L'histoire se déroule à Laalgunj, un petit village de l'Uttar Pradesh où Chulbul Pandey, surnommé "Robinhood" Pandey (Salman Khan), policier robuste et intrépide, fait régner l'ordre en utilisant des méthodes peu orthodoxes, voire illégales. Chhedi Singh (Sonu Sood), parrain local qui tue quiconque se met en travers de son chemin, exacerbe et instrumentalise la rivalité qui oppose Chulbul et son demi-frère, Makhanchan Pandey (Arbaaz Khan), pour triompher du policier.
Ce film fait le point sur la situation après 50 années d'un combat pour la liberté des Tibétains, depuis le Soulèvement tibétain de 1959 du 10 mars 1959. Cet évènement fut la cause du départ du 14e dalaï-lama du Tibet fuyant pour échapper à une possible arrestation par l'administration de la République populaire de Chine. Le film présente ses responsabilités en tant que chef spirituel et leader politique et traite des enjeux géopolitiques du Tibet. Le manque de perspective pour le peuple tibétain provoquant des « mécontentements y compris parmi ses plus fidèles ».
Harpreet Singh Bedi, jeune homme intimement persuadé de sa vocation de vendeur, est embauché par une société d'informatique. Mais ses principes de sikh intègre sont heurtés par la pratique des pots de vin qu'il refuse et s'empresse de dénoncer, au désespoir de son employeur qui non seulement le désavoue mais l'humilie.
Quick Gun Murugun est un superhéros peu chanceux, un cow-boy tamoul originaire de l'Inde du Sud dont le devoir est de protéger le monde contre Rice Plate Reddy (en français : Assiette de riz saignante), le propriétaire de la chaîne de restaurants Mac Dosa qui commercialise de la junk food avec de la viande !
Kanthaswamy est non seulement inspecteur à la brigade financière de la police fédérale indienne, mais aussi un justicier qui, déguisé en coq, vole les riches malhonnêtes pour donner aux pauvres qui en font la demande au temple du dieu Murugan. Dans le cadre de ses fonctions, il arrête un homme d'affaires véreux qui feint la paralysie pour échapper aux poursuites. Sa fille, Subbulakshmi, révoltée par l'attitude inflexible de Kanthaswamy, entreprend de piéger le policier en le séduisant. Par ailleurs, l'inspecteur général Parandhaman mène une enquête interne, convaincu que le justicier est un membre de la police.
Firaaq décrit la vie quotidienne de plusieurs personnages à Ahmedabad dans les jours qui suivent la fin des violences de 2002. Mohsin, un enfant musulman dont la mère a été tuée, est à la recherche de son père. Il est recueilli par Aarti (Deepti Naval), une hindoue dont le mari a profité des émeutes pour piller des magasins appartenant à des musulmans. Parmi ces boutiques se trouvait celle de Sameer (Sanjay Suri), un musulman marié à une hindoue, qui souhaite désormais quitter Ahmedabad. Muneera, une jeune habitante du quartier musulman dont la maison a été brûlée, soupçonne le mari de sa meilleure amie d'être l'auteur de l'incendie. Dans le même quartier, un groupe de jeunes musulmans cherchent à acquérir une arme dans le but de venger leur communauté. Enfin, un vieux musicien, Khan sahib (Naseeruddin Shah), à qui ses proches ont dissimulé la violence des évènements, se désole de voir fondre le nombre de ses spectateurs.
Barah Aana a pour personnages principaux trois amis et colocataires vivant à Mumbai : Shukla (Naseeruddin Shah) est chauffeur, Yadav (Vijay Raaz) surveillant à l'entrée d'un immeuble, Aman (Arjun Mathur) serveur dans un restaurant. Un jour Yadav découvre accidentellement qu'il peut être très rentable de kidnapper des gens riches puis de les libérer contre rançon. Ne supportant plus la pauvreté ni les humiliations qui l'accompagnent, les trois hommes décident d'en faire leur gagne-pain.
