En 1960, la guerre d'Algérie bat son plein. Le jeune Messaoud, 9 ans, orphelin de mère, est confié à une famille d'accueil établie dans le Berry, constituée de Gisèle et de Georges, bourru au grand cœur, tandis que son frère aîné poursuit un autre destin. Georges, facteur de son état, ancien combattant de la France Libre et de la guerre d'Indochine, un brin raciste, ne sait rien de la confession musulmane ni de l'origine algérienne du garçon que son épouse a rebaptisé « Michel » (ou « Michou ») d'Auber puisqu'il est né à Aubervilliers, et dont elle a décoloré les cheveux bruns. Michou découvre alors la France profonde.
The year is 1975, the place is Mahim, Bombay. This is the story of Tikku (Paresh Rawal), a eunuch, the only child of yesteryear Bollywood actress Nazneen Begum. She has fallen upon hard times, is virtually destitute and is dependent on Tikku, who does make-up/hair-dressing of Bollywood actresses. When she passes away, Tikku is beside himself with grief. After the funeral, he witnesses a woman leaving a child in a garbage bin. Tikku picks up the girl, longing for human company, decides to keep her, names her Tamanna, and brings her up on his own with the help of a close friend, Saleem (Manoj Bajpai).
Gene et Karen York, un couple d'avocats, adoptent une petite fille nommée Delia. En grandissant, elle développe une personnalité étrange et une atmosphère inquiétante règne autour d'elle. Karen décide d'en savoir plus sur les origines de Delia. Ce qu'elle va découvrir est encore plus terrifiant...
Cecilia et Diego aménagent dans la province de Terre de Feu, en Argentine. Alors qu'ils attendent de pouvoir adopter un enfant et qu'ils n'ont plus beaucoup d'espoir, ils se voient soudainement attribuer un garçon âgé de 9 ans : Joel.
Théo est remis à l'adoption par sa mère biologique le jour de sa naissance. C'est un accouchement sous X. La mère a 2 mois pour revenir sur sa décision… ou pas. Les services de l'aide sociale à l'enfance et le service adoption se mettent en mouvement. Les uns doivent s'occuper du bébé, le porter (au sens plein du terme) dans ce temps suspendu, cette phase d'incertitude. Les autres doivent trouver celle qui deviendra sa mère adoptante. Elle s'appelle Alice et cela fait 10 ans qu'elle se bat pour avoir un enfant. Pupille est l'histoire de la rencontre entre Alice, 41 ans, et Théo, 3 mois.
Paul et Sali Aloka, désirant adopter un enfant, se voient proposer par l'aide sociale à l'enfance (ASE) d'adopter Benjamin, âgé de 4 mois, mais ils sont noirs (lui martiniquais, elle d'origine sénégalaise) alors que l'enfant est blanc. Selon Claire Mallet, une assistante sociale très réticente, cette adoption est mauvaise pour l'enfant, même si M. Vidal, directeur local de l'ASE, pense que tout se passera bien. Les nouveaux parents se trouvent confrontés à la suspicion et aux fréquents contrôles de l'assistante sociale, aux a-priori des gens (Sali est régulièrement prise pour la nounou). De plus, les parents de Sali, très attachés à la tradition, refusent de reconnaître cet enfant blanc comme leur petit-fils. Mamita, la mère de Sali, finit par se laisser convaincre. Mais alors qu'elle garde Benjamin, elle le confie momentanément à une garde d'enfants sans-papier qui est contrôlée par la police dans la rue. Benjamin est alors retiré à la famille et replacé à la pouponnière de l'ASE. Séparé d'eux, il ne s'alimente plus et doit être hospitalisé. Avertis, Paul, Sali, Mamita et leurs amis vont à l’hôpital, très angoissés. Interdits de voir l'enfant, ils forcent la porte de la nurserie et se réfugient dans une chambre pour le nourrir. Après des menaces du personnel et l'arrivée de la police, tout le monde se rend compte qu'il s'agit d'un malentendu, et Benjamin grandit dans sa nouvelle famille, enfin accepté de tous.