustra aussi par ses compositions et directions pour la radio et la télévision. Il est considéré comme un des plus grands compositeurs de l'histoire du septième art.

Biographie

Apprentissage (1911-1933)
Bernard Herrmann naît à New York en 1911. C'est le premier enfant d'une famille juive d'origine russe. Son père Abraham encourage vivement dès le plus jeune âge l'éducation musicale de ses deux fils. Celle-ci passe, pour l'aîné, par l’apprentissage du violon, instrument pour lequel il ne développe pas d’aptitude particulière. En revanche, il s’illustre rapidement par ses talents pour la composition en remportant à treize ans un premier prix de 100 $ pour une pièce illustrant Les cloches de Paul Verlaine. Son initiation à la composition passe par la découverte du Grand traité d’instrumentation et d’orchestration modernes d’Hector Berlioz, son livre de chevet (l'influence exercée sur Herrmann par Berlioz est perceptible en particulier dans l’utilisation d’instruments non conventionnels). Herrmann, qui est et restera un lecteur insatiable, se lie à la même époque une d'amitié très forte avec le futur écrivain et cinéaste Abraham Polonsky.

Inscrit comme élève en 1927 à la remarquable DeWitt Clinton High School, il fait la connaissance du futur compositeur Jerome Moross, dont il partage les ambitions. Régulièrement il se glisse dans les studios d’enregistrement du Carnegie Hall pour observer le travail de chefs d’orchestre de renom tel Willem Mengelberg ou Leopold Stokowski. Il s’imprègne à la même époque des œuvres de Maurice Ravel et Debussy qui constitueront ses influences majeures pour leur vocabulaire largement impressionniste. Sa passion pour des compositeurs singuliers se développe conjointement. Tout particulièrement Edward Elgar et Charles Ives, futur ami dont il défendra énergiquement le travail, avec lequel il se familiarisera avec de nouvelles structures rythmiques et harmoniques ainsi qu'avec la musique populaire américaine.

L'année 1928 marque le début d’une grande amitié avec Aaron Copland, dont il rejoint le groupe des jeunes compositeurs. Sa personnalité, son érudition et son appui seront déterminants dans le développement de la carrière du jeune Herrmann. La nouvelle scène musicale new-yorkaise est alors en ébullition, à l'image d'un George Gershwin avec lequel l'étudiant peu zélé partage ses après-midis. Des enseignements qu'il suivra avec son ami Moross à l’Université de New York et à la Juilliard School jusqu’en 1932, les quelques cours de Percy Grainger auront le plus d'influence. Le savoir encyclopédique de l'Australien excentrique, son ouverture la plus large vers toutes les formes de musique et son intérêt pour les compositeurs tombés dans l'oubli marqueront durablement l'élève qui aspire à s'affranchir des conventions.
Herrmann réunit l'année suivante un premier orchestre de trente musiciens, le New Chamber Orchestra of New York, qui constitue alors son médium principal pour faire entendre sa musique.


Les années CBS (1934-1939)
En 1934, l'occasion s'offre à lui d'entrer à CBS (Columbia Broadcasting System) comme chef d’orchestre . La radio est alors le média populaire incontournable dont le dynamisme et le penchant pour l'innovation répondent à ses attentes. Cette période est pour lui l’occasion de s’illustrer rapidement dans la composition de musique pour pièce radiophonique et de défendre certaines de ses convictions (en soutenant le travail de Charles Ives notamment). Il poursuit parallèlement son travail personnel débutant deux années plus tard l’écriture de sa première pièce de concert, Moby Dick, cantate achevée en 1938. En 1937, Herrmann s’est imposé comme l'un des compositeurs pour radio les plus brillants et assurément l'un des plus prolifiques.