Auro est élevé par sa mère, celle-ci ayant été abandonnée dès l'annonce de sa grossesse par son petit ami qui ne voyait dans la paternité qu'un frein à sa carrière. Malgré la progeria, maladie qui le fait vivre dans le corps d'un sexagénaire alors qu'il n'a que 12 ans, Auro est un adolescent heureux, espiègle, intelligent et bien sur parfois impertinent. Il reçoit un prix qui lui est remis par un député, Amol Atre, avec lequel il noue une relation amicale. Cependant il découvre que l'homme politique est son père et, alors que sa santé se dégrade, il entreprend de réunir ses parents.
Ravi Verma (Dino Morea ) vient de gagner un procès contre Juda (Gulshan Grover) et a reçu légalement plusieurs hectares de terre. Il célèbre sa victoire en se mariant avec l'amour de sa vie, Kamini (Urmila Matondkar), qu'il décide de présenter à sa famille. Cependant, au cours du voyage, Kamini met en place un plan machiavélique pour se débarrasser de son mari afin d'hériter de sa fortune : elle sabote l'avion dans lequel ils ont pris place et Ravi, privé de parachute, meurt dans l'accident.
Meghna Mathur quitte son Chandigarh natal pour s'installer à Mumbai où elle rêve de devenir top model. Après des débuts difficiles, elle réussit à se faire remarquer. À force de ténacité et de compromissions, elle obtient des contrats de publicité prestigieux et défile pour des grands couturiers. C'est ainsi qu'elle devient la rivale de Shonali qui la met en garde contre cet univers tout aussi éblouissant qu'impitoyable. Mais Meghna ne veut rien entendre et poursuit son ascension tandis que Shonali sombre inexorablement dans la déchéance, l'alcool et la drogue.
Deux enfants, Aarti et Ajay, sont poursuivis par des kidnappeurs. Ils se réfugient dans un temple abandonné, auquel l'un des kidnappeurs finit par mettre le feu. La jeune fille adresse une prière à l'idole de Krishna présente dans le temple. Le dieu répond à ses prières et les deux enfants voient une série d'apparitions en rapport avec les dix avatars de Vishnu.
Kamal Haasan a récemment déclaré que Dasavathaaram traite de sujets comme les problèmes environnementaux, la science et la religion. De ses propres mots, “Dasavatharam has a lot of Al Gore in it, and also Ramanujar.” Ayant écrit l'histoire, le scénario et les dialogues lui-même, Kamal reconnait que le travail sur le scénario fut le plus difficile, car le sujet en lui-même est très complexe.
À la gare de Waterloo (Londres), Rikki, d'origine punjabi, rencontre Alvira issue d'une famille pakistanaise. Pour passer le temps en attendant l'arrivée d'un train, ils se racontent les circonstances hors du commun dans lesquelles ils ont rencontré leurs fiancés respectifs. La suite de l'histoire révèle que la réalité n'est pas aussi romantique.
Milarépa naquit au Tibet, au XI siècle, au sein d’une famille de riches marchands. À sa mort, son père confie l'héritage de la famille à son frère jusqu’à l'entrée de Milarépa dans la vie adulte. Pourtant, l’oncle s’approprie l'héritage et exploite la mère et la jeune sœur de Milarépa. Désespérée, sa mère veut se venger de cette injustice. Elle vend son dernier champ, et envoie Milarépa auprès de Yongten Trogyal, un maître de magie noire. Il jette un sortilège et détruit une partie du village, tuant environ 30 personnes. La foule en colère le poursuit. Milarépa trouve refuge auprès d’un moine, et tandis que sa mère se rejouit de la vengeance accomplie, il est rongé par le remords. C’est alors qu’il reçoit un conseil qui changera sa vie : « Les ennemis naissent de ton esprit; Pour les vaincre, cesse les actions négatives, Cultive les actions positives, et Maîtrise ton esprit ».