L'Orchestre philharmonique de Los Angeles joue le célèbre Boléro de Ravel, et des membres de l'orchestre commentent la musique ainsi que leur travail de musiciens.
Plutôt qu'un récit direct, Ken Russell a choisi de présenter la vie du compositeur Franz Liszt, sa carrière musicale, ses frasques amoureuses, mais aussi son oscillation perpétuelle entre le Bien et le Mal au travers de différents tableaux chronologiques.
Le film retrace la vie de Piotr Ilitch Tchaïkovski.
Jeune professeur au Conservatoire de Musique de Moscou, Tchaïkovski donne son tout premier concert pour piano et orchestre devant une salle bondée d'étudiants, de professeurs et de mélomanes. À l'accueil enthousiaste réservé au compositeur, Rubinstein, directeur de l'établissement et mentor du jeune homme, répond par une sévère critique et formule des conseils que Tchaïkovski s'empresse de rejeter. Alors qu'il est susceptible de perdre son emploi, Tchaïkovski reçoit de Nadejda von Meck, une riche veuve qui admire son talent, l'octroi d'une rente pour qu'il se consacre exclusivement à la composition. La veuve refuse de le rencontrer, mais Piotr est tenu de lui envoyer en premier lieu toutes ses compositions et de la divertir par une abondante correspondance.
Évocation de la vie de Louis II de Bavière, depuis son couronnement à l'âge de dix-huit ans et demi jusqu'à son internement et sa mort à quarante. On y découvre la complicité presque amoureuse qui le lie à sa cousine Sissi (la jeune impératrice d'Autriche-Hongrie) qui est à deux doigts de parvenir à lui faire épouser sa sœur Sophie malgré le peu d'attirance qu'il a pour celle-ci, son entichement déraisonnable pour la musique de Richard Wagner, dont il devient le très généreux mécène au point de lui faire construire un opéra, les circonstances qui l'amènent à céder aux penchants qui lui seront funestes : son goût du rêve, du post-romantisme, des garçons (son palefrenier devenant son chambellan et homme de confiance très intime), des châteaux de contes de fées, pour l'édification desquels il dépense des fortunes et dans lesquels il fuira les dures réalités de son temps (à savoir : l'irrésistible unification allemande autour de la Prusse de Bismarck qui vassalise tous les autres royaumes ou principautés germaniques, Bavière y compris) en s'imaginant, entouré d'une garde rapprochée de serviteurs, qu'il est encore vrai roi en son royaume. Jusqu'à ce que le gouvernement effectif de Munich l'extirpe de son rêve et l'interne au château de Berg… où il meurt dès le lendemain de son arrivée en tentant, dans des circonstances jamais vraiment élucidées, de s'évader.
The film begins with an introduction by Viswanath in the form of a Sanskrit Subhashita शिशुर्वेत्ति पशुर्वेत्ति वेत्ति गानरसं फणिः (Music is enjoyed equally well by babies, animals and even snakes). We hope you appreciate our effort in bringing you the 'Jeeva Dhara' (Lifestream) of Indian classical music."
Le film retrace le voyage d'Isaac Stern en Chine au lendemain de la Révolution culturelle. Il fut le premier musicien occidental à accepter l'invitation du gouvernement chinois.
Une violoniste d'un orchestre provincial polonais, dont le mari est le directeur de l'ensemble, en visite aux États-Unis, se lie avec le chef d'orchestre symphonique de renommée mondiale. Il s'avère qu'il était autrefois amoureux de la mère de la violoniste
Les faiblesses, les souvenirs et les rêves d'anciennes grandes voix de l'Opéra finissant leurs derniers jours dans une maison de retraite de Milan fondée par Giuseppe Verdi.
L'action se situe en 1911, lors de son voyage de retour à Vienne, à un moment où Mahler, malade, ne sait pas encore qu'il n'a plus que quelques jours à vivre. Tout au long de ce voyage, le compositeur, habité par un désespoir profond, revit les étapes importantes de sa vie : son enfance marquée par l'antisémitisme et la violence de son père contre sa mère, son amour pour sa femme Alma, sa conversion au catholicisme, qui facilite son accession à la tête de l'orchestre de Vienne et la disparition de ses proches : le suicide de son frère et la mort de sa fille.