Il rejoint alors la dynamique et prestigieuse équipe du Columbia Workshop emmenée par Norman Corwin et Orson Welles. L'année suivante, le poste de compositeur et chef d’orchestre attitré du Mercury Theater on the air de Welles, première équipe complète de théâtre à œuvrer pour la radio, lui échoit naturellement. Leur retentissante adaptation de La Guerre des mondes de H. G. Wells fait souffler un vent de panique sur le pays et met les deux hommes dans la lumière.


Débuts à Hollywood (1939-1947, 1951-1955)
En 1939, Welles convainc son ami de le suivre à Hollywood. Citizen Kane (1941), fruit de leur première collaboration, a un retentissement majeur. À l’image du film, la musique, de par sa construction et la richesse des apports divers, marque un tournant dans l’histoire de la musique de film.

Herrmann signe la même année la musique très ambitieuse de Tous les biens de la Terre (The Devil and Daniel Webster) de William Dieterle pour laquelle il s’autorise de nombreuses expérimentations (peinture sur bande, overdubbing). Nommé aux Oscars cette année-là pour ces deux premiers coups d’essai, il remporte la statuette pour le second. La Splendeur des Amberson (The Magnificent Ambersons) marque le terme de la collaboration avec Welles, le compositeur ne lui pardonnant pas de s’être incliné devant le re-montage du film opéré par les studios. Refroidi par cette expérience, Herrmann tardera de fait à embrasser pleinement la carrière qui s'ouvre à lui dans le cinéma.

L’intransigeance, le caractère irascible d’Herrmann qui n’hésite pas à sacrifier une amitié pour un bon mot assassin lui vaudront d’ailleurs de perdre progressivement un nombre important d’amis et de soutiens. Ce manque d’appui pénalisera clairement l’épanouissement de sa carrière de chef d’orchestre à laquelle il tient plus que tout mais pour laquelle il ne soulèvera jamais une adhésion suffisante. De même, ses quelques œuvres de concert (il achève sa Symphonie en 1941) ne connaîtront qu’un succès saisonnier.

Pour Joseph L. Mankiewicz il signe en 1947 la musique du film L'Aventure de madame Muir (The Ghost and Mrs. Muir), œuvre qu’il présentera par la suite comme sa composition la plus réussie. Herrmann toujours enraciné à New York rompt alors avec le cinéma et quitte la Californie. Tout en poursuivant durant toutes ces années son travail pour la radio où son statut lui garantit des libertés exceptionnellement accordées au cinéma, il achève en 1951, après huit ans de travail, son opéra Wuthering Heigths. Cet accomplissement non fécond couplé au démantèlement de l'orchestre de CBS pousse Herrmann à reconsidérer sa position vis-à-vis d'Hollywood.

Sa collaboration au film Le Portrait de Jennie avait été pour lui l’occasion d’appréhender une première fois la composition pour l'instrument électronique singulier qu’est le thérémine. Pour son retour non attendu sur la côte ouest il concrétise cette tentative avec la musique du Le Jour où la Terre s'arrêta (The Day the Earth Stood Still de Robert Wise (1951), qui définira pour longtemps la musique de film de science-fiction. Sont assemblés pour l’occasion une véritable section de thérémines appuyée par des violons, basses et guitares électriques. Jouer sur des compositions peu orthodoxes d’orchestres sera une constante de l’œuvre d’Herrmann.


Les années Hitchcock (1955-1966)
L’année 1955 marque le début de sa collaboration avec Alfred Hitchcock qui reste un modèle du genre. Les trois premières œuvres sont souvent jugées moins significatives : Mais qui a tué Harry ? (The Trouble With Harry) (1955) et Le Faux Coupable (The Wrong Man) (1956) ont une coloration qui détonne dans l’image commune que l’on se fait de l’œuvre d’Herrmann. L'Homme qui en savait trop (The Man Who Knew Too Much) (1956) comporte quant à lui une chanson (Que Sera, Sera) imposée par la production du fait de la présence de Doris Day et son point culminant reste la cantate du compositeur Arthur Benjamin utilisée pour la première version du film, qu’Herrmann estime humblement insurpassable et qu’il se contentera donc de réorchestrer et qu'il dirige en personne dans le film.

