Entertainment One Films, formerly Fox Lorber Films and Koch-Lorber Films, launched in February 2003, is an independent film distributor and DVD label based in New York. It is one of several subsidiaries of Entertainment One.
Entertainment One Films specializes primarily in critically acclaimed independent films, classics, documentaries and foreign cinema, and distributes films for both theatrical as well as DVD release. Their catalog includes foreign film classics such as La Dolce Vita, Peau d'Âne (Donkey Skin), The Umbrellas of Cherbourg, The Official Story, and Theorem as well as contemporary releases such as The Syrian Bride, Changing Times, Man Push Cart and the documentaries Our Brand Is Crisis and The Bridge.
Michael Koch and Richard Lorber are the Chairman/CEO and President, respectively.
Daniel est un jeune professeur à Hambourg. Il a prévu de rester en ville pour l’été. Dans un marché, une jeune vendeuse de bijoux, Juli, lui promet qu’il rencontrera l'amour dans la journée s’il porte la bague en forme de soleil qu’elle lui vend. Elle l’invite en même temps à la rejoindre pour la soirée. Malheureusement pour elle, Daniel tombe amoureux d'une séduisante jeune Turque, Melek, un peu perdue à Hambourg qui va partir à Istanbul ; Daniel décide de partir la rejoindre.
Les Enfants du siècle, allusion au roman autobiographique de Musset, La Confession d'un enfant du siècle, raconte la relation plus que tumultueuse de George Sand et Alfred de Musset dans les années 1830.
Maxime et Stéphane sont amis et travaillent ensemble dans l'atmosphère feutrée d'un atelier de lutherie. Maxime, marchand de violons, est un homme accompli, actif, sans états d'âme. Stéphane, luthier, vit dans une retraite, dans un hiver du cœur dont on discerne mal les raisons.
Sur la fin de sa vie, Marin Marais, violiste des XVII – XVIII siècles, se remémore ses souvenirs de jeunesse et en particulier son apprentissage de la viole de gambe auprès de son maître, Monsieur de Sainte-Colombe et de ses deux filles, Madeleine et Toinette.
Le curé d'un sanctuaire et d'un lieu de pèlerinage (qui n'est pas nommé mais ressemble fortement à l'Oratoire Saint-Joseph) engage le jeune comédien Daniel, nouvellement de retour à Montréal, afin de monter une version rafraîchie de la Passion du Christ dans les jardins de ce lieu de culte. Ce dernier réunira une petite troupe de comédiens et en fera une interprétation libre, grandiose et sensible. Lors d'une représentation, des forces de l'ordre interviennent et la lourde croix tombe sur lui. Daniel est transporté en ambulance à «l'Hôpital St.-Marc», un endroit bondé et impitoyable, mais n'y reçoit aucun soin. Il quitte l'hôpital en état de choc et descend dans le métro. Inquiets, deux condisciples l'accompagnent... Daniel, en train de mourir, tient un dernier discours sur l'amour humain qui reste si inaccessible aux gens et qui finit par les tuer: «C'est le manque d'amour qui tue les gens», dit-il. Daniel perd encore connaissance dans le métro. Il est reçu avec humanité et professionnalisme à l'hôpital juif, mais il est trop tard. Ses condisciples donnent «son corps» aux fins de la transplantation. Hautement symbolique, un homme reçoit le cœur et une femme les yeux.
Alors que Fellini tourne une adaptation à l'écran du roman de Kafka L’Amérique, des journalistes japonais viennent l’interviewer. C'est le prétexte à une évocation nostalgique de Cinecittà et de l'évolution du cinéma.
Le film se situe dans la Yougoslavie communiste des années 1950, après la rupture avec l'URSS. Mesa, père du jeune Malik, entretient une liaison. Sa maîtresse, lasse d’attendre qu'il divorce, cède aux avances du beau-frère de Mesa.
A San Francisco, une veuve immigrée accueille la nouvelle année avec une certaine tristesse : elle a maintenant soixante-deux ans, elle veut faire un voyage en Chine pour rendre un dernier hommage à ses ancêtres, une voyante lui a dit que c'était l'année où elle mourrait et une de ses filles, Géraldine, reste célibataire.
Buenos Aires, 1983. Alicia Marnet Ibáñez est professeur d'histoire dans un lycée pour garçons. C’est une bourgeoise vivant confortablement avec son mari Roberto, homme d’affaires sans scrupules, leur fille Gaby, adoptée il y a cinq ans, et la bonne. En ces derniers mois de la dictature militaire, les signes de temps nouveaux s’accumulent : des journaux révèlent l'existence des desaparecidos, des manifestations exigent que soient punis les coupables de la « guerre sale » et de celle des Malouines, les Grands-mères défilent autour de la Place de Mai…
El Jaibo, un adolescent des rues, s’échappe de la maison de correction et retrouve ses compagnons d'infortune dans leur bidonville de la banlieue de Mexico. Avec Pedro et d’autres enfants, il tente d’attaquer Don Carmelo, un aveugle cruel qui survit en jouant de la musique dans les rues. Quelques jours après, Jaibo tue, en présence de Pedro, le jeune homme qu’il accuse de l’avoir dénoncé. À partir de ce moment, les destins de Pedro et du Jaibo sont tragiquement unis.