In the documentary, Monika Hertwig travels to Płaszów on the outskirts of Kraków, Poland in an attempt to learn more about her father, SS-Hauptsturmführer Amon Goeth, who was portrayed in Spielberg's Schindler's List. The film had deeply affected Monika, and she claims to have hated Spielberg after watching it. In her search for more information, Hertwig has a meeting at the scene of the former concentration camp with Helen Jonas-Rosenzweig, the Holocaust survivor born in Kraków, who was interned during World War II at Kraków–Płaszów, and forced to work as a maid for Amon Goeth. More than 60 years after his execution, the two women first met there in person.
Composé d'images d'archives, La Vie d'Adolf Hitler retrace le destin de celui qui durant douze ans allait diriger l'Allemagne, en l'entraînant dans une Seconde Guerre mondiale, à l'Holocauste, ainsi qu'à sa chute, lors de son suicide en avril 1945.
The playlet involves a young woman coming home, tired, after a busy day at a war plant. Each time she comes in there is a letter from her husband overseas, and she remembers their conversations before he went off to war. She was concerned about him, because she felt it was a "young man's war" and he should stay home with her and the baby. However he was insistent that his country needed him. The plot then turns to the husband trying to manage his ship while it is being attacked by a submarine. The next day, the woman receives another letter from her husband, who is shown in double exposure, reminding her that freedom comes high, often at the price of human lives. The door bell rings, and it is a Western Union telegram, saying that her husband died.
Dans le cadre de ses travaux sur Shoah, Claude Lanzmann s'est longuement entretenu avec le rabbin Benjamin Murmelstein, au sujet de son rôle ambivalent comme haut fonctionnaire de la communauté juive de Vienne, contrôlée par Adolf Eichmann pendant la période nazie, et comme un « doyen juif » dans le camp de concentration de Terezín. En se filmant au présent sur les lieux évoqués dans les images de 1975, Lanzmann introduit une interrogation critique sur les moyens d'évoquer le passé au cinéma.
Ce film-témoignage raconte un pan de l'histoire occultée de l'Histoire et à témoigner. À Gembloux, en Belgique, des milliers de tirailleurs algériens et marocains sont enterrés à la suite d'une bataille qui s'y est déroulée. Le film retrace l'histoire héroïque d'un bataillon marocain faisant reculer les efforts de guerre de la Wehrmacht. On y évoque une tragédie de près de 2 250 soldats algériens et marocains morts au champ d'honneur et enterrés à Chastre, près de Gembloux.
Le documentaire a pour sujet la libération de la France durant l'été 1944 au travers des figures historiques : De Gaulle, Roosevelt, Pétain et des mouvements de résistance, armées engagées dans le conflit.
Entretien avec Maurice Rossel, réalisé en 1979 lors du tournage de "Shoah". En poste à Berlin pendant la guerre, Rossel fut le seul délégué du Comité international de la Croix-Rouge à se rendre à Auschwitz dès 1943. Il inspecta aussi le "ghetto modèle" de Theresienstadt en juin 1944.
Le docteur Karl Rodern, médecin d'Hitler, vient de lui diagnostiquer une laryngite, et de lui conseiller de faire moins de discours. Quand il rentre chez lui, il retrouve son épouse Irena et son beau-frère Otto, qui regarde avec admiration les troupes marchant dans la rue. Plus tard, à une réunion d'anciens étudiants, il apprend que son ami juif Heini a été convoqué par la Gestapo. L'année suivante, il apprend que cette réunion d’anciens est interdite par les Nazis. Plus tard, une messe est interrompue par les Nazis et le prêtre, un ami de Karl, est attaqué et tué.
This comedy explores the wayward rivalry between mechanic and Home Guard lance corporal George Singleton (George Formby) and an adversary also in the Home Guard (Ronald Shiner). When the rival Home Guard units of Major Wallop and Minor Wallop are sent on battle manoeuvres, George Singleton (Formby) launches his own unique style of commando raid against neighbouring Major Wallop to steal a Vickers machine gun. The raid fails and Singleton loses his lance corporal's stripe, so he and a little evacuee girl named Irene (Vera Frances) decide to fall back on 'Plan B' - to build their very own tank. The venture is such a success that George is made a sergeant.