En 1958, Hitchcock offre enfin à Herrmann un projet à la pleine mesure de ses ambitions et de son talent. La partition qu’il délivre pour Sueurs froides (Vertigo) est une œuvre majeure à laquelle le film ouvre de larges plages non dialoguées où elle peut s’exprimer pleinement. Le thème principal où résonnent fortement les échos du Liebestod du Tristan et Isolde de Richard Wagner se déploie sur plus de cinq minutes. La thématique du film est en outre proche des aspirations d’Herrmann que l’on classe dans la famille des compositeurs romantiques.

Son travail sur La Mort aux trousses (North by Northwest) l’année suivante est aussi d’une facture exceptionnelle, avec notamment son ouverture construite sur un improbable fandango à la dynamique époustouflante. On pourrait aussi s'étonner de la parenté du thème de l'ouverture avec le motif qui apparaît vers 6 min 30 s, dans le poème symphonique composé par Tchaïkovski : Francesca da Rimini, fantaisie symphonique d’après Dante en mi mineur, op. 32.

En 1960, il obtient enfin la totale adhésion du plus grand nombre avec sa musique pour Psychose (Psycho), modèle absolu du genre, dont la forte singularité est d’être écrite uniquement pour des cordes. La musique qu’il impose pour la scène de la douche qu’Hitchcock avait prévu d’habiller d’un silence froid, restera sa signature, entrera dans le patrimoine commun et constitue sûrement la pièce de musique de film la plus citée et la plus reproduite.

Parallèlement, Herrmann entame une collaboration avec le producteur Charles H. Schneer et le maître de l’animation Ray Harryhausen : Le Septième voyage de Sinbad (The 7th Voyage of Sinbad) en 1958, L'Île mystérieuse (Mysterious Island) en 1961 et Jason et les Argonautes (Jason and the Argonauts) en 1963. Le fruit de ce travail sous-évalué à l’époque est fastueux car l’illustration de sujets à caractère fantastique légitime toutes les tentations d’Herrmann à composer pour des ensembles orchestraux aux compositions improbables (notamment des sections de cuivres imposantes).

Enfin le compositeur ne manque pas son rendez-vous avec la télévision, le média qui monte en puissance. Rod Serling fait naturellement appel à lui pour habiller sa remarquable série La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) dont il signe la musique de nombreux épisodes, à commencer par le pilote et le générique de la première saison. Mettre en musique plusieurs épisodes de la série Alfred Hitchcock présente s'impose aussi naturellement.

Ses deux dernières musique de film avec Hitchcock seront Les Oiseaux (The Birds) (1963), film qui ne comporte pas de musique mais un assemblage de sons échantillonnés ou synthétiques, et Pas de printemps pour Marnie (Marnie) (1964).

Le travail effectué par Herrmann pour Le Rideau déchiré (The Torn Curtain) (1966), ne satisfait pas Alfred Hitchcock. En effet, Herrmann qui n’avait tenu compte d’aucune des recommandations fut finalement rejeté par le réalisateur sous la pression des studios qui se projettent dorénavant vers des musiques ayant un potentiel commercial évident. Ce rejet pousse Herrmann, orgueilleux, à quitter la Californie avec sa famille pour aller s'installer à Londres.


Londres et la génération du nouvel Hollywood (1966-1976)
La sollicitation de François Truffaut pour composer la musique de Fahrenheit 451 (1966) touche Herrmann et vient à point. Les deux hommes, réunis sous l'ombre d'Hitchcock, se vouent une admiration mutuelle qui durera jusqu'à la fin. Il écrit pour l'occasion l'une de ses plus belles partitions depuis Psychose. Leur seconde collaboration, La mariée était en noir, ne comblera pas le réalisateur dans la même mesure (c'est d'ailleurs l'un des films qu'il regrette le plus d'avoir tourné). La carrière du compositeur pour le cinéma est alors mise en sommeil.

