Au plus fort de l'hiver, une femme (Monique Miller), confinée dans sa roulotte, s'ennuie de la ville et préfèrerait être au Mexique, pendant que son mari (Gilles Vigneault), ingénieur, participe avec enthousiasme à la construction du barrage.
Au Portugal, Torre Bela est une immense propriété, réserve de chasse de la famille royale de Bragance. En 1975, au lendemain de la chute de la dictature, elle est occupée par des ouvriers au chômage. Ces derniers, organisés en coopérative, vont tenter de cultiver les milliers d'hectares inexploités.
Le film se passe près des gorges du Verdon et raconte l'histoire de Maguy (la mère de la réalisatrice) qui arrivant à la retraite doit vendre son troupeau de chèvres à une jeune agricultrice.
Le film met en garde contre les dangers contre les dépendances en agriculture d'intrants chimiques et de ressources énergétiques. Le film décrit des alternatives agricoles en France, le mouvement des Villes en transition et le changement de paradigme agricole à Cuba comme des exemples préfigurateurs d'un nouveau mode de production agricole, à petite échelle et décentralisé.
Le documentaire suit la grève de femmes de chambre employées par des sociétés sous-traitantes de deux hôtels : « Première classe » et « Campanile » du groupe Louvre Hôtels. Aidées par la CGT et la CNT, ces femmes ont obtenu satisfaction sur une grande partie de leurs revendications.
Cowspiracy est un documentaire d'importance majeure. Controversé, il se penche sur l'impact de l'élevage sur l'environnement. Kip Andersen, producteur et directeur du film, révèle des informations exclusives portant sur les politiques de groupes environnementaux comme Greenpeace, Sierra Club, Surfrider Foundation, and Rainforest Action Network en plus de statistiques alarmantes sur les impacts que génèrent la consommation de viande.
Dans un village du Jura, les habitants attendent la livraison du tracteur commandé par la coopérative de matériel agricole sur la proposition de Palot, un jeune paysan.
Le documentaire porte sur les mécanismes d'évasion fiscale grâce auxquels les multinationales parviennent à ne pas payer des milliards de dollars en impôt. Cette évasion fiscale conduit à un accroissement des inégalités de revenu, et appauvrit les classes moyennes. Le film s'efforce en particulier de montrer le rôle de la place financière de Londres dans cette évasion fiscale en s'appuyant notamment sur l'expertise du Tax Justice Network.
En recherche d'emploi, un groupe de jeunes du Nord-Pas-de-Calais suivent une formation dans le cabinet Ingeus, société privée spécialisée dans l'insertion professionnelle.
Du haut de leur échafaudage, deux ouvriers du bâtiment dissertent sur l'histoire des travailleurs du bâtiment à travers les âges, de l'époque des cathédrales à la fin du XIX siècle, avant de conclure : « Nous voilà arrivés au XX siècle, sans avoir rien bâti pour nous. »
Le film expose d'abord le déroulement d'une grève des métallurgistes. On y voit comment se tient une réunion syndicale, comment s'organisent les tours de parole et l'élaboration des revendications, puis dans un second temps, comment se déroule une occupation d'usine, dans ce qu'elle a de plus difficile mais aussi de festif (organisations de courses cyclistes par exemple). On note l'intervention de Jean-Pierre Timbaud au comité de grève.
Ce film déroule une histoire du chemin de fer, depuis les trains à vapeur jusqu'aux années 1930. Sur les routes d'acier loue les services rendus par les cheminots à l'économie française (transport du charbon, de la production agricole...) tandis que défilent des plans d'infrastructures - ponts, tunnels - exaltant la science des ingénieurs ferroviaires. Le corps des cheminots tout entier est salué pour son abnégation et sa rigueur. Le film présente, schéma et graphiques à l'appui, l'organigramme de la SNCF nouvellement créée, avant de se lancer dans la description des œuvres sociales du syndicat des cheminots.