La réalisatrice, déjà auteure d'un documentaire sur les psychanalystes produit en 2011, réitère ici « sa déclaration de désamour à l'endroit des freudiens et des lacaniens ». Elle interviewe dans ce documentaire 18 psychanalystes, Richard Abibon, Jacques André, Patrick Avrane, Yann Bogopolski, Emeline Caret, Guidino Gosselin, Jean-Michel Hirt, Eric Laurent, Marie-Christine Lasnik, Christine Loisel-Buet, Aldo Naouri, Claude Parchlinak, Gérard Pommier, Jacqueline Schaeffer, Esthela Solano-Suarez, Alexandre Stevens, Monique Schneider et Jean-Pierre Winter. Le film évoque, selon la documentariste, « la vision sexiste de la psychanalyse », indiquant que , « une valeur centrale [de la psychanalyse] est que le sexe de la femme n’existe pas, c’est simplement un trou ». Sophie Robert, selon Gilles Durand dans 20 minutes, « dénonce les dérives sectaires et la manipulation mentale de certains psychanalystes ».
D'anciens ouvriers et ouvrières d'Amisol, usine de filage et de tissage d'amiante, touchés par de l'asbestose retracent leurs combats pour obtenir dommages et faire interdire l'usage de ces fibres. Le tableau des maladies professionnelles inclut pourtant l'amiante depuis 1945.
Le réalisateur français Farid Dms Debah donne la parole aux victimes de la pédophilie au Maroc et aux professionnels qui œuvrent au quotidien pour aider les enfants à se reconstruire. Un documentaire ethnologique, fruit de deux années d'investigations.
Du loup au chien, de la bête sauvage au fidèle compagnon, nous allons parcourir le monde pour découvrir comment le chien est devenu le Plus Bel Ami de l’Homme.
Atteint de maladies chroniques les intervenants, dont Thierry Casasnovas, s'interrogent sur la société, leur rapport à la nature, leur relationnel dans une analyse personnelle et nous font part de l'auto-régénération constatée. Ils changent leur mode vie, type et façon de se nourrir et recourent à des pratiques comme le jeûne, la méditation, le yoga, le tai-chi-chuan ou le qi gong.
En Août 2000, le plus sophistiqué des sous-marins nucléaires russes, le Koursk, coule avec ses 118 membres d'équipage dans la mer de Barents. Proposée par les britanniques, la thèse de l'explosion accidentelle d'une ancienne torpille deviendra très vite la version officielle. Elle sera reprise par la plupart des médias russes et internationaux alors que les véritables raisons de ce naufrage n'ont jamais été élucidées. Quatre années plus tard, à la suite d'une longue investigation, ce film met en lumière des faits troublants, totalement occultés par le pouvoir, qui ont permis au réalisateur Jean-Michel Carré d'élaborer une hypothèse plus plausible qui implique les Etats-Unis dans cet événement et met en perspective les nouveaux enjeux stratégiques entre la Russie, les Etats-Unis et la Chine.
Enquête sur plus de 35 municipalités qui ont choisi de ne plus utiliser de produits phyto-sanitaires pour l'entretien des espaces verts (pourtant prévu par la loi Labbé depuis le 1er janvier 2017). Mais également exemples de cantines scolaires qui ont fait le choix de s'approvisionner en produits bio.
Le film, basé sur deux années d'enquête, montre que des moniales du monde entier ont été et sont victimes d'abus sexuels de la part de supérieurs hiérarchiques. Le cas des pères Thomas Philippe (cofondateur de la communauté de l’Arche) et Marie-Dominique Philippe (fondateur de la communauté Saint-Jean) qui ont violé des religieuses pendant des décennies sans l'intervention de l'Église, est central dans le documentaire.
Le film, tourné en 2017 sur huit mois, avec toutes les autorisations, à Lourdes (Hautes-Pyrénées), évoque les pèlerinages au sanctuaire de Lourdes, presque uniquement à partir du vécu des personnes, sans commentaire, avec montage.
Internet ou la révolution du partage propose un état des lieux de deux logiques qui s'affrontent au cœur de la technologie : les principes émancipateurs du logiciel libre s'attaquent à ceux, exclusifs, du droit de la propriété intellectuelle.
Le documentaire débute par une introduction du sociologue Edgar Morin, qui brosse un état des lieux de notre société : « Un suicidaire, au moins, il sait qu'il veut se suicider. Là cette course, elle est suicidaire inconsciemment. Cette vitesse est provoquée par le développement incontrôlé, de la science, de la technique, de l'économie. Qui, elle-même, nous met dans un état d'accélération généralisée ».
Chaque semaine, une équipe de bénévoles du Mémorial de la Shoah à Paris recueille des témoignages et collecte les archives personnelles des déportés et de leurs familles. J’aimerais qu'il reste quelque chose, va à la rencontre de ceux qui racontent et donnent et de ceux qui écoutent et reçoivent pour sauvegarder et transmettre la mémoire des victimes de la Shoah.
Le film fait partie d'un projet transmédia global combinant journalisme d'investigation et activisme, visant à mettre fin à l'impunité apparemment totale des violences sexuelles dans les conflits armés actuels en présentant, comme source d'inspiration, des victimes du monde entier qui ont le courage de rompre le silence. Rejoignez le mouvement !