À cheval entre la Californie et Londres (où il ne s'installera définitivement qu'en 1971), Herrmann profite de ces années de faible activité pour réenregistrer, souvent à ses frais, certaines de ses propres œuvres ou celles de compositeurs qu'il admire (Sibelius, Dukas, Liszt, Holst, Raff, Satie, Debussy). Ces enregistrements suscitent rarement un grand enthousiasme (exception faite de celui de la seconde symphonie de Ives). Son plus grand accomplissement personnel durant cette période reste l'enregistrement de son opéra, œuvre qu'il entend pour la première fois.

Deux tentatives malheureuses dans le registre de la comédie musicale, plusieurs projets pour le cinéma avortés (L'Obsédé de Wyler, L'Exorciste de Friedkin), d'autres rares sans éclats (où il verse souvent dans l'auto-citation) nourrissent l'amertume d'un Herrmann à la santé déclinante.

L’année 1973, la génération dite du « Nouvel Hollywood » ayant pris le pouvoir, marque pourtant le début d’un regain d’intérêt pour le travail du compositeur. Brian De Palma, pressé par son monteur, a l’audace de lui demander d’écrire la musique de son Sœurs de sang (Sisters) (1973). Grâce à cette collaboration fructueuse le jeune public découvre l’univers d’Herrmann. Ils enchaînent ensemble avec Obsession (1976), travail pour lequel le compositeur, fatigué, donne beaucoup de lui-même et dont il sort éprouvé. Pour Martin Scorsese, il signe sa dernière partition (Taxi Driver (1976)), musique singulière et inspirée. Il décède le soir du dernier jour d’enregistrement ; le film lui est dédié.

Ses meilleurs films

Les Nerfs à vif (1991)
(Compositeur de musique originale)
Psychose (1960)
(Compositeur de musique originale)
Taxi Driver (1976)
(Compositeur de musique originale)
Citizen Kane (1941)
(Compositeur de musique originale)
La Mort aux trousses (1959)
(Compositeur de musique originale)
Les Neiges du Kilimandjaro (1952)
(Compositeur de musique originale)

Le plus souvent avec

Ben Nye
Ben Nye
(14 films)
Lyle Wheeler
Lyle Wheeler
(14 films)
Orson Welles
Orson Welles
(4 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Bernard Herrmann (63 films)

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Acteur

Voyage au centre de la Terre, 2h12
Réalisé par Henry Levin
Origine Etats-Unis
Genres Science-fiction, Fantastique, Fantasy, Action, Aventure, Romance
Thèmes Mise en scène d'un animal, La mer, La préhistoire, Transport, Volcanisme, Adaptation d'une œuvre littéraire de science-fiction, Animaux préhistoriques, Films pour enfants, Atlantide
Acteurs James Mason, Pat Boone, Diane Baker, Arlene Dahl, Thayer David, Robert Adler
Note69% 3.4984653.4984653.4984653.4984653.498465
Le professeur écossais fraîchement anobli, Sir Oliver Lindenbrook, est persuadé que l'explorateur Arne Saknussem, disparu il y a deux siècles, est parvenu à atteindre le centre de la Terre. Il quitte Édimbourg avec un de ses étudiants, amoureux transi de sa nièce, pour entreprendre une extraordinaire descente en progressant jusqu’au centre de la Terre à partir du cratère d'un volcan d'Islande. Dans cet extraordinaire périple il est accompagné aussi par l'intrépide veuve d'un volcanologue assassiné et par un solide gaillard islandais et sa cane, Gerdrud. Le petit groupe est précédé par un personnage inquiétant, descendant de Saknussem.
Le Faux coupable, 1h45
Réalisé par Alfred Hitchcock
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Noir, Policier
Thèmes La famille, La prison, La peine de mort
Acteurs Henry Fonda, Vera Miles, Anthony Quayle, Harold J. Stone, Nehemiah Persoff, Esther Minciotti
Rôle Stork Club Piano Player (uncredited)
Note73% 3.697173.697173.697173.697173.69717
Christopher Balestrero (Henry Fonda), surnommé « Manny », joue de la contrebasse dans une formation de jazz-latino qui se produit au Stork Club à New York. Travaillant de nuit, il semble heureux avec Rose (Vera Miles), son épouse, et ses deux fils, âgés de 8 et 5 ans. Cependant, il se débat entre ses factures à payer, quelques dettes à rembourser (moins de 50 dollars) : le couple n'a pas d'argent de côté et doit continuellement emprunter. Alors qu'il se rend au siège de sa compagnie d'assurances afin de demander un prêt de 300 dollars pour offrir des soins dentaires à Rose, la guichetière le reconnaît formellement comme étant l'homme qui y a commis un hold-up il y a peu. Arrêté, Manny est alors traîné par la police dans plusieurs autres commerces qu'il aurait également braqué et, à chaque fois, est reconnu par les propriétaires. Manny croit à un malentendu sans conséquences, mais il finit par être confondu car son écriture s'avère être la même que celle de la personne recherchée. Il est donc emprisonné pour agression et vol à main armée. Il est cependant libéré sous caution, contre 7 500 dollars payés par son beau-frère, puis, avec l'aide d'un avocat, Frank D. O'Connor , il tente de reconstituer son emploi du temps, d'établir des alibis afin de se disculper au cours du procès prévu. Il retourne avec sa femme dans une pension située à la campagne, tenue par les Ferrero, et retrouvent les noms et adresses de deux pensionnaires susceptibles de témoigner qu'ils étaient bien avec eux le 9 juillet, à la campagne, et non à New York. Malheureusement, les deux témoins sont morts entre-temps. De retour au cabinet de maître O'Connor, Manny se rend compte que Rose manifeste un étrange comportement : elle semble ailleurs et résignée. Un matin, Manny, rentrant du club, découvre Rose habillée, assise au bord du lit. Elle lui avoue qu'elle ne peut plus dormir depuis qu'elle sait que rien ne peut plus prouver l'innocence de son mari. Parlant d'un complot, soupçonnant même son mari de mentir, elle se met soudain à le frapper puis, se rend compte qu'elle doit consulter un médecin. Ce dernier l'ausculte et livre son diagnostic à Manny : Rose croit de toutes ses forces qu'elle est coupable de tout ce qui est arrivé, qu'elle attire le malheur. Elle souffre d'un délire de persécution et doit être placée dans un établissement de soin psychiatrique.
L'homme qui en savait trop, 2h
Réalisé par Alfred Hitchcock
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Aventure, Policier
Thèmes Afrique post-coloniale, Espionnage, La famille, Politique
Acteurs James Stewart, Doris Day, Brenda De Banzie, Bernard Miles, Alan Mowbray, Ralph Truman
Rôle Conductor at Albert Hall
Note74% 3.700763.700763.700763.700763.70076
Le docteur Benjamin McKenna, sa femme Jo et leur fils Hank passent quelques jours de vacances à Marrakech, au Maroc. Ils font la rencontre de Louis Bernard, un membre du Deuxième Bureau. Ce dernier est assassiné, et juste avant de mourir, confie à Benjamin qu'un attentat contre un homme d'État étranger se prépare à Londres. Pour contraindre le couple au silence, les comploteurs kidnappent Hank.

Son

The Key to Reserva, 10minutes
Réalisé par Martin Scorsese
Genres Thriller, Comédie, Documentaire, Policier
Acteurs Martin Scorsese, Simon Baker, Ted Griffin, Kelli O'Hara, Christopher Denham, Thelma Schoonmaker
Rôle Musicien
Note77% 3.8891653.8891653.8891653.8891653.889165
The film begins with framing device, wherein Scorsese, playing himself, describing how he discovered three and a half pages of an unproduced Hitchcock film, "The Key to Reserva". As part of this film preservation work he plans to film the script as Hitchcock would have filmed it.
Sœurs de sang, 1h32
Réalisé par Douglas Buck
Origine Etats-Unis
Genres Thriller, Horreur
Acteurs Stephen Rea, Lou Doillon, Chloë Sevigny, Dallas Roberts, JR Bourne, William B. Davis
Note39% 1.960231.960231.960231.960231.96023
En enquêtant sur le passé trouble du docteur Philip Lacan, Grace, une journaliste, est témoin d'un meurtre commis par une femme. La coupable est-elle Angélique, l'ex-épouse du docteur, devenue son cobaye, ou bien sa sœur jumelle ? Son enquête la mène à la clinique Zurvan, spécialisée dans les traitements psychanalytiques expérimentaux pour enfants.
Psycho
Psycho (1998)
, 1h45
Réalisé par Gus Van Sant
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Comédie, Horreur, Policier
Thèmes Maladie, Psychologie, Sexualité, Tueur en série, Folie, LGBT, Travestissement au cinéma
Acteurs Vince Vaughn, Julianne Moore, Viggo Mortensen, Anne Heche, William H. Macy, Philip Baker Hall
Rôle Compositeur de musique originale
Note46% 2.304812.304812.304812.304812.30481
Le synopsis est exactement le même que celui du film d'Hitchcock, sauf que l'action se déroule le 11 décembre 1998, comme indiqué à l'écran dans le premier plan séquence qui suit le générique.
The Jewel of Death, 16minutes

Filmed in a typical forties style, it tells a story of a cursed jewel, which has been stolen; and eventually everyone who tries to possess it is killed
Les Nerfs à vif, 2h3
Réalisé par Martin Scorsese
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Horreur, Policier
Thèmes Sexualité, Le viol
Acteurs Robert De Niro, Nick Nolte, Jessica Lange, Juliette Lewis, Joe Don Baker, Robert Mitchum
Rôle Compositeur de musique originale
Note72% 3.6499453.6499453.6499453.6499453.649945
Sam Bowden (Nick Nolte) est un avocat qui exerce dans la tranquille ville de New Essex en Caroline du Nord. Max Cady (Robert De Niro) est un ancien client que Bowden a défendu 14 ans plus tôt lorsqu'il a été avocat commis d'office à Atlanta. Cady était accusé pour viol et voie de fait sur une mineure. Bowden, révolté par le crime de Cady, a fait disparaître un rapport constatant la promiscuité relationnelle entre Cady et sa victime qui auraient pu permettre à ce dernier d'obtenir des circonstances atténuantes, et par conséquent, la moitié de ses quatorze ans de peine ou à son acquittement. Bowden a ainsi bafoué son éthique professionnelle et son devoir d'avocat de la défense. Cady était illettré à cette époque et incapable de comprendre les actes de Bowden. Après sa sortie de prison, Cady commence à traquer Bowden. L'ancien condamné a appris à lire et écrire et a étudié le droit en prison. Il va même jusqu'à assumer sa défense mais il échoue à obtenir une liberté conditionnelle à plusieurs reprises. Cady est furieux lorsqu'il apprend que Bowden a enterré le rapport. Il estime que le juge et le procureur ont fait leur travail tandis que Bowden l'a trahi.
Psychose IV, 1h36
Réalisé par Mick Garris
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Horreur, Policier
Thèmes Maladie, Psychologie, Tueur en série, Folie
Acteurs Anthony Perkins, Henry Thomas, Olivia Hussey, CCH Pounder, Janet Leigh, Warren Frost
Rôle Musicien
Note54% 2.704252.704252.704252.704252.70425
Norman Bates est l'auditeur d'une émission de radio pour témoigner du sujet de l'émission J'ai tué ma propre mère. Après la mort de son père, Norman et sa mère Norma vivaient reclus dans une interdépendance malsaine. Alors qu'il était adolescent, il devint follement jaloux quand sa mère prit un amant. Il les assassina à la strychnine et conserva le corps de sa mère. Aujourd'hui « réinséré », Norman est marié, et sa femme est enceinte. Le sujet de l'émission le ramenant à ses douloureux souvenirs de tueur, lui fait peur de donner naissance à un rejeton comme lui qui perpétuerait une lignée maudite. Ses souvenirs le poussent à vouloir tuer sa femme et l'enfant qu'elle porte, espérant se libérer définitivement de sa mère.
Histoire(s) du cinéma 1a : toutes les histoires, 4h26
Réalisé par Jean-Luc Godard
Origine France
Genres Documentaire
Thèmes Documentaire sur le monde des affaires, Documentaire sur le cinéma
Acteurs Juliette Binoche, Julie Delpy, Jean-Luc Godard, André Malraux
Note71% 3.5739653.5739653.5739653.5739653.573965
Godard retrace de façon quasi chronologique l'histoire du cinéma américain, des débuts d'Hollywood, en passant par l'âge d'or des producteurs, jusqu'à son déclin.
Chambre 666, 50minutes
Réalisé par Wim Wenders
Origine France
Genres Documentaire
Thèmes Film traitant du cinéma, Documentaire sur le monde des affaires, Documentaire sur le cinéma
Acteurs Steven Spielberg, Jean-Luc Godard, Rainer Werner Fassbinder, Chantal Akerman, Michelangelo Antonioni, Mike De Leon
Note65% 3.2948653.2948653.2948653.2948653.294865
Durant le festival de Cannes en 1982, Wim Wenders a invité les cinéastes présents à se rendre tour à tour dans la chambre 666 de l'hôtel Martinez et à mettre en marche la caméra et le magnétophone qu'il y avait placés pour répondre à une seule question : «le cinéma est-il un langage en train de se perdre, un art qui va mourir ? ».
Xenogenesis, 12minutes
Réalisé par James Cameron
Genres Science-fiction, Action
Thèmes Mise en scène d'un robot
Acteurs William Wisher, Jr.
Note53% 2.6999252.6999252.6999252.6999252.699925
Une femme et un homme ingénieurs sont envoyés dans un gigantesque vaisseau pour chercher dans l'espace un endroit où commencer un nouveau cycle de vie. Raj décide de jeter un coup d'œil autour du navire. Il tombe sur un gigantesque robot nettoyeur. Des combats s'ensuivent.
Les Monstres sont toujours vivants
Réalisé par Larry Cohen
Origine Etats-Unis
Genres Science-fiction, Horreur
Acteurs Frederic Forrest, Kathleen Lloyd, John P. Ryan, John P. Ryan, John Marley, Eddie Constantine
Rôle Compositeur de musique originale
Note52% 2.605242.605242.605242.605242.60524
Une jeune femme s’apprête à accoucher d'un monstrueux rejeton. Un médecin accueille ces nouveau-nés anormaux.
Obsession
Obsession (1976)
, 1h37
Réalisé par Brian De Palma
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Policier, Romance
Thèmes La famille, Sexualité
Acteurs Cliff Robertson, Geneviève Bujold, John Lithgow, Stocker Fontelieu, Tom Felleghy, Regis Cordic
Rôle Compositeur de musique originale
Note66% 3.3484053.3484053.3484053.3484053.348405
À La Nouvelle-Orléans en 1959, Michael Courtland est un riche promoteur immobilier vivant avec sa femme Elizabeth et leur fille Amy, 9 ans. Elles sont kidnappées et une importante rançon est demandée. Courtland prévient la police qui suggère de remettre aux ravisseurs une mallette contenant de faux billets et une balise pour suivre la voiture des gangsters. Mais ceux-ci parviennent à s'enfuir avec Elizabeth et Amy, ils percutent un camion citerne, la voiture explose et tombe dans le Mississippi, on ne retrouve aucun corps. Courtland ne s’en remet pas, il ne travaille plus et se recueille toujours devant le mausolée qu’il a fait bâtir sur le terrain où, avec son associé, il devait édifier une résidence et un parc.